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Terre slave, quadrilatère de l'Europe des Balkans adossé à la côte de la mer Noire, la Bulgarie a subi une longue occupation ottomane et a le sentiment de n'avoir pu recouvrer l'intégralité de son territoire.

Publié le 23/10/2013

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Terre slave, quadrilatère de l'Europe des Balkans adossé à la côte de la mer Noire, la Bulgarie a subi une longue occupation ottomane et a le sentiment de n'avoir pu recouvrer l'intégralité de son territoire. Son opiniâtre lutte pour l'indépendance, son engagement aux côtés des Empires centraux puis de l'Allemagne nazie,sa fidélité sans faille à l'URSS, son attitude face à sa minorité turque ont été tour à tour le reflet d'héritages historiques dans un pays qui est entré aujourd'hui dans l'ère de l'aprèscommunisme. La Bulgarie, en bulgare Bâ lgarija, est une République de la péninsule des Balkans, située entre le Danube au nord et la montagne du Rhodope au sud. Exemple type d'une « démocratie populaire « mettant en oeuvre une rigoureuse dictature du parti communiste, la Bulgarie a été entraînée dans la transformation du bloc soviétique consécutive à la perestroïka. Les premières élections libres depuis 1947 ont eu lieu en 1990, et une Constitution instaurant le multipartisme a été promulguée en 1991. Le Parlement est formé d'une Chambre unique. La structure unitaire du pays est mise en cause par l'existence d'une forte minorité turque. Géographie Les conditions naturelles. Le relief divise la Bulgarie en quatre parties. Deux correspondent à des montagnes : le mont Balkan, au centre, que les Bulgares appellent Stara Planina (« Vieille Montagne «), est de direction est-ouest et culmine à 2 377 m ; le Rhodope au sud, sur la frontière grecque, est relayé au sud-ouest par les hauts massifs du Pirin et du Rila, où se trouve le point culminant des Balkans (2 925 m). Au nord de la Stara Planina, drainés par le Danube, s'étendent des plaines et plateaux recouverts de limons fertiles, cependant qu'entre la Stara Planina et le Rhodope est disposée une suite de bassins, tapissés d'alluvions, dont le plus occidental abrite Sofia. Malgré sa position méridionale, la Bulgarie a un climat continental, adouci sur les rives de la mer Noire. Les hivers y sont froids et les étés très chauds. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Balkan (mont) Botev (pic) Danube Rhodope (le) Rila Sofia Les livres Bulgarie - paysage de montagnes, près de Razlog, page 775, volume 2 Les aspects humains. La Bulgarie est placée sur la route la plus commode qui mène de l'Europe centrale vers le Proche-Orient, par le bassin de Sofia et la vallée de la Maritza. La population est composée en majorité de Slaves orthodoxes, les Bulgares, peuple d'origine asiatique arrivé au haut Moyen Âge ; les Turcs, minorité importante, peuplent la région de Choumen au nord-est et le Rhodope. Mais une partie d'entre eux a récemment émigré en Turquie ; les Pomaks dans le Rhodope sont des bulgarophones islamisés. La population augmente très lentement, par suite de la faiblesse de la fécondité. Les fortes densités se trouvent dans les plaines, notamment celles du Danube et de la Maritza. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats bulgare Bulgares Danube Maritsa Rhodope (le) Slaves Sofia Les livres Bulgarie - Veliko Tarnovo, page 774, volume 2 Bulgarie - Sofia, page 776, volume 2 La vie économique. L'économie, longtemps de type socialiste, commença à s'orienter à partir de 1989 vers une économie de marché. L'agriculture, collectivisée depuis 1946, a été privatisée. Les plaines du Nord sont cultivées en blé, maïs, tournesol et betterave à sucre, cependant que le Sud produit et exporte des fruits et légumes, du tabac et des roses, cultivées pour leur essence. Le pays dispose de quelques ressources minières, comme le lignite, dans le bassin de Dimitrovgrad, utilisé pour la production d'électricité. On extrait aussi du plomb, du zinc, du cuivre. Les ressources hydroélectriques sont limitées et les autorités ont renoncé au projet d'un gigantesque barrage sur le Danube. La Bulgarie s'est dotée d'une industrie assez variée, en dépit d'un marché intérieur restreint : sidérurgie à Pernik et Kremikovtsi, près de Sofia, fondée sur un médiocre gisement de fer, chimie dans la région de Varna et constructions électriques (chariots élévateurs), sans compter les industries légères, comme le textile et l'agroalimentaire. Les exportations étaient jusqu'alors particulièrement destinées à l'ex-URSS et aux autres pays du bloc de l'Est. La côte de la mer Noire est devenue un important centre touristique, autour de Varna, qui accueille des estivants venus à la fois de l'est et de l'ouest de l'Europe. Pour compenser l'insuffisance des ressources énergétiques locales, souvent de médiocre qualité, la Bulgarie a dû importer du pétrole, raffiné à Burgas, et du charbon russe. Le pays, qui effectuait plus de la moitié de son commerce total avec l'exURSS, a dû chercher de nouveaux clients et de nouveaux fournisseurs, en particulier au sein de l'Union européenne, et payer ses achats en devises fortes. Elle affronte en outre la charge d'une lourde dette extérieure, en même temps que les difficultés du passage à l'économie de marché, se traduisant par une certaine lenteur du processus de privatisation. