Le Temple de Gnide (Montesquieu)
Publié le 24/11/2018
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Le Temple de Gnide
Ce petit ouvrage qu’on ne lit plus eut beaucoup de lecteurs. Parmi les contemporains, d’Alembert, qui l’admirait, le définit comme un poème en prose et observe qu’il soutiendrait avec succès l’une « des principales épreuves de descriptions poétiques, celle de les représenter sur la toile ». C’est un petit essai de pastorale affadie et langoureuse, qui exercera pourtant une durable influence tout au long du siècle, de Vivant Denon à Sylvain Maréchal et à Algarotti en Italie.
«
Synopsis.
-Le Temple de Gnide se com pose de sept
chants d'un ton intermédiaire entre la poésie et la prose.
A
la fin du volume.
l' a ute ur a ajouté un morceau i ndé pen dan t
(Céphise et l'amour).
au contenu semblable.
C'e st le seul
ouvrage de Montesquieu publié à Paris.
avec approbation
et privilège du roi.
On lit dans la préface qu'un ambassa
deur de France auprès de la Sublime Porte, ayant acheté
plusieurs manuscrits grecs.
les transporta en France.
Un
de ceux-ci étant tombé aux mains de l'a ut eur.
il décida d'en
faire une traduction fidèle.
Le fils d'Antiloque.
prêtr e de
Vénus.
né à Sybaris.
où les plaisirs n'ont plus de charme,
après avoir été en Crète.
à Lesbos.
à Lemnos et à Délos.
toujours à la recherche du bonheur, parvient finalement à
Gnide, où il tro uve dans Thémire un amour que la pud eu r
d o min e.
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