Résumé détaillé : Pars vite et reviens tard, Fred Vargas
Publié le 05/04/2015
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Résumé détaillé Pars vite et reviens tard, Fred Vargas Le premier personnage qui apparaît dans le roman est Joss Le Guern, un ancien marin breton. Son bateau, nommé Le Vent de Norois, a fait naufrage en mer d'Irlande, il y a 14 ans, avec huit hommes à bord. Le naufrage fit 2 morts. Suite au drame, le protagoniste a passé à tabac l'armateur du bateau, et a passé mois en prison pour coup et blessures. Sorti de taule, il décide de quitter le port de Guilvinec pour s'installer à Paris. A la suite d'une soirée où il avait trop bu, il reçoit la visite de son arrière arrière grand-père, qui lui suggère de reprendre le métier de famille. Joss, convaincu par son hallucination, devient alors crieur public au carrefour Edgar-Quinet-Delambre. Il se fabrique alors une urne bleue, qu'il accroche à un arbre, afin que les passants y déposent leurs annonces et billets d'humeur, dans une enveloppe bleue cachetée d'une pièce de francs, destinés à la criée. Par la suite, Joss récupère les messages et les trie, ceux qu'il ne lit pas sont laissés à disposition avec la pièce de 5 francs. Mais, un jour, au bout de sept ans d'expérience, il reçoit un mystérieux message, évoquant un fléau. « Et puis, quand les serpents, chauves-souris, blaireaux et tous les animaux qui vivent dans la profondeur des galeries souterraines sortent en masse dans les champs et abandonnent leur habitat naturel ; quand les plantes à fruits et les légumineuses se mettent à pourrir et à se remplir de vers (...) » Le deuxième personnage que l'on rencontre est Hervé Decambrais, un ancien professeur, surnomé le « vieux lettré » qui possède un hôtel sur la place. Il participe/ est présent aux criées de chaque jour, et prend note des étranges messages déposés dans l'urne depuis plusieurs semaines déjà. Après quelques recherche, il déduit que l'extrait est tiré d'un texte du 17 eme siècle et que la personne qui dépose ces messages assiste sûrement à la criée. Parallèlement, le commissaire principal à la brigade criminelle, Jean - Baptiste Adamsberg, reçoit la visite d'une femme très inquiète, Maryse : presque toutes les portes de son immeuble ont été taguées, à la peinture noire : des chiffres 4 à l'envers et des lettres CLT. Mais le commissaire ne prête pas attention la déposition de la jeune femme, et après le départ de celle - ci, il jette les feuilles de la plainte à la corbeille. Quelques jours plus tard, Joss trouve un autre message mystérieux dans son urne. Après sa criée quotidienne, il se dirige vers un café de la place, quand Decambrais l'aborde. Il d&...
«
Durant ce temps, Jean Baptiste découvre que dans tous les immeubles marqués, toutes
les portes sont taguées sauf une.
Cependant, l'emplacement de la porte varie d'un
immeuble à l'autre.
Le jeudi, Joss emménage, comme prévu dans l'hôtel de Decambrais, et donne les
messages à ce dernier.
Le « vieux lettré » découvre qu'ils sont presque tous composés de
mots arabes et qu'il proviennent de différents auteurs, répétant toujours la même idée.
Dans l'hôtel, Joss fait la connaissance des autres locataires : Evelyne Curie, une femme
qui a fuit le le domicile conjugal car elle était battue par son mari ; Castillon, un ancien
forgeron ; et Lizbeth Glaston, une ancienne prostituée, qui aide Decambrais pour les
repas, les courses, la lessive, et le ménages, tous les soirs elle chante au cabaret de Saint
– Ambroise.
Durant le dîner, Hervé découvre le nom d'auteur utilisé par le semeur de
message : Avicenne (un médecin philosophe du XIème siècle, qui rédige ses textes en
latin semé de citations arabes).
Il s'engouffre alors dans le métro, pensant détenir une
piste importante.
Un autre personnage intervient alors dans le roman.
Il s'agit de Camille Forestier, la petite
amie du commissaire.
Elle connaît le signe mystérieux, en effet, elle l'avait déjà vu dans
un livre chez l'ami d'une amie : Marc Vandoosler, un historien médiéviste.
DE nouveaux
immeubles sont alors tagués.
Decambrais invite Joss au café, afin de l'informer de sa dernière découverte : les
messages spéciaux sont tirés du journal de Samuel Pepys, un anglais qui a vécu au 17
eme siècle, à Londres.
Les textes datent de 1665, l'année de la grande peste.
Il prend
alors la décision d'informer la police des messages spéciaux.
Decambrais et Joss se rendent donc au bureau du commissaire.
Le commissaire établit
alors un lien temporel entre le premier message reçu par Joss et le premier marquage sur
les portes d'immeubles.
Après leur départ, Jean Baptiste téléphone à Vandoosler pour
prendre rendez vous, mais celui est absent.
Il discute alors avec Lucien Duvernois, et lui
envoie un fax du signe afin que Marc puissent l'étudier.
Il reçoit alors une réponse queles
heures plus tard : il s'agit d'une reproduction exacte du chiffre dont on frappait autrefois les
portes afin de protéger les habitants de la peste.
Le commissaire et son adjoint assiste alors à la criée de Joss.
Les messages annoncent
l'arrivée de la peste.
Le samedi suivant, Decambrais informe Adamsberg qu'un nouveau message annoncant
que la peste est là est qu'elle a déjà frappée quelqu'un.
Quelques jours après, un cadavre
est découvert rue Jean Jacques Rousseau.
Il se rend sur place avec son adjoint.
Ils
apprennent que la victime se nommait René Laurion, c'était un célibataire de 32 ns,
garagiste.
Le corps est nu,recouvert de suie, sur le dos les bras positionnés en croix.
Une
enveloppe dissimulée dans le logement de la victime est trouvée.
Quelques heures plus tard , Adamsberg réunit les vingt-trois agents de la Brigade.
Et
Danglard leur donne un petit cours d’histoire sur la peste ..
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