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LA BETE HUMAINE Auteur : Emile Zola Edition : Classique Pocket

Publié le 26/09/2018

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Comparer le début et la fin de l’œuvre : 
Au début de l’histoire, Jacques paraît être une personne douce, belle et agréable à vivre mais au fil du temps, on découvre que cette personne est en réalité un assassin qui ne peut s’empêcher d’égorger les femmes pour son plaisir. A la fin de cette histoire, Jacques meurt à cause d’une bagarre avec Pecqueux. On découvre aucours de ce récit, qu’il faut mieux se méfier des apparences car elles sont trompeuses et cet homme qui paraissait si docile, est en fait, un criminel atteint d’une folie héréditaire.

Avez-vous aimé cette œuvre ? Présentez trois arguments. 

Oui, j’ai bien aimé ce roman. 
En effet, il est très captivant et très intéressant. On y trouve non seulement une histoire d’amour mais aussi des histoires de meurtres et des enquêtes policières. De plus, on aperçoit l’émotion des personnages. Par exemple, malgré son apparence d’un homme doux et sensible, Jacques est né pour tuer et, est enfermé dans ce cercle vicieux. Malgré beaucoup de description, ce livre reste accrochant car on y découvre les sentiments, les pulsions de Jacques qui tue une femme qu’il aime sans qu’il ne devienne malheureux. Ce roman nous permet d’essayer d’avoir de la compréhension pour des personnes pas comme les autres.

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« (1886) et peut -être les crimes de Jack l’éventreur, (1888). Résumé de l’histoire : Séverine Roubaud, femme du sous-chef de la gare du Havre, est la filleule du président Grandmorin.

Son mari découvre leur liaison et fou de jalousie, il l’oblige à l’aider à assassiner Grandmorin à bord de l’express Paris -le Havre.

Mais Jacques Lantier, mécanicien sur la même ligne voit le crime et devine vite qui en sont les auteurs.

Pour acheter son silence, Roubaud encourage sa femme à le séduire.

Jacques s’éprend de Séverine et espère, grâce à elle, échapper à la folie héréditaire criminelle.

Le juge d’instruction Denizet, bien qu’il ait frôlé la vérité, préfère au nom de la raison d’Etat et sous la pression du ministère de la justice, ne pas laisser salir la mémoire de Grandmorin et décide de ne pas poursuivre l’enquête.

Tandis que les relations du couple se dégradent, la liaison de Jacques et de Séverine provoque la jalousie de Flore, fille du garde-barrière, qui fait dérailler leur train, et les voyants sains et saufs, se suicide.

Les deux amants s’apprêtent à tuer Roubaud qui gêne leur relation mais Jacques repris par sa névrose tuera Séverine.

Roubaud et Cabuche, surpris sur les lieux du crime sont condamnés comme complices pour le premier et second meurtre.

Jacques eut une relation avec la femme de Pecqueux et luttant avec lui à bord du train, tombèrent sur la voie.

Le train, privé de conducteur, s’enfonce dans la nuit vers l’inévitable catastrophe.

Etude Critique S’agit-t -il d’un titre concret, d’une œuvre éponyme ou d’une métaphore ? La bête humaine est une métaphore.

En effet, Zola compare cet homme à une bête car elle se jette sur sa proie comme si elle allait la dévorer.

Par exemple, un loup dans une bergerie ne sera jamais rassasié, tant qu’il n’aura pas égorgé jusqu’au dernier mouton.

Ce titre montre la cruauté et la brutalité de ce roman.

De plus, même si Jacques devient une terreur lorsqu’il est attiré par une femme, il reste quelqu’un d’humain, agréable et sympathique à la première approche. Proposer un autre titre qui montre que vous avez compris l’œuvre : On aurait pu appeler ce roman « la folie des femmes ».

Jacques Lantier est une personne agréable et pourtant à l’approche d’une femme, son caractère se métamorphose et il ne peut s’empêcher de l’égorger.

En fait, il devient fou à l’approche d’une d’entre elles d’où la proposition de ce nouveau titre. Comparer le début et la fin de l’œuvre : Au début de l’histoire, Jacques paraît être une personne douce, belle et agréable à vivre mais au fil du temps, on découvre que cette personne est en réalité un assassin qui ne peut s’empêcher d’égorger les femmes pour son plaisir.

A la fin de cette histoire, Jacques meurt à cause d’une bagarre avec Pecqueux.

On découvre au cours de ce récit, qu’il faut mieux se méfier des apparences car elles sont trompeuses et cet homme qui paraissait si docile, est en fait, un criminel atteint d’une folie héréditaire. Avez-vous aimé cette œuvre ? Présentez trois arguments.

Oui, j’ai bien aimé ce roman.

En effet, il est très captivant et très intéressant.

On y trouve non seulement une histoire d’amour mais aussi des histoires de meurtres et des enquêtes policières.

De plus, on aperçoit l’émotion des personnages.

Par exemple, malgré son apparence d’un homme doux et sensible, Jacques est né pour tuer et, est enfermé dans ce cercle vicieux.

Malgré beaucoup de description, ce livre reste accrochant car on y découvre les sentiments, les pulsions de Jacques qui tue une femme qu’il aime sans qu’il ne devienne malheureux.

Ce roman nous permet d’essayer d’avoir de la compréhension pour des personnes pas comme les autres. Présentez la biographie sommaire de l’auteur.

A -t -il appartenu à un mouvement littéraire ? En quoi l’œuvre fait -elle partie de ce mouvement ? Emile Zola est un écrivain naturaliste.

Né à Paris le 2 avril 1840,il n'a que sept ans quand meurt son père.

Il vit alors dans la pauvreté.

Après avoir abandonné ses études scientifiques, il devient, de 1862 à 1866, chef de publicité à la librairie Hachette, ce qui lui permet de connaître les plus grands auteurs de l'époque.

Emile Zola publie son premier ouvrage, "Contes à Ninon" à l'âge de vingt-quatre ans et fréquente les républicains.

Puis il se. »

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