Les parcs nationaux
Publié le 08/01/2019
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Espace protégé, le parc national a reçu en 1969 une définition internationale, dans la déclaration de New Delhi rédigée sous l'égide de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco). Selon ce texte, « un parc national est un territoire relativement étendu, qui présente un ou plusieurs écosystèmes, généralement pas ou peu transformés par l'exploitation et l'occupation humaines, où les espèces végétales et animales, les sites géomorphologiques et les habitats offrent un intérêt spécial du point du vue scientifique, éducatif et récréatif ou dans lesquels existent des paysages naturels de grande valeur esthétique ; dans lequel l'autorité compétente du pays a pris des mesures pour empêcher ou éliminer dès que possible, sur toute sa surface, cette exploitation ou cette occupation, et pour y faire effectivement respecter les entités écologiques, géomorphologiques ou esthétiques ayant justifié sa création ; et dont la visite est autorisée, sous certaines conditions, à des fins contemplatives, récréatives, éducatives et culturelles».
Ce qui exclut, précise la déclaration, les réserves scientifiques, les réserves naturelles gérées par une institution privée ou régionale, les réserves spéciales de faune, de flore, de chasse..., ainsi que les parcs naturels régionaux, dotés de plans d'aménagement et de développement touristique. Il existe actuellement quelque 1500 parcs nationaux dans le monde.
HISTORIQUE
Les pionniers américains
L'idée des parcs nationaux est née aux États-Unis, au XIXe siècle, alors que les Grandes Plaines étaient, dans le sillage de la conquête de l'Ouest, livrées à la colonisation des fermiers blancs et de leurs troupeaux de vaches. Il s'agissait de préserver des pans du paysage originel, tels des monuments naturels faisant écho aux édifices historiques du Vieux Continent.
Le 1er mars 1872, le président Grant signe une loi créant le premier parc national du monde, sur 9000 km2 dans le nord-est du Wyoming et du
Montana. Ces terres de Yellowstone sont « réservées comme parcelle du domaine public sous la protection
du gouvernement fédéral pour la jouissance du peuple». Le parc de Yellowstone est donc dès l'origine conçu comme un espace naturel ouvert à tous : un «parc de récréation » davantage qu'un espace de protection de l'environnement tel que nous le concevons aujourd'hui. Des hôtels sont bâtis non loin des berges du lac Yellowstone ou près de l'OId Faithful, l’un des geysers les plus fameux de ce territoire volcanique, et leurs piscines sont alimentées par détournement des sources d'eau chaude. En 1885, le parc national de Banff est créé dans les Rocheuses canadiennes. Celui de Yosemite voit le jour en Californie en 1890.
Un débat persistant
Il faudra attendre le rapport d'un comité spécial, en 1963, pour qu'évolue, en Amérique du Nord, le concept de parc national. Réaffirmant l'objectif premier de donner «un témoignage de l’Amérique primitive», le rapport préconise de laisser la nature à elle-même, sans intervention de l’homme, et, si cela est possible, de restaurer les équilibres naturels prévalant avant l'arrivée des colons blancs. Cette politique a conduit les autorités à laisser les incendies dévaster des milliers d'hectares à Yellowstone, en 1988.
LtS PREMIERS PARCS DU VlEUX MONDE La Suède est le premier pays européen à suivre l'exemple américain : en 1909, elle crée cinq parcs, dont l'un est situé en Laponie, sur un territoire quasi inhabité. Peu après leur création, des barrages hydroélectriques seront édifiés dans les parcs de Starek et de Stora Sjôfallet, 8% de la superficie de ce dernier étant noyés sous un lac de retenue. La Suisse délimite son premier parc national, dans l'Engadine, en 1914.
Bien après l'Espagne - où sont créés deux parcs en 1918, dans les Asturies et les Pyrénées -, après l'Italie, l'Islande, la Pologne, la Bulgarie et la Roumanie, qui ont leurs parcs dès les années 1930, la France possède enfin son premier parc national, celui de la Vanoise, en 1963.
