La Jeune Parque, Valéry (résumé)
Publié le 11/11/2018
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La Jeune Parque
Entreprenant en 1913, sur les instances de Gide, de Louys et de Rivière, de rassembler ses poèmes de jeunesse, Valéry se laissa aller à commencer un poème nouveau dont la croissance imprévue l'occupa presque trois ans. La Jeune Parque (1917), qui faillit s’appeler Psyché, fut écrite sub signo Martis, dans l’écho de Verdun et l’anxiété des lendemains : « Je m’assimilais à ces moines du premier Moyen Age qui écoutaient le monde civilisé autour de leur cloître crouler, qui ne croyaient plus qu’en la fin du monde; et toutefois qui écrivaient difficilement, en hexamètres durs et ténébreux, d’immenses poèmes pour personne ». Commencé comme un exercice d’une trentaine de vers, « un récitatif d’opéra à la Gluck », le poème crût et se développa par fragments remis vingt fois sur le métier — il y eut parfois plus de trente états successifs.
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