RELIQUES de Jules Tellier
Publié le 15/10/2015
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RELIQUES. Dans ce recueil posthume de Jules Tellier (1863-1889), publié en 1890, ont été rassemblés des morceaux épars de l’œuvre du poète. Cette œuvre en ses débuts s’attira la sympathie du groupe Barrés, Moréas, La Tailhède et de ses amis. Barrés fonda avec Tellier, par l’entremise de leur ami commun Charles Le Goffîc, la revue littéraire « Les Chroniques » où Tellier donna des sonnets et ses meilleures proses ; il prêta son concours, entre autres, au quotidien « Le Parti National », se plaisant à discuter avec Barrés, qui écrivait au « Voltaire », d’un journal à l’autre. Le ton de ce dialogue nous est rendu par la dernière partie des Reliques, où l’exécuteur testamentaire de Tellier, Raymond de La Tailhède, réunit sous le titre Journal d'un rhéteur plusieurs articles et chroniques. Le poète s’y montre familier, désinvolte, lettré, parfois caustique, toujours d’une grande sûreté de jugement. Des poésies (« La cité intérieure »), les « Notes de Tristan Noël »,
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