OISEAU BLEU (L’) de Maeterlinck. - résumé, analyse
Publié le 09/09/2015
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Féerie en six actes et douze tableaux de Maurice Maeterlinck (1862-1949), représentée à Moscou en 1908 (en France, le 2 mars 1911). Les deux enfants d’un pauvre bûcheron, Tyltyl et Mytyl, n’ont pour toute joie, à la veille de Noël, que de contempler sans envie les lumières de la fête qui se donne dans un palais voisin : ils s’endorment paisiblement et font un rêve merveilleux. Une fée leur apparaît, qui les conduit à la recherche de l’Oiseau Bleu, messager du bonheur; elle donne aux enfants un Diamant magique : il suffit de le tourner légèrement pour voir l’âme des choses et des bêtes, ces âmes cachées que ne discernent pas les hommes distraits. L’humble chaumière se trouve transfigurée. En tournant le diamant en sens inverse, les âmes rentrent dans les objets ; mais il en est qui n’ont pas le temps de les réintégrer tant la précipitation des enfants est grande ; ce sont la Lumière, l’Eau, le Pain, le Feu, le Sucre, le Lait, la Chatte et le Chien, qui les accompagneront au cours de leur voyage. Mytyl et Tyltyl ont revêtu des habits magiques. Leur première étape est le Pays du Souvenir, où ils revoient leurs grands-parents et leurs petits frères défunts
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