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résumé du Page disgracié de Tristan l'Hermite

Publié le 28/10/2013

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Tristan l'Hermite, Le Page disgracié, Fiche de lecture Première Partie Chapitre I, prélude du page disgracié : explicitation du projet d'écriture, peinture fidèle d'une vie peu attrayante, style médiocre, humilité, se présente comme un jouet du destin, des choses inventées, diversité, composition en chapitres Chapitre II, L'origine et naissance du page disgracié : origine noble, issu d'un gentilhomme qui vécut il y a 500 ans, ministre de guerre en Terre Sainte, renversement de fortune de la famille, procès criminel implique son père, grâce du roi sort la famille d'affaire, rencontre d'un gentilhomme (Pierre Miron) qui assiste le père, le père épouse la fille du gentilhomme, naissance du page. Positionnement des astres à la naissance : Vénus responsable des disgrâces du page. Chapitre III, L'enfance et l'élévation du page disgracié : page âgé de 3 ans, son aïeule maternelle veut l'élever, passage de la campagne à la ville. Vive curiosité durant l'enfance. Intérêt pour la mort et la religion. Plaisir de la lecture jeune, les romans, apprentissage du latin : dégoût. Chapitre IV : Comme le page disgracié entre au service d'un prince : suite dégoût des études, entre au service du fils d'Henri IV (son père était entré au service d'Henri IV). Accueilli dans Palais royal par le roi et son fils. Description d'une atmosphère et d'une entente parfaite, idéale. Service, fidélité, admiration du page envers son maître. Mais nature du page encline aux mauvaises habitudes. Chapitre V : l'affinité qu'eut le page disgracié avec un autre page de la maison, dont l'amitié lui fut préjudiciable : Léon d'Illiers, page camarade, même maître, d'illustre naissance. Très bonne entente entre les deux pages. Mais cet ami, ce « mauvais démon « va le corrompre : dés, cartes, mal s'enracine. Paradoxe d'une bonne nature et d'une attitude mauvaise. Attitude manipulatrice du page disgracié. Proche des princes : protégés par ceux-ci malgré ses mauvais tours. Chapitre VI : Mort déplorable d'un des maîtres du page disgracié : Duc d'Orléans prometteur, portrait de sa beauté et de son intelligence. Mais un jeune prince « enclin à la miséricorde «. Le page est envoyé pour le divertir : fables d'Ésope, puis de la Fontaine (le loup et l'agneau): effroi du prince ! Change la fin de la fable pour le rassurer. Mort du prince. Chapitre VII : Comme la page disgracié faisait la cour à son maître, qui était tombé malade d'une fièvre tierce : quitte digression pour revenir à son véritable maître. Son maître le faisait constamment pardonner, « il détournait le juste châtiment de mes péchés «. Son maître tombe malade d'une fièvre tierce. Le divertit. Insiste son maître à la consommation : jeux, animaux, plaisirs en tous genres, « l'on disait que j'avais fait de la maison une petit arche de Noé «. Manipulation de l'argent. Chapitre VIII : D'une linotte qui avait coûté dis pistoles au maître du page disgracié, et qui ne sut jamais siffler : différents moyens employés pour le repos du maître : fontaines artificielles, luth, linotte qu'il fait acheter à son maître à une grosse somme en lui mentant. Croise des pages qui jouent de l'argent aux dés : le page perd tout son argent prévu pour la linotte. Linotte rapportée ne chante pas. Page tourné au ridicule. Maître soupçonne le page d'escroquerie. Le page sauvé par l'argent d'un gentilhomme : argent fructifie au jeu, lui permet de payer un acteur (laquais) pour « servir à [sa] comédie « : argent de la linotte qui ne chante pas restitué au page. Mais échec de la manigance. Le maître veut garder la linotte. Le femme du joueur qui a du donner son argent au page vient désespérément réclamer l'argent : la vérité est entièrement découverte, le page est fouetté pour ses mensonges. Chapitre IX : la première connaissance que le page disgracié fit avec un écolier débauché qui faisait des vers : aventure précédente a calmé le page. S'adonne à la peinture, apprend des vers. Une troupe de comédiens vient à la cour, apprécie le page pour son esprit et sa mémoire. Le couvrent auprès de son précepteur. Tumulte entre les comédiens débauchés : un homme en proie qui écrit des vers. Le page le délivre du supplice. Compassion du page à l'égard du poète. Chapitre X : De quelle sorte le page disgracié fut recous des mains de son précepteur : comédiens appelés au palais, le page est avec eux. Rencontre d'un prince qui a pitié du page qui ne sera pas fouetté par son précepteur. Page disgracié confié par le prince à un autre page en attendant de retrouver son maître, pour éviter le fouet du précepteur. Se cache avec lui jusqu'au lendemain. Mésaventure avec deux officiers du prince. Le page donne un coup dans les dents du précepteur pour protéger le page disgracié. Chapitre XI : De la paix fourrée