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fiche de lecture- la cité grecque a l'époque antique Pierre BRULé

Publié le 16/12/2012

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Auteur : PIERRE BRULE Titre : la cité grecque à l'epoque classique édition : 3e édition revue et corrigée, presses universitaires de Rennes, 1997, 195 pages. Structure : introduction, 9 chapitres, 6 cartes, 8 tableaux, 14 schémas, 21 textes, bibliographie, index. Avis personnel : style clair, détaillé, très complet et facile à lire. L'auteur revendique son livre comme un ouvrage d'apprentissage destiné aux etudiants, qui emane d'une certaine conception de l'histoire, celle des structures, geographique, demographique, economique et sociale. Le but etant aux étudiants de comprendre les enjeux des cités grecques a l'epoque classique, tout en approfondissant avec les nombreux textes et cartes presentes tout au long du livre. Introduction : Pierre brulé commence son ouvrage par déclarer un avertissementsur la portée de son livre, qui n'est pas « une nouvelle synthèse sur la cité grecque « mais plus une mise en lumière de son origine, sur des apects de la societé grecques : « je devais d'autant plus m'attcher a les éclairer qu'ils se trouvaient plus dans l'ombre « ecrit-il.Il cadre ainsi son oeuvre de Clisthène a Alexandre tout en étayant ces données par de nombreuses cartes et textes philosophiques PREMIERE PARTIE : Geographie p1-31 Dans cette première partie (p1-33) Pierre Brulé commence par faire plusieurs défintions, d'abord de la grèce (elle n'existe pas au sens strict mais evoque des pays héllenes) et de sa délimitation spatiale ( de la franges littorales de l'Asie mineure à l'ouest jusqu'à nos côtes) afin de mieux comprendre son fonctionnment.Puis de la langue parlé dans ses pays et leurs situations spatiales par exemple les différents dialectes dorien, ioniens,mais en insistant sur le fait que tous se comprennent a l'execption des « barbares «.les défintions continuent sur la cité et l'ethnos et sur son utilisation par les peuples grecques,il parle de ses différences geographique en donnant exemple de la chôra pour la polis et du kômai pour l'ethnos et qu'au cours de l'epoque classique ces communautés connaitront une tendance au federalisme qui verra la mise en place d'organismes politiques centraux.Ici l'auteur s'interessent plus a l'ethnos et plus particulièrement athènes qui selon lui peut entendre deux sens ; ville moderne et antique et sur leur conception de « ville « différente avec la nôtre comtemporaine car ils ne concoivent pas la cité comme coupée de sa base humaine. La geographie dans cette première partie tiens toujours une place importante car l'auteur ici parle de la morphologie et du morcellment de la Grèce qui on cloisonnée comme les cellules d'une ruchel les pays. La presence de la carte p4 sur le territoire d'une polis: mantinée en Acardie montre l'altitude elevée ainsi que l'étroitesse du territoire et de leurs côtés ouvert sur la mer. Cette carte permet d'en conclure que le cloisonnement géographique ne commande ni la taille ni la forme de l'etat et il en conclut qu'a l'epoque classique les constants geographiques ont pris le pas sur les volontés hegemoniques. Ainsi la cité classique realise dans la majotité des cas l'unité economiques et politique.brulé nous montre l'omnipresence de la montagne dans le monde grecque en s'appuyant sur des pourcentage ( elle couvre 80% de la grèce) malgré le peux d'information que l'on a dans nos sources sur les montagnes et leurs occupations, on sait quelles etaient peuplés « la montagne est productrice d'hommes« et quelles avaient un fort pouvoir agricoles (comme le céreales) et cultivés souvent des plaines a de grandes distances et gardés la population contre certaines maladies (la disette) ou les attaques ennemies. L'auteur ensuite il s'attarde sur l'identifixation et la localistation des cités, taches souvent compliqués car de nombreuses villes ont disparus, mais que grâce à l'archéologie, la littérarure l'on trouve la postion de certaines villes de par l'épigraphie et la numismatique il donne ici l'exemple de la monnaie d'Athènes frappé par la tête de hibou tres representative et des nombreuses stèle gravé qui permettent de caracteriserles cités.Cependant les liste du tribut au Vème siècle constitue une plus grandes sources geographique car elles conservent les noms de poleis ( comme celui 441 qui en conservent 225), cependant cette quête du nombre est extrêmement diffcile,les nombres souvent présents sont exagerés, inventés comme quand Hérodote evalue a 1800 000 le nombre de combattants de l'armée d'invension de Xerxès ainsi les données numérique manquent de precisions « il ne suffit de ne pas chercher à poursuivre des buts inaccessibles eu égard à la nature et à la valeur des sources « la fin de cette première partie relate de la population citoyenne, Pierre Brulé de par plusieurs exemples d'auteurs et de leurs thèses tente de montrer comment son former cette citoyenneté et leur repartitions interne, par exemple Hansen considere que le seul effectif que l'on peut tirer du passage de Thucyclide est celui des citoyens de 18 à 60 ans des classes centaires,...mais le brouillard s'épaissit autour des thètes, les métèques et les esclaves.cette variation de la population connait un taux d'accroissement plus fort malgré 70 000 perte de personnes en 27ans de guerres, les mariages sont acteurs de grands desequilibres car la difference d'âge pousse le veuvage a vite apparaitre, ainsi (p28-32) les textes d'Aristote, politique,prouve les propos de l'auteur selon la defintion de la cité et qui montre la regulation Grèces comme une institutions strictes des naissances et du mariage. SECONDE PARTIE: La societé et le système politique p33-61 Comme pour la première partie Pierre Brulé procède a une défintion du thermes de citoyens qui est très difficile a definir de par sa complexité semantiques il se réfère ici a Aristote «tout le monde n'est pas d'accord pour donner cette qualité au même individu..le citoyen est nécessairement différent selon les politéiai(constitutions)«. L'auteur par une enumération des devoirs et droits du citoyen montre l'importance de la cité a l'epoque classique comme par exemple un rapport privilegié à la propriété froncière,..et la place du citoyen dans le monde grecque (comme le fait qu'il faut avoir été inscrit dans la phratrie de son père) les métèques sont montrés comme des étrangers possédant des droits plus importants que les autres, mais ils ont interdis d'accès à la sacerdoces et l...
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« la fin de cette première partie relate de la population citoyenne, Pierre Brulé de par plusieurs exemples d'auteurs et de leurs thèses tente de montrer comment son former cette citoyenneté et leur repartitions interne, par exemple Hansen considere que le seul effectif que l'on peut tirer du passage de Thucyclide est celui des citoyens de 18 à 60 ans des classes centaires,...mais le brouillard s'épaissit autour des thètes, les métèques et les esclaves.cette variation de la population connait un taux d'accroissement plus fort malgré 70 000 perte de personnes en 27ans de guerres, les mariages sont acteurs de grands desequilibres car la difference d'âge pousse le veuvage a vite apparaitre, ainsi (p28-32) les textes d'Aristote, politique, prouve les propos de l'auteur selon la defintion de la cité et qui montre la regulation Grèces comme une institutions strictes des naissances et du mariage. SECONDE PARTIE : La societé et le système politique p33-61 Comme pour la première partie Pierre Brulé procède a une défintion du thermes de citoyens qui est très difficile a definir de par sa complexité semantiques il se réfère ici a Aristote «tout le monde n'est pas d'accord pour donner cette qualité au même individu..le citoyen est nécessairement différent selon les politéiai (constitutions)».

