Devoir de Philosophie

CANDIDE: RESUME PAR CHAPITRE

Publié le 30/03/2011

Extrait du document

1. Du paradis à la réalité du Mal : chapitres 1 à 16

Chapitre 1

Candide, jeune garçon élevé dans le château du baron de Thunder-ten-tronckh en Wesphalie, est chassé de celui-ci pour avoir été inconvenant avec Cunégonde, la fille du baron. Il doit alors quitter celle qu’il aime et Pangloss, son maître en métaphysico-théologo-cosmolonigologie qui, en bon partisan de l’optimisme de Leibniz, soutient que tout est bien dans le meilleur des mondes.

Chapitre 2

Candide, chassé de ce qui était pour lui le paradis, se retrouve seul et désespéré. Il est recruté de force pour entrer dans l’armée. Il devient alors malgré lui, soldat dans l’armée bulgare.

« soupçonnés de judaïsme sont brûlés, Pangloss est pendu, Candide est flagellé.

Le même jour la terre tremble denouveau dans un fracas épouvantable. Chapitres 7, 8 et 9 Candide est recueilli par une vieille femme : celle-ci lui permet de retrouver Cunégonde qui a bien été violée etéventrée mais qui n'en est pas morte ; elle raconte alors son histoire à Candide. Elle a été sauvée et prise par un capitaine bulgare qui l'a vendue ensuite à un banquier juif, Don Issacar, qui lapartage avec un grand inquisiteur.

C'est ce dernier qui l'a emmenée au spectacle de l'autodafé ; reconnaissantCandide, elle a chargé la vieille servante d'Issacar de le soigner et de l'amener à elle. Mais justement Don Issacar arrive pour jouir de ses droits sur Cunégonde.

Candide tue alors le grand inquisiteur.

Ilfuit aussitôt avec Cunégonde et la vieille, sur trois chevaux andalous. Chapitre 10 En route vers Cadix, Cunégonde se désespère : un moine cupide lui a volé son argent et ses diamants dans uneauberge.

Il faut alors vendre un des chevaux pour poursuivre le voyage.

A Cadix, on assemble des troupes contreles Jésuites du Paraguay.

Candide qui a servi dans la célèbre armée bulgare, est engagé comme capitaine ets'embarque avec Cunégonde, la vieille et deux valets.

Lors de la traversée, on discute sur le mal et le malheur.« Nous allons dans un autre univers, disait Candide ; c'est dans celui-là sans doute que tout est bien.

Car il fautavouer qu'on pourrait gémir un peu de ce qui se passe dans le nôtre en physique et en morale ».

Cunégonde seplaint et affirme désespérer après avoir été « si horriblement malheureuse ».

La vieille raconte alors son histoire. Chapitre 11 et 12 Fille du pape Urbain X, la vieille servante, alors jeune, vit son fiancé mourir empoisonné devant elle.

Sa mère et ellefurent enlevées par un corsaire marocain pour devenir esclaves.

Arrivées au Maroc, elles assistèrent aux combatsépouvantables et sanglants de la guerre civile qui mettait le feu au pays.

La vieille fut sauvée par un eunuque italienqui, au lieu de la ramener en Italie, la vendit au gouverneur d'Alger qui succomba aussitôt à la peste.

La vieille futalors vendue plusieurs fois.

Elle manqua d'être mangée au siège d'Azof par des guerriers turcs qui ne voulaient passe rendre.

Cependant la ville fut prise par un brusque assaut des Russes, et la vieille perdit une fesse.

Servante decabaret là où elle pouvait, elle connut la misère et l'opprobre, et tomba finalement entre les mains de don Issacar. Chapitre 13 Candide conclut de ce récit qu'il faudrait faire quelques objections à Pangloss quand à sa théorie optimiste.

Mais lesprotagonistes arrivent à Buenos-Aires.

Le gouverneur de la province qui accueille les voyageurs tombe amoureux deCunégonde.

C'est alors que Candide est obligé de fuir : le bruit court qu'on allait l'arrêter pour le meurtre perpétré enEspagne du grand inquisiteur. Chapitre 14 Candide accompagné de Cacambo, un des valets amenés de Cadix, décide de partir pour le Paraguay puisque lesJésuites y sont en guerre contre les troupes espagnoles.

Là-bas, dit Cacambo « los Padres [les pères jésuites] y onttout, et les peuples rien […] Avançons : vous allez être le plus heureux des hommes ».

Arrivés dans le « royaume »des Jésuites, Candide demande à parler au Révérend Père commandant, qui n'est autre que le frère de Cunégonde.Candide le croyait mort depuis la guerre contre les Bulgares : il le retrouve avec des larmes de joie. Chapitre 15 Le frère de Cunégonde lui raconte comment, après le massacre de la guerre, il fut sauvé par un Jésuite, aimé par lesupérieur de la maison et finalement ordonné lui-même Jésuite.

Candide, lui, apprend alors qu'il souhaite enleverCunégonde des mains du gouverneur de Buenos-Aires pour l'épouser, mais le baron ne voulant pas de cettemésalliance insulte Candide.

Celui-ci lui donne alors un grand coup d'épée et, après avoir enfilé les habits decommandant du baron, s'enfuit au loin, à cheval, avec Cacambo. Chapitre 16 Alors qu'ils laissent leurs montures se reposer dans la belle prairie d'un pays inconnu, Candide et Cacambo voientdeux jeunes filles nues poursuivies par deux singes.

Candide abat les deux singes ; hélas, c'était les amants desjeunes filles ! Nos deux héros sont fait prisonniers par les Oreillons, habitants du pays, afin de répondre de leurscrimes : avoir tué deux de leurs membres et être jésuite comme le prouve le déguisement de Candide.

Ils sont sur lepoint d'être mangé lorsque Cacambo prouve aux Oreillons que Candide n'est pas Jésuite.

Les deux hommes sontalors traités avec les plus grands égards. 2.

L'utopie de l'Eldorado, une parenthèse coupée du Mal : chapitres 17 et 18 Chapitre 17. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles