PARENTS TERRIBLES (les)

« Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)LES PARENTS TERRIBLES Réalisation Scénario et adaptation d'après sa pièce Directeur de la photo Décors ...........

.

Sous la direction de Musique ..

Production ...

Durée Jean COCTEAU (1948) Jean COCTEAU Michel KELBER Guy de GASTYNE Christian BÉRARD Georges AURIC Ariane (Alexandre MNOUCHKINE et Francis COSNE) 100 minutes INTERPRETATION Michel Madeleine Yvonne ! Sophie Tante Léo Georges et, pour le plan final, la voix de Jean MARAIS Josette DAY Yvonne de BRA Y Gabrielle DORZIA T Marcel ANDRÉ Jean COCTEAU L'HISTOIRE Michel, superbe jeune homme choyé par sa mère, Yvonne, avoue à cette dernière qu'il est tombé amoureux de Madeleine.

Yvonne est furieuse tout comme Georges, le père de Michel - et également l'amant de Madeleine.

Tante Léonie qui demeure Lkpuis fort longtemps dans «La Roulotte» (en fait le foyer de Georges, Yvonne et l\lichel) tente de « recoller les morceaux ».

Par son inter- médiaire Madeleine s'accuse d'être la maî­ tresse d'un autre.

Michel, sous le choc est violemment déprimé.

Une fois encore tante Léonie essaye de sauver la situation.

Yvonne n'accepte pas que son fils trouve le bonheur auprès de Madeleine et décide de mettre fin il ses jours.

Alors que le jeune couple, tout à son bonheur oublie Yvonne, cette dernière s'empoisonne dans sa chambre ..

"' "' 'O LA PETITE HISTOIRE Écrite par Jean Cocteau en 1938 pour son protégé, Jean Marais, la pièce s'intitula primi­ tivement -dans /'esprit de son auteur - « La Roulotte» puis « La Maison des Portes ».

C'est Roger Capgras, alors directeur du Théâ­ tre des Ambassadeurs qui suggéra à Cocteau d'appeler cette œuvre « Les parents terribles » (La pièce fut créée le 14 novembre 1938 aux Ambassadeurs -elle fit scandale et fut un triomphe).

Jean Marais s'est souvenu dans ses mémoires de cette ép,oque: « li (Cocteau) écri­ vit huit jours et huit 1nuits de suite, sans rature, presque sans repos.

Et la pièce fut terminée ».

Dix ans plus tard, Cocteau transposait sa pièce à l'écran et d'emblée donnait au cinéma fran­ çais un nouveau classique.

LES PARENTS c TERRI BLES est, en effet, un chef-d' œuvre 3 du Cinéma Français.

On constate, une fois de g plus, que Cocteau (tout comme dans des styles ~ ~ffé;i;~;r3ui;::r e~:af;~.~r eu:ie~~~;te'::in;~~ ~ d'une caméra.

Dans le cas des « Parents ». »