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Fiche de lecture "le syndrome du bocal" de Claude Pinault

Publié le 11/09/2018

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COMMENTAIRE :

 

 

J’ai trouvé ce livre passionnant. Sa lecture a eu pour moi un grand intérêt car il m’a réellement permis de me mettre à la place du patient, de ressentir sa peur, ses craintes, ses doutes et ses souffrances. De plus, on s’aperçoit également des maladresses inconscientes du personnel hospitalier, malgré toutes leurs bonnes volontés. On constate que de temps en temps, le patient préfère être seul, et que la vision des valides peut parfois être frustrante. Cela me permettra lors de mes prochains stages d’aborder le patient d’une façon différente, qui sera sûrement plus efficace et plus adapté en essayant de prendre en compte son ressenti. Notamment pour les toilettes, lorsque Claude Pinault décrit la sienne pour la première fois, on ressent vraiment qu’il éprouve une gêne. Gêne que l’on ne perçoit pas forcément en pratique. Je pourrais donc adapter mes parole et mes geste afin d’atténuer cet embarras.

Ce récit m’a également permis d’en apprendre beaucoup plus sur ce syndrome, ainsi que sur quelques soins comme la pose d’une sonde urinaire…

‘’Le syndrome du bocal’’ a donc été pour moi très bénéfique et très instructif. Notamment dans le comportement à tenir, la manière de communiquer vis-à-vis des patients pour réaliser au mieux ce que j’ai appris dans mon futur métier et également lors de mes stages.

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« donc d'aller consulter un neurologue qui soupçonna également ce même syndrome.

Il l'envoya alors à l'hôpital pour confirmer son diagnostic.Claude eu un aperçu de la réalité de la vie hospitalière.

Il dut ensuite endurer une douloureuse ponction lombaire et un malaise.

Il fut alors transféré vers un service de réanimation dans un hôpital voisin. Lors de son admission, il se souvint de cette piqûre de méduse qu'il a subit durant ses dernières vacances. Malgré cette journée de souffrance, le médecin lui annonça que les résultats de sa ponction lombaire n’avaient rien révélé d'anormaux.

Mais, certains médecins ont des doutes.

Il faudrait confirmer ce syndrome par une seconde ponction lombaire. L'équipe médicale fit alors part à Lisa, sa femme, de la gravité de cette maladie.

Ce fut alors pour elle un énorme choc émotionnel.

Sa fille en avait, elle aussi, comprit la signification. Malgré le soutien de sa famille, Claude vit de plus en plus mal sa perte d'autonomie.

Il débuta le soir même le traitement préconisé.

Cela ne lui apporta aucun réconfort.

Personne ne pouvait répondre concrètement à ses questions, personne ne pouvait lui garantir une guérison.

Jusqu'au jour, où un spécialiste eu un entretien avec lui.

Pour Claude, tout s'effondra, car les réponses du médecin n’étaient pas optimistes.

Mais, heureusement sa famille était là pour le soutenir. L'alitement prolongé provoqua des constipations douloureuses.

Mais cette souffrance, n'était rien comparée à l'humiliation à laquelle il dut faire face lorsqu'il dut faire sur le bassin.

Son manque d'autonomie était une réelle épreuve à laquelle s'ajoutaient ses douleurs neurologiques. La nuit suivante, malgré la dose maximale d'antalgique, ses souffrances s'amplifièrent à tel point qu'il voulut mourir.

Sa vie lui échappée. Comme tous les dimanches, il reçut la visite de ses deux fils, Jules et Marins. Puis Claude se remémora son ancienne vie : son enfance, son travail, la construction de sa maison son amour pour l'écriture... Le fait que les résultats de sa deuxième ponction lombaire soit négative fit planer le doute dans l'esprit de Claude ainsi que de l'équipe soignante.

Des multitudes d'examens furent alors relancées. Malheureusement, l'annonce des conclusions fut terrible pour le couple.

En effet, selon le médecin il ne pourra plus remarcher.

L'axone est touché. Malgré le réconfort qu'un infirmier essayé de lui apporter, Claude ne parvenait pas à retrouver la foi. L'infantilisation fut ensuite de rigueur.

Il se sentit complètement soumis aux autres, notamment pour les repas. De ce fait, ils l'orientèrent vers un service de rééducation.

Il fut transféré vers l'hôpital de Kerpape. Peu après son arrivée, il rencontra Fleurette, une ergothérapeute qu’il décrivit comme une fée.

Celle-ci lui apporta beaucoup de réconfort.

Elle le forma à l'utilisation de la commande têtière, un appareil de contrôle de l'environnement.

Il prit cette nouvelle admission comme une nouvelle vie.

«A déguster sans modération», (p.169 - l.16).

Mais la présence d'autres personnes handicapées, lui fit prendre conscience de. »

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