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Grand oral du bac : Règne animal LE CHANT DES OISEAUX

Publié le 31/01/2019

Extrait du document

On sait avec certitude que, chez les rousse-rolles, les femelles choisissent leur compagnon pour la qualité de leurs performances « lyriques». Au printemps, le mâle en quête de compagne commence à chanter. Chaque séquence dure environ une minute. Pour des oreilles humaines, cela sonne comme un mélange de notes discordantes et de sons grinçants. L’oiseau semble ne jamais répéter deux fois la même mélodie, variant à l’infini les arrangements. Les mâles qui parviennent à créer les chants les plus compliqués attirent les femelles plus vite que ceux dont la «créativité» est moindre. Dès qu’un mâle est parvenu à ses fins, il cesse immédiatement de chanter.

 

Duos et imitations

 

La plupart des grands oiseaux ont des chants très simples. Les chants complexes sont principalement réservés aux petites espèces, en particulier aux passereaux.

 

Chez quelques espèces tropicales, le mâle et la femelle chantent un duo. Cela peut être assez simple, chaque oiseau chantant en alternance des séquences de notes, mais cela peut être également beaucoup plus complexe, les deux oiseaux chantant différents «rôles» et mimant des mouvements, à l’image des chanteurs d’opéra. La

plupart de ces oiseaux vivent dans des forêts tropicales denses. Il se peut que le duo aide le couple à ne pas perdre le contact ou, plus vraisemblablement, à rester ensemble tout au long de leur vie. Il est peut être plus «économique» - en terme d’énergie - de recourir au chant pour maintenir la relation plutôt que d’avoir à trouver un nouveau compagnon chaque année.

 

Rares sont les oiseaux imitateurs. Certains sont très doués, non seulement ils reproduisent les appels d’autres espèces, mais aussi des bruits mécaniques. Les sansonnets sont, par exemple, capables d’imiter la sonnerie du téléphone. Sans parler des perroquets qui, grâce à leur langue cornée et charnue, imitent la voix humaine.

deuxième et éventuellement une troisième. L’objectif est d’induire les autres mâles en erreur. Ces derniers considèrent qu’il est inutile d’essayer de s’établir à cet endroit manifestement déjà occupé par plusieurs concurrents.

 

Posséder un territoire est primordial pour parvenir à s’accoupler. Il faut que les ressources alimentaires soient suffisantes afin de nourrir les deux adultes et leur nichée. Cette zone doit également offrir un nid adéquat et une protection contre les prédateurs. Les oiseaux qui s’installent dans un espace ouvert doivent avoir la possibilité de voir venir le danger de loin. Chez certaines espèces, la femelle peut sélectionner un territoire, parce qu’il lui semble idéal, et considérer le mâle qui en est propriétaire comme partie intégrante du marché.

« Le chant des oiseaux deuxième et éventuellement une troisième.

L'ob­ jectif est d'induire les autres mâles en erreur.

Ces derniers considèrent qu'il est inutile d'essayer de s'établir à cet endroit manifestement déjà occupé par plusieurs concurrents.

Posséder un territoire est primordial pour parve­ nir à s'accoupler.

Il faut que les ressources alimen­ taires soient suffisantes afin de nourrir les deux adultes et leur nichée.

Cette zone doit également offrir un nid adéquat et une protection contre les prédateurs.

Les oiseaux qui s'installent dans un espace ouvert doivent avoir la possibilité de voir venir le danger de loin.

Chez certaines espèces, la femelle peut sélectionner un territoire, parce qu'il lui semble idéal, et considérer le mâle qui en est pro­ priétaire comme partie intégrante du marché.

i Une fois a qu'il a attiré une compagne, le mâle de la fauvette des roseaux fait son nid dans de hautes herbes, à l'abri des prédateurs.

Le chant du � bruant du maïs ressemble au bruit d'un trousseau de clés.

Il se poste sur un de ses perchoirs, situé jusqu'à 150 m du lieu où il niche.

i Lagrande a mésange, au contraire de sa cousine la mésange bleue, ne s'est pas adaptée à la vie en ville et préfère un habitat rural.

Elle dispose de plusieurs chants, ce qui fait croire aux autres mâles que son territoire est déjà occupé par de nombreux concurrents.

On sait avec certitude que, chez les rousse­ rolles, les femelles choisissent leur compagnon pour la qualité de leurs performances "lyriques>>.

Au printemps, le mâle en quête de compagne commence à chant er.

Chaque séquence dure environ une minute.

Pour des oreilles humaines, cela sonne comme un mélange de notes discor­ dantes et de sons grinçants.

L'oiseau semble ne jamais répéter deux fois la même mélodie, variant à l'infini les arrangements.

Les mâles qui parvien­ nent à créer les chants les plus compliqués atti­ rent les femelles plus vite que ceux dont la «créa­ tivité» est moindre.

Dès qu'un mâle est parvenu à ses fins, il cesse immédiatement de chanter.

Duos et imitations La plupart des grands oiseaux ont des chants très simples.

Les chants complexes sont principale­ ment réservés aux petites espèces, en particulier aux passereaux.

Chez quelques espèces tropicales, le mâle et la femelle chantent un duo.

Cela peut être assez simple, chaque oiseau chantant en alternance des séquences de notes, mais cela peut être éga­ lement beauco up plus comp lexe, les deux oiseaux chantant différents "rôles>> et mimant des mouvements, à l'image des chanteurs d'opéra.

La plupart de ces oiseaux vivent dans des forêts tro­ picales denses.

Il se peut que le duo aide le couple à ne pas perdre le contact ou, plus vrai­ semblablement, à rester ensemble tout au long de leur vie.

Il est peut être plus "économique>> -en terme d'énergie -de recourir au chant pour main­ tenir la relation plutôt que d'avoir à trouver un nouveau compagnon chaque année.

Rares sont les oiseaux imitateurs.

Certains sont très doués, non seulement ils reproduisent les appels d'autres espèces, mais aussi des bruits mécaniques.

Les sansonnets sont, par exemple, capables d'imiter la sonnerie du téléphone.

Sans parler des perroquets qui, grâce à leur langue cor­ née et charnue, imitent la voix humaine.. »

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