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La végétation de l'Egypte ancienne

Publié le 20/10/2013

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egypte
La végétation sauvage de
l'Égypte ancienne est relativement
pauvre. Quelques
arbres tendres,
quelques plantes poussant
sur les terrains fertilisés
par le Nil, des forêts
de papyrus et beaucoup
de champs moissonnés
ou propices au pâturage.
Les arbres sauvages, tels
le sycomore et l'acacia,
qui se mêlent aux espèces
cultivées comme les
palmiers et les arbres
fruitiers, n'ont pas la faveur
des artisans du bois,
qui préfèrent souvent
faire venir du cèdre du
Liban.
egypte

« des cercueils et du mobilier or­ dinaires, des portes et des sta­ tuettes.

Le sycomore, recher­ ché pour son ombrage, est planté en grand nombre dans les temples, dans les jardins des dignitaires où, mélangé à d'autres essences, il constitue une voûte naturelle proté- e tenant dans un cornore, la déesse Nout verse au défunt l'eau ispensable à sa vie s /'au-delà (peinture urale de la tombe ha, architecte sous Aménophis Ill).

geant des rayons du soleil.

L'acacia est un arbuste qui ré­ siste à la chaleur des régions désertiques.

Il donne une 9omme rouge appréciée des Egyptiens.

Mais son tronc est dur et noueux, donc rare­ ment droit.

Les habitants du Nil s'en servent pour cons­ truire des chalands et des us­ tensiles usuels, ainsi que des manches d'armes, des mâts et des coques de petits ba­ teaux.

Les bouquets d'acacias poussent souvent à la fron- tière entre les terres cultivées et le désert.

Comme l'acacia, les tamaris, les saules, les mimosas et les arbustes épineux, dressés en bosquets épars, sont utilisés pour confectionner de petits objets.

Les plantes des marais D ans le delta du Nil pous­ sent des forêts entières de papyrus, plante sacrée par excellence qui peut atteindre plus de six mètres de hau­ teur.

Elles constituent le re­ paire privilégié d'une faune variée et de pêcheurs avisés.. »

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