SGANARELLE ou Le cocu imaginaire.
Publié le 08/11/2015
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SGANARELLE ou Le cocu imaginaire.
Profitant du succès des Précieuses ridicules, qui avaient attiré la foule au Petit-Bourbon où sa troupe était installée depuis deux ans, Molière (Jean-Baptiste Poquelin, 1622-1673) donna six mois après les Précieuses, le 28 mai 1660, une comédie en un acte et en vers, Sganarelle ou Le cocu imaginaire, qui n’est, en somme, qu’un retour à la farce. Gorgibus, « bourgeois de Paris », entend marier sa fille Célie, - d’abord fiancée à Lélie, - à Valère, fils de Villebrequin, car « Lélie est fort bien fait ; mais apprends qu’il n’est rien - Oui ne doive céder au soin d’avoir du bien ». Célie se désole et, dans son trouble, laisse tomber à terre le portrait de Lélie qu’elle regardait. Survient Sganarelle, également « bourgeois de Paris » ; il aide à transporter la jeune fille évanouie dans sa chambre.
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