L'auteur par une enumération des devoirs et droits du citoyen montre l'importance de la cité a l'epoque classique comme par exemple un rapport privilegié à la propriété froncière, ..et la place du citoyen dans le monde grecque (comme le fait qu'il faut avoir été inscrit dans la phratrie de son père) les métèques sont montrés comme des étrangers possédant des droits plus importants que les autres, mais ils ont interdis d'accès à la sacerdoces et le meurte d'un métèques n'est pas reconnu en tant que tel, comme les autres citoyens ils payent un impôts le metoikion .Cependant l'esclave « chose » privé de son identité peut aussi comme le météques se faire tuer neanmoins cette simplifications des statuts ne s'accompagne pas d'une hierarchie des emplois, l'esclaves peut labourer, pétrir,...mais versent une redevance au detenteur l'essentiels de leurs revenus. DOCUMENTS Comme pour chaque fin de partie ici six textes sont présents dont 4 d'aristote et un de plutarque, puis pareillement pour Athénée.ces textes illustrent les propos de pierre Brulé comme par exemple la défintion du citoyen par Aristote, politique qui comme pierre Brulé pose les questions de leurs nature, leurs place et fonction, puis selon Plutarque, vie des dix orateurs racontant l'hisoire de Lysias météques venu à athènes qui aida les democrates de Phylés au retour en leurs donnant des ommes astronomiques(on voit ici l'exageration des nombres) de drachmes, boucliers,...ces textes parlant de l'esclavagisme, de la populations sont des temoins des sources importantes pour la compréhenion des cités. La plupart de nos mots comme le fais remarqué pierre Brulé viennent du grecs ancien, il procède à des definitions précises démocratie et de monarchie en se basant sur l 'arkhè concept fondamentaux de la pensée politique grecque (il prend exemple des arkhè atheniennes) ou il est impensable que ce soit une pluralité de personnes qui decident et non le roi seul ( Eschyle, les suppliantes) .

Pierre brulé énumerent le nombre de mots qui definissent les régimes politiques monarchique-oligarchique-democratie et, comme eunomia (bonne cohesion du corps social) ou encore l' isegoria (égalité de prise de parole) oppose démocratie et oligarchie selon plusieurs niveaux comme sur la liberté, la defintion de la citoyenneté,... cette opposition continue dans les regles d'accès à l'assemblée des citoyens, l'un laisse de la liberté relative à son peuple l'autre fixe des régles.

Cette instution oligarchiques basé sur assemblée conseil et magistrats s'agit d'assemblée de citoyens élus ou désignés.Pierre Brulé ici se base sur Sparte pour parler de l'assemblée du peuple.

L'assemblée sous la dependance de l'ephore (5 elu par acclamtion, rôle de censure et de surveillence) et de la gérousia ou seul les spartiates ont droit d'acces.mais l'opinion de l'assemblée n'est pas préponderante « Sparte a toujours repugné à toute constituion logiquement bâtie et fonctionnant au grand jour, selon les règles dûment rédigées ».Quand a la gérousia c'est le comité qui examine et prépare le projet soumis ensuite a l'assemblée, elle a des droits judiciaires, elle participe au gouvernement de la cité. Si la forme politique le plus repondue est la cité l'on ne parle pas assez selon Pierre Brulé des mecanismes internes qui les lient, elles appartiennent en effet a l' ethnos (appartenance a ne même communauté)Par exemple il a la Ligue Panionienne des cités d'Ionie et sa manifestation en la célébration du culte de Poseidon dont le sanctuaire se situe sur une autre île DOCUMENTS Deux textes ici le premier d'Aristote, Politique et le second Xenophon, la constitution des Athéniens , le premier texte compare la démocratie « l'égalité l'état des choses dans lequel les pauvres ont autant de droits que les riches et où les deux classes sont placées l'une et l'autre sur le même plan » a l'oligarchie « l'accès. »

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