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Danube Sofia Varna Les livres Bulgarie - les installations industrielles de Kremikovtsi, près de Sofia, page 776, volume 2 Bulgarie - Albena, sur la mer Noire, au nord de Varna, page 776, volume 2 Europe - le village de Bojskovo, en Bulgarie, page 1803, volume 4 L'organisation de l'espace. Le bassin de Sofia, la plaine de la Maritza et le littoral de la mer Noire sont les trois régions qui se sont le plus développées. Près de la frontière serbe, Sofia est la seule grande ville du pays. C'est aussi le principal foyer industriel, avec les villes-satellites de Pernik et Radomir, et un grand centre universitaire et administratif. Dans la plaine de la Maritza, région agricole irriguée (fruits et légumes), se situent les gisements de lignite (Dimitrovgrad et Maritza-Istok). Cette région, qui est bien industrialisée, abrite Plovdiv, la deuxième ville du pays. Le littoral de la mer Noire est à la fois un centre de tourisme balnéaire et une région industrielle avec les deux ports de Varna (chimie) et de Burgas (raffinage pétrolier). La région du Nord oppose des villes en croissance et des campagnes qui se dépeuplent en dépit de leur prospérité. Les montagnes du Sud, dont la population plus jeune s'accroît, vivent de l'élevage, de la culture des roses et de celle du tabac. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Balkan (mont) Maritsa Noire (mer) Plovdiv Sofia Varna Les livres Europe - le village de Bojskovo, en Bulgarie, page 1803, volume 4 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Balkan (mont) Botev (pic) Danube Dobroudja Macédoine Maritsa Noire (mer) Pleven Plovdiv Rhodope (le) Rila Ruse Sofia Stara Zagora Sumen Thrace Varna Veliko Tarnovo Histoire La région, d'abord occupée par les Thraces, appartint au royaume de Macédoine avant d'être colonisée par les Romains. Elle dépendit ensuite de l'Empire byzantin. Mais un État bulgare, fondé par le kh?n Asparuh en 681, réussit à s'imposer face à Byzance. Boris Ier (852/889) en fit un État chrétien et son fils Siméon Ier régna, avec le titre de tsar, sur une « Grande Bulgarie « qui avait pour capitale Preslav. Conquis par les Byzantins en 972, l'État bulgare renaquit néanmoins grâce à Samuel jusqu'en 1014, date à laquelle l'empereur byzantin Basile II, surnommé « le Bulgaroctone «, soumit le pays. Cependant, un réveil bulgare, oeuvre de la dynastie des Asen, permit la création d'un deuxième royaume bulgare (1186-1340), dont la capitale était Târnovo et qui, déchiré par les luttes des boyards, fut facilement pris par les Turcs. À la fin du XIVe siècle, la Bulgarie passa en effet sous la domination de l'Empire ottoman, et le resta jusqu'en 1878. Cette époque fut marquée par de nombreux soulèvements nationalistes bulgares, qui échouèrent. La guerre russo-turque de 1877-1878 permit une libération partielle, puisque, après le congrès de Berlin de 1878, la Bulgarie fut divisée entre la Roumélie, province ottomane, et une principauté autonome. L'unité fut réalisée par Alexandre de Battenberg, un prince allemand désigné en 1879 comme prince de Bulgarie par l'Assemblée nationale bulgare. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Asen Basile - Basile II le Bulgaroctone Battenberg Boris Boris - Boris Ier Boris - Boris II Byzance - Histoire - L'Empire hellénique (717-1204) - La dynastie macédonienne (867-1057) Byzance - Histoire - L'Empire universel (395-717) Jean - BULGARIE - Jean Ier Asen Ier Jean - BULGARIE - Jean II Asen, dit Kalojan Jean - BULGARIE - Jean III Asen II Macédoine ottoman (Empire) russo-turque (guerre) Samuel Siméon - Siméon Ier le Grand Thrace Veliko Tarnovo La Bulgarie au XXe siècle. Dans un contexte politique et social instable, l'indépendance fut proclamée en 1908 et le prince Ferdinand de Saxe-Cobourg devint tsar de Bulgarie sous le nom de Ferdinand Ier . Mais le pays se trouvait au coeur de la « poudrière balkanique «. Alliée de la Grèce, du Monténégro et de la Serbie, la Bulgarie remporta la première guerre balkanique (octobre 1912-mai 1913) contre les Ottomans. Revendiquant la possession de la Macédoine, et notamment d'Ohrid, un haut lieu du christianisme bulgare médiéval, la Bulgarie déclencha la seconde guerre balkanique (juin-juillet 1913) contre la Serbie, mais elle fut vaincue. Aussi s'engagea-t-elle aux côtés des Empires centraux en 1915. Le traité de Neuilly de 1919, qui obligeait la Bulgarie à céder des territoires à la Grèce et à la Roumanie, fut vécu comme un diktat. Une dictature fascisante fit régner une terreur blanche à partir de 1923 et contraignit les communistes - parmi lesquels Georgi Dimitrov - à l'exil. En 1934, le roi Boris III, qui avait accédé au trône en 1918, imposa sa dictature personnelle. Neutre jusqu'en 1941, la Bulgarie s'allia ensuite à l'Allemagne nazie. Mais la mort de Boris III (1943) et l'occupation de la Bulgarie par l'Armée rouge (1944) entraînèrent un renversement d'alliance. Les Bulgares combattirent le Reich aux côtés des Soviétiques. La République ayant été proclamée en 1946, le roi Siméon II s'exila et Dimitrov instaura un régime communiste. Todor ?ivkov, premier secrétaire du parti communiste de 1954 à 1989, fit du pays l'un des plus sûrs alliés de l'Union soviétique. Alors que les communistes étaient désavoués dans la plupart des démocraties populaires, la situation politique bulgare fut originale, car les élections libres de juin 1990 désignèrent à l'Assemblée nationale une majorité qui leur était favorable. Aux élections législatives suivantes, en 1991, les communistes furent cette fois devancés par les candidats de l'Union des forces démocratiques, et le chef de file de celle-ci, ?elio ?elev, a été en 1992 le premier président de la République élu au suffrage universel, mais les crises gouvernementales se sont succédé et ont placé les élus de la minorité turque en position d'arbitres. En décembre 1994, ce sont à nouveau les néocommunistes qui sont sortis victorieux des élections anticipées. