Alzheimer mon amour
Publié le 06/09/2018
Extrait du document
On va comprendre que le mot « amélioration » n’a plus aucun sens dans ce genre de centre et de situation. Elle va apprendre qu’il y a deux façons de voir cette maladie, réussi ou raté. Ces deux « sortes » d’humeur vont nous amener à comprendre que l’important est qu’ils soient bien là où ils vivent. Il ne faut pas essayer de les manipuler en bien, mais les laisser faire et s’adapter à chacun des malades. Les médecins vont aussi parler des échecs et le retour de l’asile qui les transforme en zombies à tout jamais.
La fin nous montre que l’Alzheimer prend aux malades tout ce qu’ils ont, petit à petit ils s’en vont. Au final, il ne va rester à Daniel que la notion de territoire, qui le fera aller jusqu’à uriner sur le banc du couloir pour essayer de l’entendre un peu, comme le ferait le chien du coin.
Dans les dernières pages on voit que Daniel ne se souvient même plus de sa femme et qu’il a peur à peine ils s’éloignent un peu dans les jardins. Il n’est même plus capable s’assouvir son dernier désir, fumer une cigarette.
Le livre se termine sur un joli résumé de tous les acteurs des instants de Daniel dans le centre, la maladie, les malades, les médecins et soignants et pour terminer, la famille et les proches qui ne peuvent que regarder sans agir.
«
spécialisé pour les personnes souffrant de cette horrible maladie qui vous détruit à petit feu.
Elle va
commencer par en apprendre un peu plus sur le lieu, son emplacement et ce qu’on peut trouver autour.
Il a
de merveilleuses descriptions qui font le lien entre ce lieu et la maladie.
Elle se rend compte que ce n’est pas
un mauvais endroit, mais plutôt « un camp de réfugié qui les protègent de l’extérieur, des peurs et
incompréhension de leurs proches.
La femme de Daniel va finalement comprendre comment le lieu
fonctionne et va approuver que Daniel s’y trouve.
C’est un lieu où on essaie d’apporter un petit plus au
malade en les accompagnants dans leur monde à eux, celui qu’ils se créent au fil du temps.Elle va ressentir ne certaine indignité, car elle est incapable de dire à Daniel que c’est son dernier
voyage, comme elle sera incapable, plus tard, de lui dire qu’elle part et qu’il va devoir rester dans le centre
seul avec les autres patients.
La suite est fin du récit nous permet d’entrer dans les différentes facettes de leur entretien au
quotidien.
Au fil des visites, on peut découvrir l’avancée de la maladie, le ressenti de Daniel et des ces
médecins.
On arrive à comprendre un peu plus ce qui fait que finalement les proches ne viennent même
plus les voir.
On peut aussi un peu plus comprendre l’évolution de la maladie, bien que celle-ci soit
différente chez chacun d’entre-deux.
On va comprendre que le mot « amélioration » n’a plus aucun sens dans ce genre de centre et de
situation.
Elle va apprendre qu’il y a deux façons de voir cette maladie, réussi ou raté.
Ces deux « sortes »
d’humeur vont nous amener à comprendre que l’important est qu’ils soient bien là où ils vivent.
Il ne faut
pas essayer de les manipuler en bien, mais les laisser faire et s’adapter à chacun des malades.
Les médecins
vont aussi parler des échecs et le retour de l’asile qui les transforme en zombies à tout jamais.
La fin nous montre que l’Alzheimer prend aux malades tout ce qu’ils ont, petit à petit ils s’en vont.
Au
final, il ne va rester à Daniel que la notion de territoire, qui le fera aller jusqu’à uriner sur le banc du couloir
pour essayer de l’entendre un peu, comme le ferait le chien du coin.
Dans les dernières pages on voit que Daniel ne se souvient même plus de sa femme et qu’il a peur à
peine ils s’éloignent un peu dans les jardins.
Il n’est même plus capable s’assouvir son dernier désir, fumer
une cigarette.
Le livre se termine sur un joli résumé de tous les acteurs des instants de Daniel dans le centre, la
maladie, les malades, les médecins et soignants et pour terminer, la famille et les proches qui ne peuvent
que regarder sans agir..
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