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Fiche de lecture: Suzanne Berger - Notre Première Mondialisation : Leçons d'un échec oublié

Publié le 01/08/2012

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La réponse se trouve plutôt dans la façon dont les syndicats et partis de gauche interpréteraient ces intérêts. Les besoins des classes ouvrières ne sont plus les mêmes non plus, le panier repas n’est plus l’essentiel des dépenses, désormais ces ménages moyens mettent une part plus conséquente de leur revenu dans les habits, le confort, l’équipent en nouvelles technologies chose dont ne préoccupaient pas les classes populaires de 1900. Plus tard l’auteur nous explique les gauches européennes notamment la gauche française n’as pas de programme d’ouverture et que ce n’est qu’à contre cœur qu’il accepte la mondialisation alors qu’au contraire il faudrait la poursuivre pour accéder à nos intérêts. Suzanne Berger nous montre aussi que rien n’est plus en in adéquation que la mondialisation et la guerre. Comme on a pu le constaté en Corée ou en Europe lors de la Première Guerre Mondiale. Mais là aussi selon l’auteur la situation aurais changé car en 1900 il y avait plusieurs grandes puissances alors que maintenant il n’y en aurait qu’une, Les Etats Unis.    Pour ma part j’ai trouvé cet ouvrage assez intéressant et plutôt bien fais car malgré sa relative condensation ce qui est aussi une force, cela permet de ne pas en décrocher et d’être toujours concentré sur le sujet, on y trouve un historique assez complet et rempli d’exemple notamment sur ce que Suzanne Berger appelle la première mondialisation du début du XIX ème siècle. D’autre part le livre est construit de manière très organisé on peut y voir que l’auteur y

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« économiques » banales que l'on peut avoir l'occasion de rencontrer.

L'auteur n'omet pas de faire plusieurs références a des auteurs classiques et n'oublie pas cité cessources ce qui est bien pour une étude approfondie du sujet.

Cependant il y a encore quelques zones d'ombre pouvons relever plusieurs faiblesses dans ce livre.

Toutd'abord, je trouve que Suzanne Berger se consacre trop à la France pour parler de la Mondialisation, elle centralise trop son étude sur l'Hexagone, cet exemple nousparle donc plus mais cela aux dépens des autres pays ce qui aurait pu être intéressant.

Par la suite il est assez dommage de voir à quel point elle place les Etats Unisen tant que seul puissance a l'heure actuelle en négligeant l'Union Européenne ou les pays émergeants comme la Chine, L'Inde, Le Brésil ou La Russie.

De plus j'aitrouvé assez dommage que l'auteur ne réponde pas toujours aux questions qu'elle nous pose notamment dans l'introduction et dans le chapitre 1.

Dernier point que jetrouve assez négatif, c'est le fait que Suzanne Berger nous laisse nous faire notre propre idée sur des mots précis comme internationalisation alors qu'il faudrait peut-être mieux les définir de manières précises.. »

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