qui fut faite entre le page disgracié et son précepteur : le lendemain, le précepteur et le maître du P.D rencontrent le prince pour se plaindre du mauvais traitement reçu par le précepteur. Prince déjà informé et prend la défense du P.D. Précepteur fait semblant de pardonner au page, attend revanche. Poète des comédiens veut se faire introduire auprès du prince par le P. D. Mauvaise conduite du poète : précepteur prend ce prétexte pour se venger : remontrances et fouet. Chapitre XII : Comme le page disgracié fut prié de donner son jugement sur une belle ode : P.D conserve tout de même son goût pour la poésie. Amitié entre écuyer plein d'esprit et le P.D. Plaisir de la conversation. P.D lui récite des poèmes. Un officier est attiré par les vers du P.D, veut lui présenter une ode : 4 vers que lit l'officier, fou rire du P.D et de l'écuyer. Chapitre XIII : Par quelle aventure le page disgracié donna procuration à un autre pour recevoir la discipline au lieu de lui : passion du jeu. Lecture des roman rend le P.D peu patient. S'imagine être un héros d'Homère ou un chevalier de la Table ronde. Donne beaucoup de peine à son précepteur qui ne peut rien tenter contre le P.D. Prend connaissance des pratiques du Père cordelier : discipline des jeunes garçons. P.D envoyé en commission auprès du Père, en profite pour s'adonner au jeu. Charge quelqu'un d'autre de remplir la commission à sa place contre de l'argent. Le garçon se fait punir dans le couvent, à la place du P.D. De retour auprès du précepteur, P.D simule feint d'être allé au couvent. Père cordelier, trompé aussi, accuse le P.D d'être blasphémateur. La vérité est révélée. Chapitre XIV : Comme le page disgracié fut pris pour un magicien : bonnes résolutions du P.D suite à cette aventure. A l'écoute du précepteur. S'adonne à la lecture, dont Magie naturelle. Veut mettre en pratique. Lis en secret des chapitres au prince. Expérience d'un page, du maître et du P.D : transformation des visages avec aspect mortuaire. Le précepteur les prend sur le fait et leur fait peur par son allure. Valets accourent, soutien du maître, mais P.D reçoit coups de fouet. Chapitre XV : Comme le page disgracié donna six coups d'épée à un cuisinier qui lui fit peur, et quelle fut sa première fuite : affaire de magie continue de faire du bruit. Un cuisinier planifie de faire peur au P.D en retour de la frayeur qu'il a provoqué avec la magie : provoquer frayeur du P.D dans son sommeil avec un déguisement sanglant. P.D menace avec son épée. P.D apprend qu'il a donné 6 coups d'épée au cuisinier : prend la fuite car va être sanctionné. Ancien valet de chambre du grand-père du P.D le retrouve dans sa fuite. P.D déjoue le vieillard. Chapitre XVI : Seconde fuite du page disgracié, pour avoir mis l'épée à la main parmi les gardes du prince : rentre chez un ami dans la ville et lui conte l'aventure. Maître rentre de la campagne et ignore tout. Le précepteur avec lui, manifeste sévérité. P.D a 13 ans, s'assagit. Attentif à la lecture et aux préceptes, ne joue plus. Mais revers de Fortune : précepteur du P.D devient celui d'un autre. Mélancolie du P.D : « je ne m'appliquais plus qu'à l'entretien de mes rêveries «. Entre-choc avec un homme qui provoque affront : P.D déraisonne, donne deux coups d'épée à l'homme. Des officiers l'arrêtent. Sauvé par un lieutenant qui le connaît. P.D a des regrets quant à son attitude. État grave du blessé : P.D prend à nouveau la fuite. Narration extravagante sur les capacités physiques du P.D dans sa fuite : tours hyperboliques. L'étrange rencontre que fit le page disgracié dans une méchante hôtellerie : dans sa fuite, le P.D arrive à Rouen, se crée une fausse identité, de fausses aventures, continue son chemin, arrive dans hôtellerie. Prend une chambre double, un homme la partage avec lui. Cet homme fabrique de l'or monnayé, situation magique. P.D imagine que l'homme lui est envoyé du Ciel. P.D veut s'en faire un ami. Chapitre XVIII : Comme le page disgracié fit connaissance avec un homme qui avait la pierre philosophale : le lendemain, l'homme s'en va, le P.D veut le suivre, le surnomme Artéfius (philosophe hermétique du XIIème PC). Le suit dans une autre hôtellerie. Engage la conversation avec l'homme mais sans succès. L'homme s'en va sans que le P.D ne s'en aperçoive, le retrouve et lui avoue ce qu'il a vu la nuit dernière. P.D l'implore de l'aider, le charme par son discours, ses promesses. L'homme lui raconte son parcours et avoue la dangerosité de son secret. Confiance naissante, l'homme accepte de partager ses périples avec le P.D : sorte d'initiation du P.D aux mystères de l'homme. Le philosophe demande au P.D d'accomplir plusieurs actes : une confession générale devant un Père religieux, l'attendre à Londres. Se rendent dans un couvent pour la nuit. Chapitre XIX : Comme le page disgracié goûta de ce que le philosophe nommait médecine universelle, et quelle fut leur s&eacu...