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Axe (puissances de l') balkanique (Entente) balkaniques (guerres) Boris - Boris III Dimitrov Georgi Est (pays de l') Ferdinand Ohrid Siméon - Siméon II de Saxe-Cobourg Gotha URSS - Histoire - Du pacte germano-soviétique à la guerre froide Les livres guerres mondiales - prisonniers bulgares à Usküb, page 2270, volume 4 Bulgarie - discours à Sofia du chef de l'Union des forces démocratiques, Petra Beron, le 14 janvier 1990, page 777, volume 2 Arts Littérature. La première littérature nationale des Slaves est issue de la tradition instituée par les frères Cyrille et Méthode, et représentée en Bulgarie par l'évêque Clément. Tout commença donc par la prière en bulgare. L'essor littéraire attendit la formation d'un État bulgare indépendant en 1186, mais il fut bridé par les cinq siècles de l'occupation turque, malgré la tentative de Paisij, dont l'Histoire des Slaves bulgares, écrite en 1762, ne put être publiée avant 1844. Elle donna pourtant le signal du redressement national, avec Georgi Rakovski, Ljuben Karavelov et surtout Hristo Botev. Le grand écrivain de l'époque moderne fut Ivan Vazov (1850-1921), avec Sous le joug, vaste fresque de la vie à la veille de la libération de la domination turque. Au début du XXe siècle, la vie intellectuelle s'est concentrée autour du cénacle des écrivains de « la Pensée «, dont le principal animateur était Pen?o Slavejkov, et Pejo Javorov, le poète le plus marquant. Le réalisme socialiste a substitué ses dogmes contraignants à une littérature dont on pouvait attendre une belle floraison. On peut retenir de cette période les oeuvres de Dimitâr Talev et le Tabac (1951) de Dimitâr Dimov. Un assouplissement progressif de la doctrine officielle, depuis vingt ans, a permis la parution d'Ivan Kondarev, de la Légende de Sibine, prince de Preslav, de l'Antéchrist d'Emilian Stanev (1907-1979), romans où sont abordés de façon transposée les problèmes du monde moderne. Nicolaï Haïtov (né en 1919) est l'auteur de Contes sauvages et Blaga Dimitrova (née en 1922), en association avec Yordan Vassilev, a écrit la biographie de la grande poétesse Elisaveta Bagrjana, dans laquelle elle évoque aussi la vie culturelle de la Bulgarie. Nombre de poètes (Petrov, Bojilov, Levtchev...) contribuent également au renouveau des lettres bulgares. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Bagrjana (Elisaveta Belceva, dite Elisaveta) Botev Hristo bulgare Cyrille Rakovski Georgi Vazov Ivan Musique. La musique savante ne présente de réelle originalité que dans le chant liturgique « vieux bulgare «, développé à partir du IXe siècle dans les monastères du mont Athos. En revanche, le folklore musical, très original, offre une extrême variété de rythmes et de gammes. La forme vocale typique est constituée d'une strophe de deux vers à la mélodie répartie en deux sections inégales. Les chants accompagnent les travaux des champs, les fêtes et événements de la vie (la Saint-Lazare, la lamentation funèbre). Ils soutiennent aussi la danse, collective et à deux temps le plus souvent, comme le khoro (ronde). Le régime communiste, en modifiant la sociabilité paysanne, a bouleversé le folklore, mais il a aussi favorisé la collecte à des fins d'étude. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Athos (mont) Boucourechliev André Christoff Boris Ghiaurov Nikolaï Petrov Dimitrov Gueorgui Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Christo (Christo Javacheff, dit) Pascin (Julius Pinkas, dit Jules) Les livres Bulgarie - le monastère de Rila, page 777, volume 2 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Balkans (péninsule des) Europe Les médias Bulgarie - tableau en bref Bulgarie - carte physique Bulgarie - tableau en chiffres Europe - carte politique Les indications bibliographiques M. Stantcheva, Bulgarie : trois capitales anciennes : Pliska, Preslav, Tirnovo, Presses de l'UNESCO, Paris, 1981. J.-P. Volle, Bulgarie : les systèmes de peuplement, GIP-Reclus, Montpellier, 1986.
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« densités se trouvent dans les plaines, notamment celles du Danube et de la Maritza. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats bulgare Bulgares Danube Maritsa Rhodope (le) Slaves Sofia Les livres Bulgarie - Veliko Tarnovo, page 774, volume 2 Bulgarie - Sofia, page 776, volume 2 La vie économique. L'économie, longtemps de type socialiste, commença à s'orienter à partir de 1989 vers une économie de marché.

