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Les baleines de l'Antarctique

Publié le 27/03/2012

Extrait du document

En 1775, James Cook revint de ses explorations dans les eaux polaires. Ses récits parlaient de mers où abondaient les baleines et les phoques. Ce fut le début d'un énorme massacre. On établit des bases sur les îles antarctiques restées intactes jusqu'alors et on commença une chasse impitoyable aux animaux qui les peuplaient. Mais cette chasse n'est rien, comparée aux massacres des années qui suivirent...

« légèrement plus grands que les crustacés et les petits poi s­ s ons ne pourraient passer à travers sa gorge.

La bouche du rorqual bleu ne possède pas de dents, mais de longs fanons, lames cornées qui font office de tamis.

Le ror­ qual bleu ouvre son énorme bouche et la laisse se remplir d'animalcules.

Ensuite, comme la baleine, il expulse l 'eau latéralement à l'aide de sa langue.

Ainsi, les animal­ cules restent prisonniers des fanons.

L'orque épaulard vit également dans les eaux antarcti­ ques.

La composition de son menu est tout à fait diffé­ rente de celle des grandes baleines à fanons.

L'orque épaulard se nourrit principalement d'animaux à sang chaud, tels que les phoques et les manchots, mais il con­ somme également du poisson et des pieuvres.

En tant que baleine , l'orque épaulard est assez petit.

Son corps est A droit e: L'orque épaulard possè de de très g rand es dent s coniqu es: v ing t dan s chaque mâchoire .

Lor squ ' il/erme sa bou che , s es dent s s'em­ boît e nt les un es dans les autre s, comme ch ez les autr es odontocèt es.

C i-de ssou s: A ve c une longueur de 9 m ètr es en viron , la balein e du s ud est/a plu s p etite de son esp èc e.

La partie sup érieur e de son corp s es t g r i­ .>e ùU bleu-noir et le dessou s est blanc.

blanc et noir avec des dessins très marqués.

Son dos est s urmonté d'une grande nageoire, qui ressemble à la nageoire dorsale du requin.

Sa bouche est, en outre, rem­ plie de dent s très acérée s.

L 'orque épaulard est la terreur de s eaux qu' il fréquente.

Parfois, il chasse en groupe et attaque des animaux qui sont plus grands que lui, comme le rorqual bleu.

Les orques épaulards procèdent en mor­ dant les lèvres du rorqual pour l'épuiser.

Il existe des récits qui racontent que des orques épaulards ont attaqué de s hommes et ont fait couler de petits bateaux L'explo­ rateur britannique, Robert F.

Scott, effectua sa dernière e x pédition dans 1 'Antarctique en 1911.

Dans son journal, il raconte comment un groupe d'orque s épaulard s es­ s ayaient de chasser un de ses compagnons de la mas se g laciaire sur laquelle il se trouv ait.

Il suppo se que ces baleine s voulaient le manger .

Un plongeur a écrit à ce s ujet : 'Contre une attaque d'un orque épaulard, il n'exi ste qu'un seul moyen: la réincarnation' .

En captivité, l'orque épaulard semble perdre ses instincts agressifs.

Il nage paisiblement aux côtés de son entraî­ neur.

Il lui permet même de s'asseoir sur son dos ou de mettre la tête dans sa bouche.

On a connu des cas où l'orque épaulard aidait l'homme à c ha sser les baleines .

Au siècle dernier, quelques baleiniers cha ssaient des baleine s dans la baie de Twofold en Australie (des mégaptère s et d'autre s baleines passaient par là au cour s de leur s migration s annuelles vers les eaux tropicale s du nord pour se reproduire).

A un moment donné, un groupe d'orque s épaulards barra le chemin aux baleine s et permit ainsi au x baleinier s de faire une cha sse trè s fructueu s e.

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