Devoir de Philosophie

fiche de lecture sur Freud

Publié le 03/02/2022

Extrait du document

lecture

« Fiche de lecture sur Freud : La thèse principale est la déception causée par la guerre et la nouvelle attitude qu’elle nous impose à l'égard de la mort.

(Page 7 : Parmi les facteurs […] il en est deux que je me propose de faire ressortir et d'examiner ici : la déception causée par la guerre et la nouvelle attitude, qu'à l'exemple de toutes les autres guerres, elle nous impose à l'égard de la mort.) Passage repérés : Freud écrit espérer à la sécession de la guerre ; il écrit que la guerre entre des petits peuples serait acceptable, entre une grande nation civilisée et un petit peuple non civilisé également , mais entre les plus grande nation censée être civilisé et en voie au progrès il ne devait pas avoir lieu d’être ( page 7 : Mais on osait espérer que les grandes nations dominatrices de race blanche, auxquelles est échue la mission de guider le genre humain, qu'on savait absorbées par des intérêts s'étendant au monde entier, auxquelles on doit les progrès techniques leur ayant assuré la maîtrise de la nature, ainsi que tant de valeurs artistiques et scientifiques, il était permis d'espérer, disons-nous, que ces nations du moins sauraient vider leurs malentendus et leurs conflits d'intérêts autrement que par la guerre).

Avec l’alliance des grande nation cultivées, une nouvelle patrie devait naitre afin que des individus puissent profiter de chaque parcelle de terre sans restrictions ( page 8 : Cette nouvelle patrie ; Il pouvait ainsi jouir de la mer bleue et de la mer grise, de la beauté des cimes neigeuses et de celle des plaines vertes, du charme de la forêt nordique et de la magnificence de la végétation méridionale, des sentiments éveillés par les paysages auxquels se rattachent de grands souvenirs historiques et du calme de la nature inviolée.).

Cet individus qui avait découvert comment comprendre la vie et en jouir par les poètes et grands écrivains d’une nation qui n’est pas la sienne, ne les avait pas considérés comme des ennemis mais les avait mis au même niveau que ceux de son propre pays sans pour autant avoir le sentiment d’infidélité envers sa terre et sa langue (page 8 : Parmi les grands penseurs, poètes, artistes de toutes les nations, il avait choisi ceux auxquels il croyait devoir le meilleur de lui-même, ceux qui lui ont montré comment il fallait comprendre la vie et en jouir, et il les avait rangés au même niveau que les immortels classiques et les maîtres familiers de son propre pays ; il n'avait jamais eu le sentiment de commettre une infidélité à l'égard de sa propre nation et de sa langue maternelle qui lui restaient toujours aussi chères.) Freud explique qu’il nous est impossible de penser à sa propre mort, amenant ainsi l’idée qu’en réalité nous nous croyons immortel.

Pour la mort d’un proche, nous préférons ne pas y penser, ne pas évoquer le sujet surtout en présence de la personne mourante.

Seuls les enfants n’ont pas ce tact d’éviter le sujet.

(Page 19 : ce qui revient au même, dans son inconscient chacun est persuadé de sa propre immortalité.

; Pour ce qui est de la mort d'autrui, l'homme civilisé évite soigneusement de parler de cette éventualité en présence de la personne dont la mort paraît imminente ou proche.

Seuls les enfants ne connaissent pas cette discrétion). »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles