fiche de lecture carl rogers
Publié le 11/01/2015
Extrait du document
«
Finalement, que le client vienne de sa propre initiative ou qu’il soit envoyé par quelqu’un,
l’aidant doit commencer directement à mettre en place des solutions, les meilleures qu’il soit
pour faire un premier pas en avant.
Des fois, il n’est pas même pas nécessaire de mettre en
place un second rendez vous, si dès le premier, les décisions sont évidentes et constatées.
Ensuite, le psychologue américain, dans un deuxième chapitre met en avant la relation
d’aide avec un accent sur le coté psychologique.
Cette théorie défendrait les absences et les
acceptations des conditions ou des oppressions faites par l’aidant, de manières à ce que l’aidé
puisse s’exprimer comme il le souhaite, et pour pouvoir discuter avec l’aidant des décisions à
prendre.
Malgré les restrictions sur le temps, du relationnel affectif de la part de l’aidant, et la
dépendance parfois de l’aidé à l’aidant, une relation d’aide doit, de ce fait, dès le début, être
claire et structurée pour que rapidement et efficacement, l’aidé soit sorti de sa situation qui le
pousse à venir demander de l’aide.
Dans une telle relation, l’aidé doit pouvoir reconnaitre et
accepter ses impulsions positives ou négatives.
L’aide est donc bien différée d’une relation
d’autorité ou d’une quelconque domination, qui sont donc opposées à ce rapport d’aide.
Suite à cela, dans un troisième chapitre, Carl Rogers appuie le processus de la
catharsis, moyen de confidence qu’utilisé aussi l’Eglise avec le confessionnal.
Le but étant ici
de mettre le doigt sur les questions que se posent la personne qui va être aidée, et sur les
problèmes qu’elle a.
Il faut faire en sorte que l’aidé parle sans peur de ses attitudes affectives,
qui sont, selon Rogers, « les bases de ses problèmes et des ses conflits d’adaptation ».
C’est
au professionnel de trouver un moyen pour que le client puisse s’exprimer sans gêne.
C’et
donc sur le contenu affectif du client qu’il va falloir s’attarder, et chercher une façon de
répondre à ses besoins, plus que sur le contenu intellectuel.
Si le client n’exprime pas un sujet
ou un sentiment qui le dérange il n’est pas du professionnel d’aller s’aventurer à lui faire
parler de quelque chose qu’il ne souhaite pas forcément dire.
Peut être que ce sera par la suite
que le client osera en discuter.
Si le processus de catharsis est correctement mis en place et
que l’aidé se sent bien au sein de l’entretien, il doit y avoir une « libération émotionnelle des
sentiments jusqu’ici réprimé ».
Donc le client devrait être plus à l’aide avec la personne qui et
chargée de lui apporter de l’aide.
C’est le début de la compréhension de soi que de pouvoir
reconnaitre des sentiments, et pouvoir les mettre en lumière afin de pouvoir trouver des
solutions à ses soucis.
La compréhension de soi (i nsight ), est travaillée dans la nouvelle partie de l’œuvre.
Si le
professionnel parvient à faire ressortir les attitudes affectives et sentimentales du client, alors
cela conduira vers une prise de conscience, souvent spontanée, si on fait bon usage des
techniques d’interprétation.
Une telle prise de conscience de la part du client permet une
compréhension des rapports, au début non reconnus.
Et cela permet également un.
»
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