S OTEC m M
DÉVE
L'expansion des parcs nationaux, à partir des années 1960, s'est en grande partie réalisée sur l'idée que la préservation d'espaces naturels relativement intacts était propice au développement touristique. Or, le réel succès de fréquentation rencontré par les parcs nationaux ne va pas sans poser des problèmes écologiques. Dans les pays en
développement, la création des parcs a constamment visé à empêcher le pillage des ressources naturelles. Mais, face à la surpopulation, à la misère et parfois à la guerre, les autorités se révèlent souvent impuissantes à combattre le braconnage et la déforestation. L'idée progresse que mettre la nature sous cloche n'est pas une solution et qu'il faut associer les populations à la gestion des parcs. L'une des missions essentielles de ceux-ci reste l'éducation à la protection de l'environnement.
EN FRANCE
Sept parcs nationaux sont gérés par des établissements publics, au sein desquels sont représentés les
collectivités locales, des scientifiques et des professionnels du milieu naturel et du tourisme. Chaque parc est formé d'une zone centrale, fortement protégée, et d'une zone périphérique où le développement économique doit respecter l'environnement. Les maisons de parc jouent un rôle essentiel dans l'action d'éducation à l'environnement.
La Vanoise
Date de création : 1963
Zone centrale : 528 km2
Département : Savoie
Limitrophe du parc national italien du Grand Paradis, créé en 1922, le parc de la Vanoise s'étend entre les vallées de la Maurienne et de la
Tarentaise. Il comprend plus de
100 sommets au-dessus de 3 000 m d’altitude. Sa création a permis de
sauver le bouquetin des Alpes, dont l'espèce était menacée par les chasseurs du côté français, et de préserver des paysages alpins des remontées mécaniques et des promoteurs de stations de ski.
Port-Cros
Date de création : 1963
Zone centrale : 650 ha terrestres, 1800 ha maritimes
Département : Var Premier parc marin créé en Europe, le parc de Port-Cros étend sa protection à Hle de Porquerolles, où siège le Conservatoire botanique national chargé de la protection de la flore sauvage en Méditerranée. Celle-ci est ici remarquablement représentée dans une forêt littorale
«
fougères
arborescentes de 15 rn de
hauteur et une centaine d'espèces
d'orchidées.
Si la faune est peu diverse,
11 espèces de chauves-souris sont
recensées, et la forêt abrite l'un des
plus gros insectes du monde, le dynaste
Hercule, long de 18 cm, et le «tapeur»,
un pic noir endémique.
AUTRES PARCS D'EUROPE
Près de 200 parcs nationaux s'étendent
en Europe, avec quelques belles
réussites du point de vue de la
protection de la faune : le lynx
continue de hanter les montagnes
de Yougoslavie; le loup, l'ours brun et
le chat sauvage peuplent les Abruues,
en Italie.
La mise en place de parcs
nationaux dans une Russie sinistrée
écologiquement a permis de sauver
le saïga, une antilope de la steppe.
SUISSE Parc national de l'Engadine
Ce parc pionnier, situé dans le massif
des Dolomites (canton des Grisons,
ouest de la Suisse), couvre aujourd'hui
169 km2• Il reste exceptionnel.
car c'est
une réserve intégrale, dans laquelle
l'homme, depuis neuf décennies,
n'intervient pas dans les cycles
naturels : aucune coupe, même
d'entretien, n'est effectuée dans les
forêts de pins de montagne qui
couvrent 75% de sa superficie.
Deux
entorses néanmoins à cette
philosophie.
Le bouquetin des Alpes,
disparu depuis plus de deux siècles, y a
été réintroduit dès les premières
années; sa population compte plus de
400 individus.
En 1991, ce fut le tour du
gypaète barbu.
