Fiche de lecture Tartuffe

« comportement.

Seuls elle et Orgon sont persuadés des mérites du dévot et de l’exemple qu’il est pour chacun ; les autres, dont Dorine, estiment que « tout son fait n’est qu’hypocrisie » Scène 2 Cléante et Dorine discutent de cette adulation excessive et naïve de Mme Pernelle pour Tartuffe.

Cléante souligne l’entichement plus excessif encore d’Orgon.

Scène 3 Damis demande à Cléante d’intervenir auprès d’Orgon pour soutenir le mariage de sa sœur, Mariane, avec Valère, qui est compromis par la présence de Tartuffe auquel Orgon réserve sa fille. Scène 4 Dorine explique à Orgon l’état maladif dans lequel se trouvait son épouse la veille.

Orgon, plus inquiété par le sort du dévot que par celui d’Elmire demande : « Et Tartuffe ? » Scène 5 Cléante parle de Tartuffe à Orgon, qui ne l’écoute pas et en fait un éloge aveuglé : il expose la piété et l’exemple de charité qu’est Tartuffe.

Cléante, pour lui ouvrir les yeux, dit inutilement : « Vous ne ferez nulle distinction/ Entre l’hypocrisie et la dévotion ? » ACTE II Scène 1 Orgon annonce son souhait que Mariane épouse Tartuffe pour le lier à sa famille. Scène 2 Dorine ne croit pas à cette annonce de mariage mais Orgon insiste sur la véridicité de cette nouvelle.

La suivante entame alors un discours très critique contre Tartuffe, mais, malgré ses tentatives pour dissuader Orgon (il a déjà promis Mariane à Valère), le vieillard campe sur ses positions et, excédé par Dorine, s’en va. Scène 3 Mariane reste passive : « Contre un père absolu/ Que veux tu que je fasse ? » Elle se chamaille ensuite avec Dorine, qui ne supporte pas l’immobilisme de la jeune femme.

Pour la faire réagir, elle lui expose les conséquences de ce mariage : « Non, vous serez, ma foi, tartuffiée ! » Mariane n’aperçoit dans ce destin qu’une issue funeste. Scène 4. »