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De la liberté de Mill (résumé)

Publié le 03/01/2011

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Chapitre 1 : Introduction : A) L’évolution de la conception de la liberté dans l’esprit des peuples B) La nécessité de trouver le juste milieu entre contrôle et individualité C) Trouver qu’est ce que la liberté et quelles en sont les conditions Chapitre 2 : De la liberté de pensée et de discussion : A) L’homme doit reconnaître sa faillibilité pour s’approcher de la vérité B) Des certitudes imposées par nécessité plus que par recherche de la vérité C) Pacification intellectuelle ou « sacrifice de tout le courage humain « D) La nécessité de connaître sa cause mais surtout la cause adverse E) Résumé : Nécessité d’opinions adverses Chapitre 3 : De l’individualité comme l’un des éléments du bien être : A) Le danger d’individualités lissées par la coutume B) La liberté est aussi bénéfique à ceux qui ne la souhaitent pas Chapitre 4 : Des limites de l’autorité de la société sur l’individu : Chapitre 5 : Applications : A) Différents exemples pour appuyer la contingence de l’intervention de l’Etat B) L’Etat doit il intervenir quand il s’agit d’encourager à faire le bien ?

« La liberté individuelle est plus importante que l'égalité tH• Hl Il faut défendre toutes les manifestations de la liberté individuelle.

L'individu est son propre souverain .

Il doit lutter contre la ((tyrannie de la majorité».

Le pouvoir n'a pas à guider la vie privée des hommes.

Autrui est la seule limite à ma liberté L a réflexion de Jo hn Stuart Mill repose sur une idée fort simple: être libre, c'est pouvoir faire et penser toul ce ..Que si peu de gens osent maintenant ltre excen· triques , von• le principal danger de notre époque.• John Stuart Mill, Dela Uberté que je veux tant que l'usage de ce tte lib erté ne porte pa s atteinte à la lib erté d' autrui.

Chaque homme est sou­ verainement libre par rapport à lui-même.

Le droit de la société à lirni- ter la liberté individuelle se limite à la protection d 'autrui.

Il faut défendre le droit à la différence T ous les êtres sont dif­ férents.

Il est bon qu'ils revendiquent cette différence.

La société n'a aucun droit de s'ingérer dans les consciences .

Elle n'a pas à intervenir dans le domaine des fins par ­ ticulières.

C'est en affir­ mant l'originalité de son existence que chaque individu participe à la lutte contre ce que John Stu art MiU appelle la «ty rann ie de l'opin ion majoritaire ».

Du débat naît la vérité L a seule façon de par­ venir à la vérité est de confronter des opi­ nions divergentes.

Une opinion, écrit John Stuart Mill, qui ne subit pas l'épreuve du débat es t ((un dogme mort , e t n on un e vérité vivante ».

Vérité et croyance rationnelle sont issues de la confronta­ tion et de la réfutation, par la raison , de cer ­ taines opinions.

L a liberté individue lle et la dive rs ité des o pin ions so nt so urc es de riche sse cul turelle et d e progrès social.

L'é galité n'offre pas cet avantage.. »

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