Le public n'est admis
que sur les sentiers, le reste du parc
formant un extraordinaire laboratoire
ESPAGNE d'écologie
en plein
air, où fleurissent
les edelweiss,
les saxifrages
et les renoncules
des glaciers.
Parc national de Doiiana
Réserve de chasse des rois d'Espagne
pendant cinq siècles, classé parc
national en 1969, ce territoire s'étend
sur 500 km' au sud de l'Espagne, à
l'embouchure du Guadalquivir.
Peuplés
d'une centaine de flamants roses,
ses marais sont un sanctuaire pour
les oiseaux, dont le rarissime aigle
impérial.
La moitié des espèces
européennes y vit ou y transite, sur
les routes de migration vers l'Afrique.
Le lynx d'Espagne peuple également
le parc.
POLOGNE
PaK national de Bielowiaa
Le plus grand parc national de Pologne,
créé en 1932, est aussi le plus célèbre.
Il couvre en partie une des rares forêts
primitives d'Europe centrale où vivent
les derniers bisons européens, ainsi que
des loups et des ours.
94% de ses
510 km2 sont classés en réserve
naturelle stricte.
RUSSIE PaK national de Paanajlirvi
Depuis 1986, pas moins de 32 parcs
nationaux ont été créés sur le territoire
de la Fédération de Russie.
Défini
autour du lac éponyme, long de 15 km,
le parc de Paanajarvi, à la frontière avec
la Finlande, vise à protéger de la
déforestation une portion de taïga,
cette forêt de conifères et de bouleaux,
peuplée d'ours, qui ceinture le Grand
Nord et précède la toundra péri
arctique.
EN AMÉRIQUE DU NORD
!:Amérique du Nord compte le plus
grand nombre de parcs nationaux :
49 pour les seuls États-Unis.
É TATS -UNIS
Parc national de Yellowstone
Le plus vieux parc des États-Unis est
aussi, avec 9 247 km', le plus grand
parc d'un seul tenant dans le pays.
1 600 km de sentiers parcourent forêts
et prairies.
Mais les 2 millions de
visiteurs annuels affluent d'abord pour
voir les manifestations d'un volcanisme
ancien dans cette partie des
Rocheuses : geysers et lacs aux couleurs
irréelles.
CANADA Parcs nationaux des Rocheuses
Les quatre parcs de Banff, Yoho,
Kootenay et Jasper forment dans les
montagnes Rocheuses un ensemble de
21 307 km'.
Chaque année, 9 millions
de visiteurs fréquentent ce territoire de
glaciers et de forêts peuplées de griulis
et de gloutons, d'élans, de pumas et de
loups.
En 1984, l'ensemble a été classé
patrimoine mondial par l'Unesco.
EN AMÉRIQUE LATINE
Les parcs nationaux d'Amérique
centrale et du Sud préservent d'abord
d'une déforestation galopante :forêt
sèche dans le parc de Cotopaxi, en
Équateur, humide et luxuriante dans le
bassin d'Amazonie ou mangroves du
parc national de 111e de Salamanca,
en Colombie.
Ces parcs s'étendent
jusqu'au sud glacé avec le parc de los
Ciladares (Argentine) et.
bien sûr, à ce
laboratoire de l'évolution des espèces
que sont les îles Cialapagos (Équateur).
COSTA RICA
Parc national de Tortuguero
Le Costa Rica est le pays d'Amérique
centrale qui a le mieux préservé son patrimoine
naturel, protégé au sein de
14 parcs nationaux.
Celui de Tortuguero
couvre 190 km' sur la côte cara·1be.
Ses
plages sont l'un des principaux sites de
ponte des imposantes tortues vertes
Chelonia mydas.
Elles affluent chaque
année en septembre-octobre.
VENEZUELA Parc national de Canaima
Délimités en 1962, ces 30 ooo km' de
forêt tropicale englobent, à la frontière
avec la Guyana et le Brésil.
de fabuleux
monuments naturels : les tepuis de la
Gran Sabana, une centaine de reliefs
tabulaires façonnés par l'érosion,
tapissés de mousses et de lichens,
et abritant une exceptionnelle flore
endémique (broméliacées).
