Morio
Publié le 22/02/2012
Extrait du document
Sa chenille possède des dards épineux mais inoffensifs.
Malgré sa très vaste répartition, il devient de plus en plus difficile d'observer le morio. Il peuple à la fois les zones paléarctique et néarctique. Très facilement reconnaissable en raison des bandes jaunes qui bordent ses ailés, il ne s'élève guère au-delà de 2500 m. Il passe l'hiver dans un lieu bien caché et s'élance dès l'apparition du premier soleil printanier.