DENIS DIDEROT : JACQUES LE FATALISTE ET SON MAITRE (Résumé & Analyse)

«  Locution : « Il ne tiendrait qu’à moi.

»  Ludique : (1an, 2 ans.) C’est la parfaite liberté du narrateur que privilège Diderot qui a lu Spinoza (qui défend le panthéisme : athéisme de système Dieu se confond avec le tt.) B) La religion (INEFICACE) Elle apparait à travers : …..Les formules stéréotypées : « Donner au diable son prochain » De telles formules montrent la banalisation, l’inefficacité de la religion. ….

Les questions existentielles qui ouvrent le roman. Ces questions portent sur l’origine et la destination, la fin.

Or le contenu de la réponse est vide, incertain : « le lieu le plus prochain.

» ou est une nouvelle question. De telles réponses montrent encore le vide, l’ineficacité de la religion qui n’apporte pas les réponses es contées. C) La société Elle est réduite à priori à deux personnages : le maître et Jacques.

Cette opposition maître valet est une constante dans le théâtre du 18 ème siècle (Marivaux : le Jeu de l’amour et du hasard.) Ils sont définis par leur désignation :  Le maître n’est pas individualisé (pas de nom, pas de prénom.) Il représente un type social , il se situe dans la perspective d’un rapport social : il domine.  Jacques est défini par son prénom censé l’individualiser, en réalité Jacques signifie paysan (connotation symbolique révolutionnaire.) Leur rapport : S’il y a un maître cela signifie forcément que Jacques est son valet mais on assiste dans cet incipit à un renversement dialectique de dominant et dominé. Leur caractère : Jacques revêt les traits traditionnels du valet :  Vivacité, défauts (il se livre à l’ivresse)  Irraisonné « de dépit je m’enrôle.

». »