QUE MA JOIE DEMEURE. Jean Giono (résumé)
Publié le 01/09/2016
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QUE MA JOIE DEMEURE. Publiée en
1935, cette œuvre de l’écrivain français Jean Giono, (né en 1895), n’est peut-être pas, parmi les romans de sa première manière, le meilleur, mais c’est certainement le plus ample et le plus ambitieux. Le plus triste aussi. On peut penser que cela va de pair. A la suite de beaucoup d’écrivains, Giono a voulu créer un personnage doué d’un tempérament de réformateur et par conséquent apte à répandre et à essayer de faire mettre en pratique certaines idées qui lui sont chères. Une nuit, ce personnage, un acrobate nommé Bobi, arrive sur un plateau où ne s’accrochent qu’une dizaine de paysans. Ce plateau presque vide, éloigné de tout, n’est pas contaminé par la civilisation moderne. On sait, ou on s’apercevra vite en le lisant, que Giono déteste cette civilisation, pour lui inhumaine. D’habitude il n’en dit rien. Il se contente de lui tourner le dos et de s’enfoncer soit dans la montagne, soit dans le passé. Ici, cependant, il la condamne avec violence, bien que les passages où il en parle soient très courts. Dans le premier de ces passages, il s’apitoie sur le sort de montagnards descendus dans la plaine
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