LITTÉRATURE ET POLITIQUE: Annie Ernaux

« LITTÉRATURE ET POLITIQUE Annie Ernaux explique dans cette partie de son œuvre écrire une vie le rôle de la littérature dans la société des années quatre-vingt.

Il est bien vrai que la littérature est souvent imprégnée de son époque, de la vie du l’écrivain et des expériences de ce dernier.

Mais dans cet extrait, Annie Ernaux nous parle d’une vraie littérature qui est hors de toutes références politiques et sociales, vivant dans un réel imaginaire. Mais est-ce réellement cela la littérature ? Claude Simon écrit l’invitation , une œuvre qui sera reflète son voyage en URSS et met en évidence relation entre la littérature et la politique e façon significative .

Mais, il faudrait des informations nécessaires pour cerner l’environnement décrit dans l’œuvre.

On a l’impression que, l’auteur a le désir de placer le lecteur dans une position de spectateur dans une société au service de son gouvernant et de politique mis en place pour mieux gouverner.

En revanche, la littérature devrait être un moyen de revendication politique et sociale, un moyen de réveil des consciences au lieu d’être un moyen de vengeance. Annie Ernaux a eu une approche différente de la littérature pendant son adolescence, car vivant dans une classe sociale marginalisée, elle a pu détacher sa conscience de la réalité qui l’entourait, Et cela a contribué à créer en elle, une conscience littéraire désireuse de change la société sur du long terme au travers de l’écriture.

C’est une évolution sinueuse mais efficace, car elle choisit de venger sa race, certes le terme race est très fort, cela pourrait exprimer la douleur profonde de l’auteur.

C’est un terme qui a plusieurs volets , en premier on pensera à la couleur de la peau , ensuite on imagine que l’auteur serait de classe médiocre et de race inferieur , mais la curiosité survint quand.... »