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BELLE DU SEIGNEUR ALBERT COHEN (résumé détaillé)

Publié le 22/01/2022

Extrait du document

« Il veut raconter comment s’est passé l’entretien à sa femme.

«Il a eu le coup de foudre, c’était le charme fou».

Encore des allusions.

Mais il a eu sa promotion.

Il est devenu «A», et là il fait donc des éloges de cet homme qu’il ne pouvait pas saquer avant.

Sa femme est sarcastique sans le faire exprès lui disant qu’il le «méritait».

Il se met à rêver de tout le matériel dont il pourra être l’heureux détenteur.

«langue sortie puis rentrée» pour la énième fois.

PARTIE 2 CHAPITRE 10 Fier de sa promotion, Adrien prend parfaitement l’allure d’un A.

Il commence à travailler mais comme d’habitude, tout prétexte est bon pour ne plus le faire.

Il flirte à la cafeteria.

Fait le prince.

CHAPITRE 11 Il se rend dans la «salle des pas perdus» où se trouvent de grandes personnalités et tente une approche mondaine Volpi, le nouveau président de la Commission sans grande réussite.

Il tente de pêcher de plus gros poissons.

Mais il finit par vite sortir de cette salle pour retourner vers «le doux refuge de sa cage» (p139).

CHAPITRE 12 Les cousins de la famille arrivent à Genève.

Une description des hommes est faite.

Des discussions financières entrent en compte dans leurs discussions.

Il semble y avoir des rivalités et des tensions.

Leur discussion se termine par un adieu.

CHAPITRE 13 L’oncle Saltiel (Solal) vient voir son neveu.

Le concierge et lui ne s’entendent pas et l’oncle qui est venu très orgueilleux et peu poli est surpris de l’ingratitude du jeune effronté.

Au moment où Saltiel retrouve son neveu il en est extrêmement admiratif et fier.

En repartant il flatte le concierge pour comme le mettre dans sa poche.

Il discutent ensemble et le concierge est charmé c’est parfait.

Il parle en bien et admire le protestantisme (p153).

Époque où Hitler est au pouvoir, l’oncle demande à son neveu de ne pas le rencontrer.

Les deux se quittent et se disent au revoir jusqu’au repas prévu chez le rabbin le soir même.

Mais avant l’oncle demande si Ariane est israélite.

Elle ne l’est pas mais est belle. CHAPITRE 14 La Mammie (Antoinette Deume) demande à son fils adoptif comment s’est passée sa première journée en tant que A.

Mais il se plaint d’une serrure d’armoire qui fonctionne mal.

Mammie critique Ariane de ne pas faire grand-chose.

Ils commencent à faire du commérage ensemble.

Ils parlent ensuite de Papi qu’elle laisse de côté.

Le SSG est invité à dîner.

Il souhaite des bougies simples, des vins prestigieux, des fleurs.

Il veut un dîner «grand chic» (p163).

Papi descend et il donne des conseils mais les deux autres le renvoient.

Adrien décide maintenant qu’il y aura du caviar.

Le Papi est problématique à la famille (p167).

Ils débattent sur les toilettes, l’endroit où l’incité devra se laver les mains etc.

Le Papi revient et dit avoir grossi, Adrien est missionné pour l’aider mais il veut d’abord retrouver sa femme pour lui raconter sa journée.

Mr Deume s’entraîne aux mondanités en criant.

Ariane, elle semblait agacée, mais dit à son mari qu’elle mettra sa plus belle femme de l’autre côté de la porte.

Mr Deume rentre dans sa chambre et se met à prier pour qu’Ariane ait un enfant.

CHAPITRE 15 L’oncle Saltiel veut mettre en concurrence Ariane et une jeune et parfaite israélite.

Pour se faire il décide de mettre une annonce dans le journal.

Il l’écrit, la relit.

(p176).

Cette annonce cherche la perfection israélite, il y a énormément de critères.

Mais finalement il préfère rendre juive la plus belle des chrétiennes.

Il s’imagine la convertir.

Il s’imagine leur mariage et leur bénédiction à la synagogue.

Il rêve ensuite à plusieurs enfants d’elle.

Il est heureux rien que de penser à tous ses/ces projets. CHAPITRE 16 La chambre du couple Deume est décrite dans le détail, énormément de décorations sont citées.

La Mammie est présente jusque sur les murs (p182).

Elle se prépare.

Prête, elle descend.

Elle examine une dernière fois la demeure.

Le Papi insiste pour qu’il y ait une soupe mais pour elle c’est «vulgaire».

Elle lui lit le menu qu’elle avait composé.

Il trouve que tout ça c’est trop.

Mais Adrien l’a approuvé donc.

Il part pour la laisser prier.

Il revient pour lui signifier son inquiétude quant à la façon de se servir des pinces à asperges.

Puis il repart en lui disant qu’il préférera les manger avec ses doigts.

CHAPITRE 17 Les deux aînés sont dans leur chambre et elle signifie à son mari son énervement concernant Ariane qui pour elle, se fait prier et profite des richesses de Adrien.

Mais Hippolyte lui l’apprécie.

Elle s’énerve.

Le maître d’hôtel arrive bientôt et elle briefe Martha sa servante.

L’extra et Martha se moquent ironiquement de la situation et du menu prévu.

Antoinette est énervée de l’inactivité de ses serviteurs.

Elle expulse son mari dans le jardin.

Elle le rappelle plus tard et l’accueille très bien apprêtée.

Elle arrange l’accoutrement de son mari.

Adrien est revenu de ses courses.

Ariane s’habille et est apparemment de bonne humeur.

Mammie s’attarde encore sur des détails pour le dîner.

CHAPITRE 18 Ariane est dans son bain et aimerait ne pas aller au dîner.

Elle pense à tout un tas de choses, à ce qu’elle ferait ou non.

Ensuite elle parle de son mari qu’elle assimile à un chien par ses façons de venir à elle dans l’intimité.

Elle trouve comiques et pathétiques les ébats conjugaux.

Et elle s’en veut et regrette de penser tout ça mais continue encore et encore de s’apitoyer et de le critiquer.

Il l’exaspère.

Tout l’exaspère.

Elle critique les naissances.

Les phrases s’enchaînent sans ponctuation, tant elle est emportée (p205).

Elle semble dans un délire dans son bain.

Elle se remémore ses histoires théâtrales jouées avec Éliane sa cousine.

Elle a des pensées sadomasochistes et se fait des scènes (p208).

Ensuite elle critique Antoinette et sa relation abusive avec Dieu, répété plusieurs fois (p209).

Il n’y a aucune virgule ni point ! Elle a des pensées lesbiennes très jeunes, causées par un sphinx femelle.

Elle se rappelle ensuite Varvara.

Elle semble dingue ensuite.

Elle dit n’importe quoi parfois.

Elle est dégoûtée de penser à ses parents en plein ébat.

On dirait une enfant.

Elle a conscience d’avoir des idées noires (p216).

Elle est fétichiste aussi.

Et pense de façon obscène au Seigneur.

CHAPITRE 19. »

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