HISTOIRES VRAIES SYNTHESE: L’égoutier de Londres
Publié le 06/04/2021
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L’égoutier de Londres : Histoires vraies est un recueil de sept nouvelles écrites par Blaise Cendrars et publié en décembre 1937 qui raconte ses propres expériences de vie. L’auteur est à la base un poète qui s’est ensuite essayé avec succès au journalisme, il publiait ses nouvelles dans le journal « Paris Soir Dimanche » : cinq des sept présentes dans « histoires vraies » ont d’abord vu le jour dans ce journal. L’auteur nous fait voyager à travers ses différentes histoires car chacune d’entre elle nous plonge dans un univers et une culture totalement différente. On passe du Havre à Vancouver, le voyage-express de son magnifique cercueil des eaux de Cuba à la plage de Miami, de la boue des tranchées de la Grenouillère passant par l’or des caves de la Banque d’Angleterre, et au pauvre camp des chercheurs de diamants du Rio des Garcias. La nouvelle que j’ai préférée est : « l’égoutier de Londres » qui raconte son histoire et celle de Griffith, ancien égoutier londonien. Cette nouvelle relate ses souvenirs en tant que soldat de la légion durant la 1ere guerre mondiale et son incroyable rencontre avec Griffith qui va lui révéler un drôle de secret.
«
Dans cette nouvelle, l’auteur nous fait par de son expérience personnelle
en tant que soldat de la légion dans le régiment du 3 déménageur durant
la première guerre mondiale à Tilloloy
Il nous fait part de sa condition de « bleu » et de l’opposition qui existe
entre les « bleus et les anciens soldats qui font figures de modèles.
Ces anciens soldats africains parlaient beaucoup d’une certaine prison,
celle de Sidi-Bel-Abbès.
Beaucoup de rumeurs circulaient concernant cette
prison et ceux qu’ils l’avaient construites en était très fiers parce qu’elle
cachait un secret que personne ne connaissait à part eux.
Parmi tous ces hommes, il y en a un qui se démarquait par son hystérie et
son humour glacial, c’était un ancien égoutier Londonien du nom d’Arthur
Griffith.
Malgré un démarrage difficile, Blaise et Griffith étaient assez proches et ils
patrouillaient souvent ensemble et s’entendaient relativement bien.
Alors qu’il est sur le point de mourir, Griffith raconte à l’auteur le pari qu’il
a passé avec le gouverneur de la banque d’Angleterre quand il était jeune.
Il a parié 1 semaine de son salaire qu’il arriverait à franchir les barreaux de
la banque d’Angleterre et a parvenir à aller à la salle des coffres.
Il a réussi
mais n’a jamais révélé comment il avait fait, le gouverneur le paya et lui
ordonna de ne plus jamais mettre les pieds en Angleterre.
Ce secret
Griffith l’avait gardé toute sa vie il ne l’a seulement révélé à l’auteur sur
son lit de mort, après ça, toute la légion était mise au courant.
Cette nouvelle est ma préférée parce que c’est la victoire de l’homme du peuple face aux
représentants du gouvernement parce grâce à sa ténacité Greffith réussit a non seulement
rencontrée le gouverneur et d’aussi mené un pari incongru avec ce dernier qu’il finit par gagner sans
en trahir le secret au départ on s’attend à que ça soit une description de la vie des légionnaires mais
enfaite le fond de l’enjeu du texte c’est plutôt de parler des secrets des différents acteurs de
l’histoires
Au départ la nouvelle ressemble a un récit classique sur la guerre avec les relation entre les anciens et
les bleus et la difficulté de la vie quotidienne a ce moment la cependant le récit prend très
rapidement des le deuxième chapitre une tournure nouvelle avec l’arrivée de Greffith ce personnage
qu’au départ on adore détesté et qui finalement nous touche dans son histoire son arriver crée une
histoire dans l’histoire on en oublie presque l’origine du récit qui relate la vie des soldats pendant la
guerre et on est tenue en haleine par le récit de Greffith
Mon passage préféré est le moment ou Griffith révèle son secret a l’auteur : « tu m’croiras p’t’etre,
caporal ? Ce lord,qu’était pas con, il a accepté mon pari………….
J’l’ai juré.
Et y faut qu’j’claque pour
t’parler d’ça, t’sais… ».
Parce que c’est la chute de récit, on ne s’attend pas à sa en commençant
l’histoire, ce passage témoigne de la force mental et physique de Greffith cela contraste avec le
portrait qu’on nous présente de Greffith au début de la nouvelle..
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