Les Nuers Evans Pritchard

« villages.

Pendant les saisons sèches les Nuers se rapproche des cours d'eau dans des campement.

Ces changements saisonniers forts font alors du peuple Nuers un peuple nomade.

Le déplacement ont tendance à se faire aux mêmes époques de l'année et aux mêmes endroits les variations tiennent des changement climatiques.

Les Nuers ne se déplace pas tous ensembles vers le village, ce sont d'abord les personnes les plus âgées qui s'y rendent puis plus tard les jeunes gens les rejoignent.

Le sol ne permet pas une horticulture toute l'année à cause des changements climatiques, les Nuers ne peuvent donc pas compter seulement sur l'horticulture.

L'élevage est lui sur toute l'année ceci explique les activités pastorales importantes.

Étant donné les difficultés de l'environnement les Nuers on élaborés des techniques tel que des brulis d'herbe pour permettre une nouvelle pousse. D'autres difficultés viennent s'ajouter, il y a une forte présence d'insectes comme des tiques ou des mouches; Celle-ci sont surtout nocives pour les animaux les Nuers luttes contre eux grâce à la fumée ce qui tranquillise leurs bêtes. La peste bovine est un fléau pour les Nuers, en tuant leurs bêtes cela diminue leurs richesse.

Au fil du temps il ont acquiert quelque connaissance face à cette maladie mais ne savent toujours pas comment la soigner.

La peste à eu des conséquences sociales, en diminuant rapidement la taille de certains troupeaux elle a changé la taille de la dot.

Le nombre de bêtes exigé est maintenant plus faible. Le peuple Nuer ne peut pas compté seulement sur ces troupeaux, il adopte alors une économie mixte de trois composantes: les vaches, le poisson et le millet.

Chaque produit a des périodes fortes et des périodes faibles au cours de l'année, seul la production laitière reste relativement stable au cours de l'année. La pêche n'est pas de grande estime pour les Nuers il la pratique tout de même avec plaisir et ont élaboré des techniques efficaces. La culture du millet n'est pas grande, les Nuers cultivent seulement selon leurs besoins.

La perte d'une culture du millet à cause des sauterelles et éléphants qui détruisent tout n'est pas un drame pour les Nuers il regarde cette perte avec une indifférence.

Par ailleurs les Nuers ne se battent pas pour la propriété d'un champ de millet, ceci n'est pas une source de conflits.

Cette culture reste une complémentaire à l'activité pastorale notamment étant donnée sa précarité au cours des saisons et face au ravages des sauterelles. Il existe d'autres sources d'alimentation mineurs comme les fruits les graines et racines.

La chasse reste une activité mineure malgré la richesse en gibier du pays Nuer.

Certains gibier comme les reptiles sont dédaigner d'autres sont surtout chassé pour leurs élément esthétiques (peau de léopard, crin de girafe). Malgré le manque de fer et de pierre dans le pays Nuer ils arrivent a créé des ustensiles d'origines végétales ou animales (comme par exemple des cuillères en corne de buffles.

De part ce manque on pourrait s'attendre à ce que les Nuers échangent avec d'autres régions mais ce n'est pas le cas.

Une des grande raisons est qu'il n'ont rien à échanger à part leurs bétail qui est trop cher à leurs yeux pour pouvoir être échangé. L'absence de commerce mais aussi un bas de niveau de la technique et les difficultés de survivre dans un tel environnement amène les Nuers a être dépendants les uns des autres au sein de leur groupe.

Chaque petit groupe forme ainsi une unité économique cependant ces villages ne peuvent pas complètement suffire a eux mêmes.

Les villages doivent alors se soumettre à un ordre politique plus vaste que leurs simples villages. IV- Le temps et l'espace Nous allons tout d'abord développer le concept du temps chez les Nuers. Pour commencer les Nuers distinguent deux saison principales dans le cycle écologique qu'est l'année.

Ce cycle est rythmé par l'allée et la venue des camps aux villages.

L'année se sépare alors entre la saison « tot » qui dure environ de mi-mars à mi-septembre, cette période correspond à une montée progressive des précipitations et la saison « mai » qui correspond au moment ou les précipitation décroissent.

Ces saisons correspondent plutôt aux activités sociales qu'il lui correspondent plutôt qu'a un changement climatique.

Deux « sous-saisons » existent aussi, « jiom », le début de la saison « mai » est le moment de formé les premiers camps et la saison « rwil » correspond au moment où l'on quitte les camps. Les Nuers distinguent aussi douze mois dans l'année correspondant chacun à une activité, certain portant même le nom de cette activité.. »