LETTRES A SOPHIE VOLLAND par Denis Diderot
Publié le 02/09/2015
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LETTRES A SOPHIE VOLLAND.
C’est l’abondante correspondance adressée par Denis Diderot (1713-1784) à sa grande amie et confidente. Grimm en publia quelques passages dans sa Correspondance, on en trouva ensuite une grande partie dans les Mémoires, correspondances et ouvrages inédits de Diderot, publiés par Paulin en 1829. Ce texte censuré et fautif connut une autre édition en 1876. Mais M. Babelon découvrit une copie meilleure et beaucoup plus complète des Lettres qu’il publia en 1950 (2 vol., Gallimard). Ce n’en est cependant qu’une petite partie ; puisque nous possédons seulement 187 lettres alors que la correspondance en comprenait au moins 553. C'est ainsi qu’il nous manque les lettres des trois premières années de leur amitié. Diderot fit la connaissance de Sophie Volland en 1755 : il avait alors 42 ou 43 ans et elle de 39 à 40 ans. Bien que nous ne sachions rien d’elle, il est certain que Sophie Volland avait une très forte personnalité, un esprit fort cultivé et fort juste. Grimm dit d’elle, répétant le mot du célèbre médecin Tronchin, que c’était « une âme d’aigle dans un corps de gaze «.
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