PÉROU Parc national Manu
Créé en 1973, cet immense parc, classé
réserve de biosphère par l'Unesco,
s'étend des Andes jusqu'au bassin de
l'Amazone.
La rivière Manû, dont les
rives abritent les plus belles colonies
d'aras, en est la principale voie de
circulation.
Le parc est divisé en trois
zones : une zone périphérique de
cultures (917 km2) habitée et exploitée;
une zone réservée de 2 500 km2
accessible au tourisme; et le parc
proprement dit (192 100 km'), dont on
n'a pas encore totalement inventorié
l'exceptionnelle biodiversité, celle
de la grande forêt humide d'Amazonie.
EN AFRIQUE
!:Afrique des vastes espaces vierges et
des grands mammifères n'existe plus
guère que dans les parcs nationaux.
Le
braconnage reste difficile à endiguer,
malgré la présence de gardes armés.
Derniers refuges des gorilles de
montagne, les parcs nationaux des
Vlrunga (Rép.
démocrat.
du Congo) et
des Volcans (Ruanda), contigus, n'ont
pas été épargnés par les guerres qui
ravagent encore la région des Grands
Lacs.
Même au Kenya, pays cité en
exemple avec 4% du territoire national
protégé, les braconniers auraient abattu
les deux tiers des éléphants vivant dans
les parcs jumeaux de Tsavo.
TANZANIE Parc national du Serengeti
Prolongé au Kenya par la réserve de
Masai Mar a, ce parc est célèbre pour
abriter les migrations saisonnières des
plus grands troupeaux sauvages
d'Afrique : 2 millions de mammifères
- soit la plus grande concentration
recensée sur Terre -, en particulier
des gnous, des gazelles et des zèbres,
traversent le parc sur un parcours
aller-retour de 800 km qui les mène
de la savane aux forêts, où ils trouvent
à brouter durant la saison sèche.
C6n D'IVOIRE
Parc national de la Comoé
La Côte d'Ivoire a créé huit parcs pour
préserver ses derniers espaces vierges et
favoriser l'écotourisme.
Fondé en
1968, sur l'emplacement d'une réserve,
celui de la Comoé est le plus grand
( 11 500 km') : entre savane et forêts
galeries, on y recense de très
nombreuses espèces d'antilopes, dont
75 000 cabs de Buffon, 14 ooo bubales,
3 ooo hippotragues, 6 000 buffles,
1 200 éléphants, 700 hippopotames et
environ 250 lions.
MADAGASCAR
Parc national d' Andohahela
Plus de 90% des espèces animales et
végétales malgaches sont endémiques
à la Grande lie et menacées par le
déboisement et la désertification.
Parmi
les 15 parcs nationaux, 11 sont plus
spécifiquement consacrés à
l'écotourisme.
Celui d'Andohahela, au
sud-ouest de 17le, embrasse, sur
760 km2, trois écosystèmes différents :
forêt humide, bush épineux et forêt de
transition remarquable.
Les lémuriens y
sont bien représentés, ainsi que les
oiseaux, dont 65% des espèces sont
endémiques.
Sur ce continent soumis à une forte
pression démographique, les parcs
nationaux font figure d1lots menacés.
La création de parcs est assez tardive,
dans des pays pourtant richement
dotés par la nature : en Indonésie, les
premiers datent de 1980.
Les enjeux de
conservation sont pourtant énormes :
en Inde, le dernier groupe de lions
d'Asie (Panthera /eo persica), comptant
seulement 200 individus, survit dans
le parc national de la forêt de Ciir;
le panda géant a trouvé un refuge
assez sûr dans le parc de Jiuzhaigu, au
cœur du Sichuan, la province la plus
peuplée de Chine.
