vieillesse.
Publié le 14/12/2013
Extrait du document
«
s'ajouter divers avantages complémentaires : bonification pour enfants, majoration pour
conjoint à charge ou pour aide à une tierce personne.
La Sécurité sociale peut également attribuer un certain nombre de prestations vieillesse
sous conditions de ressources.
Ainsi, l'allocation aux vieux travailleurs salariés (ordonnance
du 2 février 1945), à laquelle s'est ajoutée, plus récemment, l'allocation aux vieux
travailleurs non salariés, sont des allocations d'assistance versées à d'anciens travailleurs
qui n'ont pas ou qui ont peu cotisé.
Elles ne sont payées que si les ressources sont
inférieures à un certain plafond.
La loi du 30 juin 1956 a en outre prévu un complément de
ressources pour les personnes âgées dont les pensions n'atteignent pas un certain
minimum (« minimum vieillesse »).
Cette allocation supplémentaire du Fonds national de
solidarité est payée par la Sécurité sociale, mais c'est l'État qui la finance (grâce,
théoriquement, à un impôt spécial sur les véhicules automobiles, la « vignette »).
Si elles
ne peuvent bénéficier d'aucun des « avantages vieillesse » prévus par la Sécurité sociale,
si, d'autre part, leurs ressources n'excèdent pas un certain plafond, les personnes âgées
peuvent prétendre à une allocation spéciale, qui remplace l'ancienne « allocation aux
économiquement faibles ».
Les assurances complémentaires obligatoires.
Nées dans le cadre d'une décision professionnelle, elles ont été rendues obligatoires dans la
quasi-totalité des entreprises industrielles et commerciales par une loi de 1972 (assurances
complémentaires des cadres, des salariés de l'industrie et du commerce, des employés
d'assurance ou de banque, du personnel des organismes de la Sécurité sociale).
Il existe
plusieurs organismes de coordination, parmi lesquels deux, très importants, sont gérés de
façon paritaire par le patronat et les syndicats : l'ARRCO (Association des régimes de
retraites complémentaires) pour le personnel salarié et l'AGIRC (Association générale des
institutions de retraites des cadres).
D'autre part, la loi du 17 janvier 1948 (modifiée par
une loi du 10 juillet 1952) a mis sur pied un certain nombre d'organismes autonomes par
catégories professionnelles (commerçants, artisans, professions libérales).
Les assurances complémentaires facultatives.
Proposés par des sociétés d'assurance ou par des mutuelles, ces régimes facultatifs sont,
le plus souvent, fondés sur le principe de la capitalisation individuelle.
Ils pourraient être
appelés à se développer avec l'institution des fonds d'épargne-retraite.
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Les corrélats
âge
assurance
espérance de vie
mutualisme - 1.HISTOIRE
pension
retraite - 1.DROIT
Sécurité sociale
solidarité
vieillissement
Les médias
vieillesse - espérance de vie.
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