Fiche de lecture : Et si c’était vrai..., Marc Levy

« Entre temps, Lauren et Arthur continuent de se fréquenter ce qui peut provoquer des situations loufoques en publique puisque personne ne peut la voir.

Tous deux apprennent à se connaître : Arthur questionne beaucoup Lauren sur sa condition de « fantôme » qui s’avère être moins agréable qu’il pensait.

A cette annonce, Arthur décide de faire des recherches poussé&es avec Lauren afin de trouver une solution pour faire revenir Lauren du coma.

Dès son retour à la maison, Arthur s’atèle à ses recherches sur le coma.

Malgré deux jours et deux nuits de recherches intensives, Lauren perdant espoir prie Arthur de retrouver sa vie « d’avant ».

Toutefois, Arthur insiste de lui laisser le droit de l’aider.

Ce fut l’occasion d’une discussion plus intime entre les deux jeunes gens notamment sur leurs précédentes liaisons amoureuses et leur conception de l’amour.

Une relation plus intense se développe alors.

Arthur est réellement impliqué dans sa recherche sur le coma : il passe des journées entières à la bibliothèque s’interrompant uniquement à une heure avancée de la nuit pour rejoindre Lauren à la maison. Tout se passait pour le mieux jusqu’au jour où Lauren appris que sa mère, chagrinée de la voir dans cet état végétatif et poussée par le corps médical a décidé de l’euthanasier.

Arthur élabore donc un stratagème : enlever le corps de Lauren à l’hôpital.

Etant donné que Lauren n’a pas besoin d’assistance respiratoire, il suffit juste de s’occuper de ses soins ainsi que de la perfuser : la jaune femme ayant les connaissances en médecine suffisantes et pourrait donc guider Arthur.

La phase la plus compliquée reste donc de subtiliser le corps et de la ramener à la maison en sécurité.

Après s’être fait admettre aux urgences pour des colites nerveuses, il récupéra des titres de sorties qu’il compte dupliquer dans un but futur.

Lauren, trouvent la situation très risquée pour son ami le persuade plutôt d’aller parler à la propre mère afin de la dissuader.

Malheureusement,, bien qu’Arthur ait rencontré la mère de Lauren alors qu’elle promenait sa chienne Kali, cette dernière lui a bien fait comprendre qu’elle ne changerait pas sa décision.

En dernier espoir, Arthur fait part à Paul de son projet d’enlèvement du corps de Lauren, son « fantôme » de l’hôpital » et lui demande son aide.

Paul accepte donc à contre cœur d’emprunter une ambulance à son beau-père (carrossier spécialisé dans les véhicules d’urgence) pour son ami.

Pendant ce temps, Arthur récupère tout le matériel nécessaire à la supercherie : blouse de docteur, papiers… Malgré quelques péripéties (Arthur déguisé en docteur a du poser une voie centrale sur un patient le tout guidé par Lauren! Paul s’est fait contrôlé par une patrouille de police), le stratagème d’Arthur fût couronné de succès. Ce chamboulement rappela à Arthur le souvenir de sa défunte mère, Lilian, alors qu’il n’était encore qu’un enfant. Son enfance, Antoine un ami de sa mère, la disparition de cette dernière sont autant de souvenirs qui se bousculent dans sa tête.

A sa mort, Lilian céda à Arthur la maison située à Carmel où il avait passé toute son enfance.

C’est là que le jeune avait décidé d’aller pour s’occuper du corps de Lauren.

L’ambulance contenant les trois jeunes gens prit donc la direction de Carmel.

Une fois sur place, Paul prit congé de son ami.

Lauren et Arthur se retrouvèrent seuls.

La jeune femme en profite alors pour poser des questions sur la place que cette maison a dans le cœur d’Arthur.

Elle souhaite également en savoir plus sur la mère d’Arthur et sur le mode d’éducation qui a tant influencé son fils.

C’est d’ailleurs Lauren qui incite le jeune homme à ouvrir la « valise noire » de Lili (valise contenant l’essentiel de sa vie : photos, objets…).

Arthur apprit que sa mère avait aimé Antoine mais qu’elle avait toujours rejeté cet amour par peur de décevoir son défunt mari.

Toujours dans cette lettre, elle conseille à Arthur de ne jamais renier ses sentiments amoureux contrairement à elle.

Ce conseil fut d’ailleurs l’élément déclencheur d’une relation amoureuse entre Arthur et Lauren. Du côté de San Francisco, les choses se gâtèrent.

L’enlèvement du corps a été déclaré à la police : c’est l’inspecteur Pilguez qui est chargé de l’affaire.

L’enlèvement d’un patient dans le coma n’est pas chose banales, l’inspecteur pensa tout d’abord un trafic d’organes.

Toutefois, lorsque sa collègue Nathalie lui annonça qu’une ambulance suspecte avait été contrôlés à green Street cette nuit là, Pilguez est sur de tenir une piste.

D’indices en indices, Pilguez remonte jusqu’à la carrosserie du beau-père de Paul.

Cette piste de donna rien.

Par contre, l’entrevue entre la mère Lauren et Arthur fut lourde en conséquence : la mère de Lauren ayant trouvé cet architecte louche tout de suite prévenu l’inspecteur en charge du dossier de sa fille.

En se penchant sur ce cas, Pilguez réussit à remonter jusqu’à Arthur.

De nombreuses coïncidences et le fait que la mère de Lauren l’a reconnu en photo ont suffit pour que l’inspecteur s’intéresse de plus près à lui.

Détail frappant également : le fait qu’il ait rétablit l’eau et l’électricité dans sa maison de campagne inhabitée depuis des années deux jours avant le »crime ».

Ni une, ni deux, Pilguez décide d’aller le surveiller à Carmel.

Or Pilguez, sans. »