MALHEUR A QUI MENT de Franz Grillparzer
Publié le 03/09/2015
Extrait du document
MALHEUR A QUI MENT
Comédie en cinq actes du poète autrichien Franz Grillparzer (1791-1872), représentée pour la première fois en 1838, tirée par l’auteur d’une anecdote racontée par Grégoire de Tours dans son Histoire des Francs. A l’époque où le christianisme pénètre dans les pays rhénans, le neveu de l’évêque Grégoire de Châlons est retenu comme otage par le comte Kattwald, chef païen du Rheingau. Un fidèle serviteur de l’évêque, Léon, décide d’aller délivrer le prisonnier ; après avoir promis à Son maître de ne jamais mentir pour atteindre son but, il se fait vendre à Kattwald comme cuisinier. Son caractère simple, hardi et gai, plaît aussitôt à Edrita, la fille du comte, qui doit épouser, le lendemain de l’arrivée de Léon, un noble païen, le « stupide Galomir «. Pour tenir sa promesse, Léon se fait un scrupule d’agir avec une sincérité absolue, disant la vérité avec tant d’aplomb qu’on se refuse à lui prêter foi. Après avoir réussi à inciter le jeune Attalus,
Liens utiles
- AÏEULE (L') Franz Grillparzer (résumé & analyse)
- FRÈRES ENNEMIS DANS LA MAISON DE HABSBOURG (Les) Franz Grillparzer
- TOISON D’OR (La) (résumé et analyse) Franz Grillparzer
- MONASTÈRE DE SENDOMIR (Le) de Franz Grillparzer - résumé, analyse
- PAUVRE MUSICIEN (Le) de Franz Grillparzer (résumé)