LETTRES A GRIMM, A Mme D’ÉPI-NAY, A FALCONET, de Diderot.
Publié le 02/09/2015
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LETTRES A GRIMM, A Mme D’ÉPI-NAY, A FALCONET, de Diderot. Outre ses Lettres à Sophie Volland, nous avons de Denis Diderot (1713-1784) une volumineuse correspondance, dont une partie importante
attend encore la publication. Il s’agit, tout d’abord, de ses Lettres à Falconet dont nous ne possédons que 33 pièces, couvrant la période du 10 décembre 1765 au 6 décembre 1773. Elles s’arrêtent donc avant le départ de Diderot pour la Russie ; les lettres postérieures ayant été brûlées par la baronne de Jankowitz de Jeszenisce, une descendante de Falconet, on ne peut savoir le véritable mobile de la rupture entre les deux amis. Toutefois, si on n en connaît pas les raisons profondes, on peut déjà la pressentir dans la lettre de Diderot datée du 21 août 1771, qui débute par cette phrase : « Ceci, mon ami (car je ne saurais m’empêcher de vous appeler de ce nom), n’est point une réponse à la lettre outrageante que vous m’avez écrite.
Liens utiles
- « Grimm, qui fut l'ami de Diderot, s'était chargé, peu après 1750, de tenir les cours étrangères au courant de la vie intellectuelle et artistique en France. Imaginez une lettre de lui dans laquelle il décrirait le milieu où vivent les gens de lettres à Paris, cafés, salons, théâtres, en somme les « à-côtés » de la littérature qui ont aidé à l'éclosion et au succès des idées, au XVIIIe siècle. »
- Lettres de Mme du Deffand (résumé)
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- Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, par une Société de gens de lettres. Ouvrage collectif dirigé par Denis Diderot