Devoir de Philosophie

La Mort est mon métier : résumé chapitre par chapitre

Publié le 10/06/2014

Extrait du document

La Mort est mon métier, Robert Merle (1952) Résumé chapitre par chapitre 1913 L'histoire débute alors que le personnage principal et narrateur, Rudolf Lang a 13 ans. Il est élevé dans une famille selon des valeurs chrétiennes fixes. Son père tient un magasin de vente de tissus tandis que sa mère est femme au foyer, élevant lui et ses deux soeurs : Gerda et Bertha. La vie familiale est précisément et préalablement définie par le père, tout comme les gestes de chacun ; la majorité des paroles échangées entre les personnages sont réservées à la politesse et à la prière. Un jour, le père de Rudolf lui avoue une faute d'adultère qu'il a commis juste avant sa naissance pendant un séjour à Paris. Pour la réparer et se racheter aux yeux de Dieu, il veut que Rudolf se consacre à la Vierge en devenant un prêtre. Cette décision ne plait pas à l'adolescent qui aurait préféré devenir officier au sein de l'armée, comme son grand-père. Peu de temps après, Rudolf, à la suite d'une dispute avec son camarade Hans Werner, lui casse involontairement la jambe. Pris de panique, Rudolf va se confesser auprès du père Thaler. Néanmoins, le soir-même, son père est au courant de l'accident et le punit sévèrement. N'ayant pas été dénoncé par son camarade, il s'imagine à tort avoir été dénoncé par le prêtre et perd la foi. En 1914, son père meurt, Rudolf tente alors à deux reprises de se faire engager au front mais échoue, du fait de son jeune âge. 1916 Rudolf travaille désormais dans une infirmerie militaire, il finit par y rencontrer le Rittmeister Gün...

« VERLOES Alice 1ES1 Rudolf, démobilisé, devient chômeur ; il retourne chez lui à H.

Il retrouve sa tante qui s’occupe de ses sœurs depuis la mort de son oncle Franz, ces dernières lui paraissent étrangères.

Il quitte sa famille pour rejoindre Schrader, un ancien dragon.

Avec son aide, il trouve un travail dans une usine.

Cependant, Rudolf ne se montrant pas assez solidaire vis-à- vis des autres ouvriers, notamment avec Karl avec qui il partage sa tâche de préparation des portes d’armoires vendues par la société.

Les deux amis sont alors renvoyés.

Ils réussissent, par la suite, à s’engager comme Corps Francs sur la frontière Ouest.

Peu après la mort de Schrader à la suite d’un combat sanglant près de Mitau, Rudolf est envoyé à l’Est par la république allemande.

Cependant, Rudolf se voit de nouveau démobilisé après la dissolution des corps francs. 1922 Installé à M.

depuis peu de temps, Rudolf finit par trouver un travail sur le chantier de construction d’un pont.

Malgré cette opportunité, le jeune homme mène une vie misérable au bord de l’épuisement ; convaincu que l’Allemagne est une cause perdue il décide de se suicider.

Un collège nommé Siebert l’en empêche in extremis et tente de lui redonner foi en sa patrie (avec le journal Voelkischer Beobachter ).

Il le met alors en contact avec le Parti nazi auquel il s’inscrit le jour suivant.

Ce même jour, Rudolf décide de prendre ses distances avec l’Eglise catholique en changeant son état civil, se déclarant désormais Konfessionlos aber Gottgläubig ( croyant en Dieu, mais en dehors de toute confession).

Il se voit ensuite chargé par le Parti d’exécuter un opposant du nom de Kadow en 1924.

Le corps finalement retrouvé par la police, Rudolf est arrêté et se voit condamné à une peine de dix ans de prison.

Il réussit tout de même à sortir au bout de cinq ans, grâce au Direktor de la prison, pour bonne conduite.

1929 A sa sortie de prison, Rudolf est envoyé en Porémanie par le Parti qui décide de « le mettre au vert ».

Il entre au service du Colonel Baron von Jeseritz au sein de son haras.

Au bout de trois mois, Von Jeseriz demande à Rudolf de restaurer une vieille ferme désaffectée, envahie par la boue depuis la crue d’un étang à proximité.

Après les réparations, la ferme est fonctionnelle et Rudolf en informe le baron.

Cependant, la ferme n’étant pas meublée par manque d’argent, le baron incite Rudolf à se marier avec Elsie, « la fille du vieux Wilhelm » pour pouvoir s’y installer.

Entre temps, poussé par von Jeseritz, Rudolf adhère au Bund der Artamamen , un mouvement politique prônant la rénovation de la paysannerie allemande (- Blut, Boden und Schwert - : la race, le sol et le glaive) et en devient secrétaire.

Peu après la naissance de son fils, Rudolf rencontre Heinrich Himmler qui après l’avoir interrogé sur ses précédents, lui ordonne de repérer et de former des miliciens voués à devenir des SS.

En 1932, le Parti s’installe au pouvoir et Rudolf est nommé Oberscharfürher (sous-officier) chez les SS.

1934 Rudolf se voit proposer par Himmler l’administration du camp de Dachau, son point fort étant la pratique ( « Ihre besondere Stärke ist die Praxis » ).

Après hésitation et discussion avec Elsie, Rudolf accepte, persuadé que c’est dans un KL ( Konzentrationslager ) qu’il sera le plus. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles