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JOHN LOCKE : QUELQUES PENSEES SUR L'EDUCATION (Résumé & Analyse)

Publié le 17/01/2022

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Locke (John). Philosophe anglais (1632-1704). • Dans l'Essai sur l'entendement humain (1690), Locke affirme sans équivoque son désir d'écrire « une oeuvre moralement utile » en s'interrogeant sur la nature et sur les limites de l'entendement humain : « Montrer par quels moyens notre entendement vient à se former les idées qu'il a des choses, marquer les bornes de la certitude, définir les limites qui séparent l'opinion de la connaissance. » • Cet ouvrage constitue l'une des références majeures de la philosophie des Lumières. • « Tant de raisonneurs ayant fait le roman de rame, un sage est venu qui en a fait modestement l'histoire... Locke a développé à l'homme la raison humaine comme un excellent anatomiste explique les ressorts du corps humain » (Voltaire). • Toutes nos idées « qui sont tout ce qui est objet de l'entendement humain quand l'homme pense » viennent soit de la sensation soit de la réflexion. • Locke réfute la théorie cartésienne des idées innées qui « sont si peu innées que ni les enfants, ni les sauvages, ni les idiots n'en ont la moindre idée ». • On retiendra parmi ses ouvrages : la Lettre sur la tolérance (1689) et le Traité du gouvernement civil (1690).

« 1 Un mltdmum de dlsdpline est Indispensable Î ·~M~• 1 Une éducation n'est réussie que dans la mesure où l'on n'a pas négligé la formation morale de l'enfant.

La rectitude et la fermeté du caractère sont des préalables obligés à l'exercice de la raison.

Trop d'indulgence c o rrompt l'enfance 1 1 est bi e n d ' aim er ses enfant s, mai s il ne faut pas ch érir leurs d éfauts.

C'est un e e rreur •L.8 grencte faute CM) l'on tombe d'orcllMlr• dans 1'6cluatlon ....

...r.nts, c'eat ( ••• ) qu'on n'• pas .................

UM bonne dlsclpllne pour le .....................

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comlllllicernent.- John l.ocb, ~Pena•as ., NducatJon de croir e que l'on pe ut san s danger av oir de l' in­ dul g en ce pour une petite s otti s e.

Car si un enfant voir fair e tout ce qu 'il l u i p laît de fai re, l'adult e qu' il dev iendr a pré te n ­ dra au m êm e pri vil ège.

Il ne faut pas laisser l'enfant prendre de mau ­ vaises habitudes S i tou te s l es foi s q u 'u n e nfant ve ut un e fr iandi se nou s la lui donnon s pour l' e mp ê­ c h er d e pleur er ou de se m e ttre en col è re, il ne faudra pas alor s s'é ton ­ n er si, d eve nu gra nd , il se montr e in capabl e d e se c ontrôl er lorsqu e la pa ssion «l'e n tr a îne au vin ou aux fe m­ m es» , et à bi en d ' autr es a été ac cout u m é à pou -excè s e ncore .

Il faut apprendre à l'enfant, au besoin par la contrainte, à gouverner ses passions C, es t d ès l e plu s j e un e âg e qu e l'e n­ fant doit appr endr e à soum ettr e ses dés irs aux ex igen ces de la rai s on .

Ce lui qu i n 'a pa s é té a cc outum é à soum ettre sa volont é à la raiso n d es autre s pe ndant qu 'il est jeun e ne sa ura pa s éc out er l es con seils de sa propre raison quand il sera en âge de s'e n s e rvi r.

Les mauvaises habitudes asservissent l'homme.

Aussi faut-il , le plus tôt possible, apprendre à les éviter .

Pour ce faire, il est nécessaire de recourir à la contrainte quand l'homme est encore trop jeune pour se gouverner.

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