Aux Philippines, les
parcs nationaux du mont Apo, sur 171e
de Mindanao, et du volcan de Taal,
sur 171e de Luçon, sont les derniers
sanctuaires de l'aigle des Philippines
(à peine 300 spécimens).
INDE Parc national de Kanha
Situé au cœur du sous-continent, dans
l'État du Madhya Pradesh, ce parc offre
un saisissant panorama de la vie
sauvage en Asie.
Ses prairies abritent
17 ooo cerfs tachetés, et même le très
rare cerf des marais (Duvaceli
branderi) s'est adapté dans ce milieu
pourtant dépourvu de marécages, ce
qui a sauvé son espèce.
Outre des
léopards et des chats sauvages, la
jungle est le refuge de 90 tigres, ce qui
fait du parc de Kanha l'une des plus
belles réussites du projet plus vaste
visant à sauver ce félin en Inde.
INDONÉSIE
Parc national de Tanjung Puting
Dans la partie indonésienne de 171e de
Bornéo, ce parc de 3 050 km2 est un
havre pour les orangs-outangs, dont le
nombre ne dépasse pas 15000.
Deux
camps de réhabilitation permettent la réintroduction
dans la jungle, sous la
protection de gardes forestiers,
d'orangs-outangs orphelins ou arrachés
à la captivité.
La forêt ombrophile de
Tanjung Puting abrite d'autres singes,
dont le macaque de Buffon, le nasique
et le gibbon, ainsi qu'un cousin
arboricole de la genette, le binturong
(Ardictis binturong), endémique en
Asie du Sud-Est.
lAPON Parc national Towada-Hachimantai
Les 27 parcs nippons couvrent 14% du
territoire, mais les espaces vraiment
sauvages sont rares : les 840 km2 du
parc Towada-Hachimantai, au nord de
171e de Honshu, en font partie.
Autour
de Hachimantai, les hauts plateaux sont
dominés par des volcans, dont le mont
lwate, le «Fuji du Nord», culminant à
20 41 m.
Marmites de boue et sources
chaudes complètent ce paysage
volcanique, dont le joyau est le lac
Towada, l'un des plus grands lacs de
cratère de l'archipel.
Renards, ours et
singes peuplent le parc.
La myriade d71es qui forment l'Océanie
porte des écosystèmes divers mais
fragiles.
Sauf en Aust ralie et en
Nouvelle-Zélande, l'effort de
conservation paraît limité.
Aucun parc
national aux Kiribati, ni aux Fidji, pas
plus qu'en Polynésie française.
Les îles
Cook en comptent un seul de 40 ha,
de même que les îles Salomon.
La
Papouasie-Nouvelle-Guinée est plus
riche, avec 7 parcs, menacés par
l'industrie minière et forestière.
Dans les Territoires du Nord, dans le
parc de Kakadu, 300 Aborigènes vivent
toujours de chasse et de pêche, entre
océan et plateau d'Arnhem.
Un petit
nombre travaillent comme gardes
du parc, veillant à la protection des
peintures rupestres vieilles de
25 ooo ans qui racontent l'histoire de
leur peuple.
Les points d'eau côtiers
sont des sites de ponte pour les
crocodiles de mer.
Les forêts de
mangrove se prolongent par des forêts
de palmiers et d'eucalyptus peuplées
d'ornithorynques, d'échidnés et d'une
cinquantaine d'espèces endémiques de
marsupiaux.
Un tiers des espèces de
plantes et d'oiseaux de 111e-continent
est représenté dans le parc.
NOUVELLE·lÉLANDE Parc national du mont Cook
Glaciers et neiges éternelles occupent
un tiers des 720 km2 de ce parc
s'étendant sur les Southern Alps, dans
171e du Sud.
Plus de 20 sommets
dépassent 3 ooo m.
Le kea, perroquet
des montagnes, et le tadorne du
paradis y trouvent un habitat unique,
ainsi que le lis du mont Cook, la plus
grande renoncule du monde : sa
corolle est large de 8 cm..
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