ÉTUDES DE CRITIQUE D’ART SUR LA PEINTURE ITALIENNE Giovanni Morelli (résumé)
Publié le 16/04/2016
Extrait du document
ÉTUDES DE CRITIQUE D’ART SUR LA PEINTURE ITALIENNE
Recueil d’articles suï des tableaux de musées italiens et allemands, rédigés en allemand par le critique et collectionneur italien Giovanni Morelli (1816-1891) et publiés sous le pseudonyme de Ivan Lermolieff. Dans son édition définitive (Leipzig, 1890-1893) l’ouvrage comprend trois volumes consacrés respectivement aux Galeries Borghèse et Doria Pamphili de Rome, aux Pinacothèques de Munich et de Dresde, à la Galerie de Berlin. L’auteur s’occupe presque exclusivement de tableaux et de dessins italiens du XVe et de la première moitié du siècle suivant. Comme l’avait fait Cavalcaselle (cf. Histoire de la peinture en Italie), il se propose surtout de distinguer les œuvres originales des maîtres de celles des élèves et imitateurs et des copies, de déterminer des attributions erronées et incertaines, d’établir, au moyen de comparaisons et de déductions, un catalogue méthodique des peintures des différents artistes. C’est en somme un connaisseur dont les recherches ne sont pas exposées, comme chez Cavalcaselle,
Liens utiles
- SPIRITUEL DANS L’ART (Du) et dans la peinture en particulier Wassili Kandinsky (Résumé et analyse)
- (résumé) ÉTUDES DE CRITIQUE LITTÉRAIRE de Valera. (résumé)
- Un critique dit que « ni le roman ni le théâtre ne nous présentent des individus simplement forts ou heureux » mais que l'art du romancier ou du dramaturge se complaît « à la représentation de personnages plus ou moins visiblement marqués de caractères morbides ». Si cette constatation vous paraît exacte, s'il vous semble bien vrai que nos écrivains ne représentent pas « l'être totalement sain », pensez-vous qu'ils aient tort ou raison d'adopter une telle conduite ? Ne manquez pas de v
- «Un long avenir se préparait pour (la culture française) du XVIIe (siècle). Même encore au temps du romantisme, les œuvres classiques continuent à bénéficier d'une audience considérable ; l'époque qui les a vu naître bénéficie au premier chef du progrès des études historiques ; l'esprit qui anime ses écrivains, curiosité pour l'homme, goût d'une beauté harmonieuse et rationnelle, continue à inspirer les créatures. Avec cette esthétique une autre ne pourra véritablement entrer en concur
- philo art Pascal: “Quelle vanité que la peinture qui attire l’admiration par l’imitation des choses dont on admire point les originaux”