BRUGES LA MORTE. (résumé & analyse) Georges Rodenbach
Publié le 19/11/2016
Extrait du document
BRUGES LA MORTE. Roman de l’écrivain belge Georges Rodenbach (1855-1898), publié en 1892. Viane a perdu sa femme à laquelle il était lié par une intime communion de pensée. Pour vivre dans son souvenir, il vient s’installer à Bruges, parce qu’il lui semble retrouver dans cette ville où la mer a cessé de palpiter une analogie avec la disparition de sa femme. A travers les canaux, il poursuit l’image de son visage d’Ophélie et, dans le chant doux et lointain des cloches, il cherche l’écho de sa voix. Habitant une maison pleine de portraits et de souvenirs de la défunte, il garde comme une relique, dans un écrin de cristal, une tresse de ses cheveux couleur d’ambre. Un soir, dans les rues de Bruges, il retrouve la femme aimée dans le visage d’une autre femme qui lui ressemble étonnamment. Viane fait de celle-ci sa maîtresse ; mais Jane, danseuse de son métier, est une créature bruyante, maussade, vulgaire. Quoi qu’il en soit, comme il est épris d’elle, il supporte ses caprices et même ses infidélités qui sont la fable de la ville. Insolente et moqueuse, Jane passe d’une pièce à l’autre en examinant les portraits et en tripotant les objets jusqu’alors si vénérés ; finalement elle prend
Liens utiles
- Georges RODENBACH: Bruges-la-Morte (Résumé & Analyse)
- BRUGES-LA-MORTE. Roman de Georges Rodenbach (fiche de lecture et critique)
- Bruges-la-Morte, de Georges Rodenbach
- RÈGNE DU SILENCE (Le) de Georges Rodenbach. Résumé et analyse
- Georges RODENBACH : Bruges-la-Morte