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Le cochon, animal familier des Egyptiens

Publié le 20/10/2013

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Un vorace méprisé

 

Les Égyptiens se montrent ingrats à l'égard de ce pauvre animal qui leur rend pourtant bien des services. Le rerr (nom donné à partir d'une onomatopée facile­ment compréhensible), com­me ils l'appellent, est en ...

en Haute-Égypte, se targue de posséder 100 moutons, 1 200 chèvres et 1 500 porcs. Bien que sa chair soit con­sommée, le porc sert surtout, en agriculture, à enfoncer les graines dans les terres fer­tiles et humides des rives du Nil. Un troupeau de porcins lâché dans un champ limo­neux après le retrait des eaux du fleuve est le gage de bonnes semailles.

« Nouvel Empire pour voir des figurations de troupeaux de porcs conduits par leur gar­ dien.

C'est ainsi qu'à cette époque le prince d'el-Kab, en Haute-Égypte, se targue de posséder 1 OO moutons, 1 200 chèvres et 1 500 porcs.

Bien que sa chair soit con­ sommée, le porc sert surtout, en agriculture, à enfoncer les graines dans les terres fer ­ tiles et humides des rives du Nil.

Un troupeau de porcins lâché dans un champ limo ­ neux après le retrait des eaux du fleuve est le gage de bonnes semailles .

Un vorace méprisé L es Égyptiens se montrent ingrats à l'égard de ce pauvre animal qui leur rend pourtant bien des services .

Le rerr (nom donné à partir d'une onomatopée facile­ ment compréhensible), com­ me ils l'appellent, est en ef-. »

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