Poèmes saturniens de Verlaine (fiche de lecture et analyse)

Autrefois, le poète était considéré comme un « élu « des Dieux. Ce n’est qu’au milieu du XIXe sicèle, donc lors de l’écriture de Poèmes saturniens, que le poète réfute cette « élection « et commence à se plaire à donner une image caricaturale de sa personne, pour Verlaine ce sera un personnage grotesque. Le poète est donc mis à l’écart, le poète passe alors du rend d‘« élu « au rend de poète maudit, il devient marginalisé. Né alors modernité caractérisé de deux facons : par une crise du poète, par le rejet du présent et de la critique de la haute Bourgeoisie. Dans Poèmes saturniens, on remarque que Verlaine est conscient de ce nouveau statut. En effet, le poète autrefois célèbré n’est plus que capable d’offrir un « bouquet de strophes enfantines «. Pour la haute brougeaoise, les poètes sont des « faiseurs de vers «, des « fainéants «, des nuisibles de la société. Paul Verlaine, étant un poète, est donc exclu de la société, maudit.