HEURES CLAIRES (Les) d’Émile Verhaeren
Publié le 12/05/2016
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C’était l’œuvre préférée du poète et son meilleur critique, Stefan Zweig, y voit la « part la plus durable, parce que la plus personnelle, de la poésie de Verhaeren !. Ce recueil suivait la fameuse trilogie : les Soirs, les Débâcles, les Flambeaux noirs où Verhaeren se laissait gagner par le désespoir : ce n'était en effet que visions de cauchemar, et Verhaeren semblait s’acheminer sur la voie des poètes maudits, menacés par la hantise et la folie. Avec les Heures claires, il se reprend. L'occasion du salut, l’issue vers la paix intérieure et la réconciliation avec une nature apparue tout d’abord si adverse, c’est l’amour du poète pour sa compagne : la présence de la femme domine toutes les Heures, mais il s'agit d’une présence presque immatérielle. La femme ici est vraiment divinisée. C’est un moyen de communion avec la nature entière. L'amour, pour Verhaeren, n'est pas solitude...
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