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« Sherlock Holmes – La vallée de la peur » de Sir Arthur Conan Doyle

Publié le 02/03/2020

Extrait du document

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Type de narrateur :

C’est un narrateur-personnage car l’histoire est racontée à la première personne du singulier « Je » et le narrateur est Watson, un personnage du livre qui d’ailleurs y intervient.

Analyse du point de vue :

Le point de vue est interne car on découvre les évènements en même temps que Watson et il les interprète à sa manière comme quand il dit « Il serait excessif de dire qu’une information aussi extraordinaire le bouleversa ou même l’émut ». De plus, on n’a ni les pensées, ni les sentiments des autres personnages mais on a les pensées de Watson comme quand il dit « Mais si ses émotions étaient émoussées, son intelligence n’en avait pas moins conservé son agilité exceptionnelle ».

Cadences narratives :

« C’était pour ce genre… les cristaux tomber en place » - Pause : Il n’y a pas d’action. On prend juste connaissance des pensées de Watson.

« Remarquable ! fit-il. Remarquable !... mais je ne suis pas surpris. » - Scène : Dialogue en temps réel.

« En quelques mots,…. et le code » - Sommaire : L’histoire de la lettre et du code a duré plusieurs dizaines de minutes pourtant elle est résumée en une phrase.

« MacDonald s’assit… deux fentes jaunes » - Scène : L’action de s’asseoir, de caler son menton sur ses mains et de plisser les yeux ne durent que quelques instants et lire la phrase ne dure aussi qu’un instant.

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« 2 Résumé apéritif : Cette histoire se déroule dans les années 1 890.

Elle commence dans un bureau à Londres où se trouvent Sherlock Holmes, un brillant détective, ainsi que son associé et ami, le docteur Watson. Ils viennent juste de recevoir une mystérieuse lettre codée d’un maillon faible travaillant, sous le pseudonyme « Porlock », pour le compte d’ une organisation criminelle, dirigée par le professeur Moriarty, ennemi juré de Sherlock. Porlock avait l’intention d’envoyer, dans une seconde lettre, la clé pour déchiffrer la lettre codée mais suite aux soupçons de trahison de son chef Moriarty, il déci de de ne pas le faire et demande à Sherlock de détruire son premier message. Mais, Sherlock Holmes qui n’est pas décidé à lâcher l’affaire, va, grâce à son ingéniosité, trouver la clé et déchiffrer malgré tout le message codé.

Ce dernier l’informe qu’un c ertain Douglas, propriétaire du manoir de Birlstone, a du souci à se faire. Au même moment, MacDonald, un jeune inspecteur de Scotland Yard , entre dans le bureau et leur apprend q ue Douglas a été affreusement assassiné ! Voyant le message que Sherlock et Watson viennent de déchiffrer, il leur propose de l’accompagner pour élucider l’affaire ….. »

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