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division du travail de Durkheim - Fiche de lecture

Publié le 14/05/2021

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Fiche de lecture sur le texte de Durkheim : La Division Du Travail Social « De la division du travail social » est une œuvre sociologique et même philosophique que Durkheim a rédigé dans le but de mieux saisir la méthode de formation de la société à partir de l’union des hommes. Elle traite du lien social dans le passage des sociétés traditionnelles à celles industrialisées. La division du travail se définie comme une séparation de l’exercice des activités de la société en vue d’une complémentarité et d’une dépendance réciproque. En d’autres termes, la division du travail est l’ensemble des lois qui vise l’application distincte des tâches en fonction de l’éducation différemment reçue. Cette différentiation doit limiter tout individualisme, tout égoïsme, toute indépendance pour promouvoir une interdépendance au sein d’une société. Pour Durkheim, la division du travail vise un arrangement entre l’autonomie de l’individu et l’adhérence sociale dans les différentes sociétés. C’est une sorte de corporation organisée, une institution publique dans laquelle il y a association malgré le fait que chacun travaille dans son domaine de spécialisation. Parlons de la fonction de la division du travail, elle permet de rendre les individus interdépendants et solidaires. Pour cela, l’auteur pense que la fonction de la division du travail est surtout morale et sociale. C’est dans la deuxième partie de son œuvre que Durkheim se questionne sur les causes de la division du travail. Pour lui, la densité de la morale est cro...
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« collective c’est l’ensemble des valeurs morales partagée par les individus qui forme la solidarité mécanique.

C’est l’ensemble des croyances et des sentiments communs , donc on constate qu’i l n’y a plus d’in dividualisme.

Si un individu sort de cette conscience collective , les impératifs sociaux sont très forts.

Toute transgression implique une sanction , o n est exclu de la société.

Elle est basée sur la famille, la religion donc sur le groupe qui absorbe l’ind ividu, la personnalité collective est la seule qui existe et les fonctions sont homogènes.

La transgression est un crime puni par exclusion de la partie, du clan… elle est émotive, elle ne veut pas corriger une faute mais juste pour satisfaire la conscienc e collective .

Donc on remarque que l ’individu ne pense pas mais subit. Alors que l a solidarité organique concerne les sociétés constituées non pas par des segments similaire et homogène mais par des organes différents qui ont chacun un rôle spécial .

Cela remet en question les repères qui pousse l’individu a créé ses propres moraux et valeur s.

L’activité du groupe dépend de l’activée social et non plus du clan et de la famille , c e n’est plus le lieu natal mais c’est la société qui développe l’individua lisme.

Ceci se développe grâce à la division du travail spécialisé , c haque individu a une activité sociale, une fonction, les liens ne sont plus consanguins mais fonctionnelles.

Les fonctions sont différentes et l es individus ne sont plus interchangeables , on a des organes spécifiques. On a le droit coopératif c’est -à-dire, le droit rend justice à la victime , la sanction ne punie plus mais rend justice.

Le droit se divise en fonction aussi.

Ce sont les sociétés modernes.

Comment passe ton de la solidari té mécanique a organique ? Le clan devient village, qui devient district à l’arrondissement qui forme donc la société.

La solidarité mécanique existe toujours mais elle n’est plus dominante.

La communication joue un rôle important.

On se spécialise pour p ouvoir vivre dans des conditions nouvelles d’où la division de travail.

Les individus passent d’une société à une autre, pourquoi ? Les profits économiques sont relatifs, le bonheur aussi.

Il y a d’autre s facteur s qui explique ces changements : Volume de l a société, facteurs démographique , la densité matérielle, résulte de l’accroissement démographique , les dynamiques morales, intensité de la communication .

Il faut avoir un espace restreint et urbain , une densité matériell e, ainsi qu’u ne augmentation des relations, des échanges et de la communication entre les individus.

Cela stimule la compétition et la coopération , et l a lutte pour la vie se développ e d’après Durkheim , dont chaque individu a une place et une fonction.

Cela permet la diff érenciation sociale.

Les individus faibles ou fort, on t des places d éjà prévu dans la société.

Durkheim appelle au passage entre les deux sociétés.

Dans la société organique, le problème est qu’après la dilution de la conscience collective qu’est ce qui va permettre à des sociétés d’être maintenu ? Selon Durkheim, la société f orme et transforme l’individu, le maintien de valeur commune.

La société fait et crée, elle socialise l’individu sans prendre en compte l’individu en tant qu’être rationnelle.

Les sociétés modernes ne connaissent pas toute la division du travail.

Pour co nclure, qu’est ce qui permet d’avoir une certaine cohésion ? Il parle de solidarité créée par les sociétés primaires vers un passage à des sociétés à solidarité organique.

Les individus perdent leur lien originel vers une conscience différente.

C’est un pr ocessus lent qui se construit petit à petit, c’est une théorie évolutionniste.

La division du travail varie selon la densité des sociétés.

Il y a donc des conditions communicationnel, climatique… les facteurs externe s sont important s, mais les facteurs int ernes jouent un rôle aussi très important étant la lutte pour la vie.

Tout le monde trouve une place dans la société , c ’est vivre selon de nouvelle s condition s de vie qui nous sont faite s.

Il décrit donc la création des sociétés à travers la division du tr avail.

Ce sont des types idéaux donc difficilement applicable s.

Mais c ela n’existe pas à l’état pur , les sociétés sont libres d’innover et créé de nouvelle conscience de classe et de groupe.. »

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