« ➢ Chapitre   VI   :   Mort   déplorable   d'un   des   ma îtres   du   page   disgraci é   :   Duc   d'Orl éans   prometteur,  portrait  de  sa  beaut é et de  son  intelligence.  Mais  un  jeune  prince  «   enclin   à la   mis éricorde   ».

  Le  page  est  envoy é  pour  le  divertir   :  fables  d’ Ésope,   puis   de  la   Fontaine  (le   loup et l'agneau): effroi du prince   ! Change la fin de la fable pour le rassurer. Mort du prince.  ➢ Chapitre  VII   : Comme  la page  disgraci é faisait  la  cour   à son  ma ître,  qui   était tomb é   malade   d'une   fi èvre   tierce   :   quitte   digression   pour   revenir   à  son   v éritable   ma ître.

  Son   ma ître le faisait constamment pardonner, «   il d étournait le juste ch âtiment de mes p éch és   ».

  Son   ma ître   tombe   malade   d'une   fi èvre   tierce.

  Le   divertit.

  Insiste   son   ma ître   à  la   consommation   :   jeux,   animaux,   plaisirs   en   tous   genres,   «   l'on   disait   que   j'avais   fait   de   la   maison une petit arche de No é   ». Manipulation de  l'argent.  ➢ Chapitre VIII   : D'une linotte qui avait co ûté dis pistoles au ma ître du page disgraci é,   et qui ne sut jamais siffler   : diff érents moyens employ és pour le repos du ma ître   : fontaines   artificielles,  luth,  linotte  qu'il   fait  acheter  à  son  ma ître  à  une  grosse  somme  en  lui  mentant.

  Croise des pages qui jouent de l'argent aux d és   : le page perd tout son argent pr évu pour la   linotte. Linotte rapport ée ne chante pas. Page tourn é au ridicule. Ma ître soup çonne le page   d'escroquerie.

  Le   page   sauv é  par   l'argent   d'un   gentilhomme   :   argent   fructifie   au   jeu,   lui   permet de payer un acteur (laquais) pour «   servir  à [sa] com édie   »   : argent de la linotte qui ne   chante pas restitu é au page. Mais  échec de la manigance. Le ma ître veut garder la linotte. Le   femme   du   joueur   qui   a   du   donner   son   argent   au   page   vient   d ésesp érément   r éclamer   l'argent   : la v érité est enti èrement d écouverte, le page est fouett é pour ses mensonges.  ➢ Chapitre   IX   :   la   premi ère   connaissance   que   le   page   disgraci é  fit   avec   un   écolier   d ébauch é  qui   faisait   des   vers   :   aventure   pr écédente   a   calm é  le   page.

  S'adonne   à  la   peinture, apprend des vers. Une troupe de com édiens vient  à la cour, appr écie le page pour   son   esprit   et   sa   m émoire.

  Le   couvrent   aupr ès   de   son   pr écepteur.

  Tumulte   entre   les   com édiens d ébauch és   : un homme en proie qui  écrit des vers. Le page le d élivre du supplice.

  Compassion du page  à l'égard du po ète.  ➢ Chapitre   X   :   De   quelle   sorte   le   page   disgraci é  fut   recous   des   mains   de   son   pr écepteur   :  com édiens appel és au palais, le page est avec eux. Rencontre d'un prince qui   2. »

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