FICHE DE LECTURE: Cinq leçons sur la psychanalyse de S. Freud

« mensonges.Pour comprendre ces pulsions sexuelles Freud nous dit qu'il faut remonter à la période de la puberté et même plus loin jusqu'à l'enfance.

Car selon Freud il existe unesexualité infantile qui le pousse à être guider par le principe de plaisir (sensation d'agréables puis excitation ...).

Cependant l'éducation reçue va impliquer desprincipe de réalité (moeurs sociales,honte, dégout...).

Ces puissances psychiques (honte,dégout) vont empécher d'animer des plaisirs qui pouvaient exister chezl'enfant conduisant à des symptômes névrotiques tels que la pervesion (les symptômes sont la réalisation déformée de désirs sexuels d'origine infantile).Puis Freud évoque le "Complexe d'Oedipe" (un des parents comme objet de désir) qui est une fois formé est rapidement refoulé.

Cependant ce refoulement joue unrôle central dans la névrose ("retour du refoulé")Freud en arrive à la conclusion que le traitement psychanalytique à une "éducation progressive pour surmonter en chacun de nous les résidus de l'enfance" .

Letraitements psychanalytiques dois faire accepter à la conscience des résidus, refoulé revenant à notre enfance. 5)Cinquième leçon : Au cours de cette leçon Freud cherche à montrer que la névrose est une fuite de la réalité.

La névrose s'installe chez le patient dès que ces besoins érotiques sontrefusé dans la réalité (censure).

Donc la maladie est une fuite pour obtenir la satisfaction et le plaisir que la vie réelle ne permet pas.

L'homme guidé par son instanctde plaisir se refugit dans la maladie.

La réalité s'oppose globalement à la multiplicité de nos désirs .

Cependant l'homme n'est pas forcément comdamner à se retirerdans la maladie (transformations de ces désirs en symptômes) mais il peut aussi déplacer ces désirs vers une activité énergétique (par exemple chez les artistesl'énergie intérieure au lieu de s'exprimer en symptômes névrotiques s'exprime en création esthétique).Au cours d'un traitement psychanalytique un patient déverse contre son médecin psychanalyste un important torrent d'émotion souvent hostile.

Ces évenement sont àl'origine de ces troubles et le médecin joue le rôle d'un "catalyseur" qui attire vers lui les affects inconscients qui viennent d'être libéré .

Cet événement va apellé"notion de transfert" par S.Freud.Puis Freud va chercher à savoir ce que deviennent les désirs inconscients une fois révélés à la conscience (après un traitement).A celà Freud va donner trois solutions.

Soit le refoulement inconscient va être suivi d'une condamnation du désir où le désir découvert va être ramené à sa fonctioninitiale ( évocation de la sublimation :le désir va sortir du cadre de la sexualité) où bien le désir peut disparaître de lui-même. En conclusion Freud explique que le fait de priver un homme de sa satisfaction (comme le fait la civilisation) engendre inévitablement des "conséquences fâcheuses"( pour appuyer son argumentation Freud utilise le mythe du cheval de Schilda). III)Jugement Personnel : "Cinq leçons sur la psychanalyse" m'a permis d'approfondir mes connaissances sur le domaine de l'inconscient.

Quand la psychanalyse est-elle apparue ? Sur quellesétudes reposent-elles? De plus la psychanalyse m'a ammené à une reflexion sur le mécanisme du psychisme humain nottamment sur l'étude des rêves qui m'ainterressé et m'a permis de m'interroger au quotidien sur ce sujet.Le mode de démonstration proposé par Freud reste compréhensible car il prend soin de synthétiser les points importants abordés dans les parties précédentes et deprésenter les nouvelles questions permettant de suivre le cour de son argumentationPour ma part, j'ai trouvé que l'argumentation de Freud (médecin de métier) permet une compréhension du "grand public".

Car celui-ci ne se lançe pas dans unedemonstration scientifique poussé ("Ne craignez pas qu'une formation médicale soit nécessaire pour suivre mon exposé" p8) .

De plus Freud s'appui sur denombreuse métaphore (par exemple l'histoire du cheval de Schilda ou bien l'histoire des deux commerçants "peu scrupuleux"). »