L'agriculture, collectivisée depuis 1946, a été privatisée.

Les plaines du Nord sont cultivées en blé, maïs, tournesol et betterave à sucre, cependant que le Sud produit et exporte des fruits et légumes, du tabac et des roses, cultivées pour leur essence.

Le pays dispose de quelques ressources minières, comme le lignite, dans le bassin de Dimitrovgrad, utilisé pour la production d'électricité.

On extrait aussi du plomb, du zinc, du cuivre.

Les ressources hydroélectriques sont limitées et les autorités ont renoncé au projet d'un gigantesque barrage sur le Danube. La Bulgarie s'est dotée d'une industrie assez variée, en dépit d'un marché intérieur restreint : sidérurgie à Pernik et Kremikovtsi, près de Sofia, fondée sur un médiocre gisement de fer, chimie dans la région de Varna et constructions électriques (chariots élévateurs), sans compter les industries légères, comme le textile et l'agroalimentaire. Les exportations étaient jusqu'alors particulièrement destinées à l'ex-URSS et aux autres pays du bloc de l'Est.

La côte de la mer Noire est devenue un important centre touristique, autour de Varna, qui accueille des estivants venus à la fois de l'est et de l'ouest de l'Europe.

Pour compenser l'insuffisance des ressources énergétiques locales, souvent de médiocre qualité, la Bulgarie a dû importer du pétrole, raffiné à Burgas, et du charbon russe.

Le pays, qui effectuait plus de la moitié de son commerce total avec l'ex- URSS, a dû chercher de nouveaux clients et de nouveaux fournisseurs, en particulier au sein de l'Union européenne, et payer ses achats en devises fortes.

Elle affronte en outre la charge d'une lourde dette extérieure, en même temps que les difficultés du passage à l'économie de marché, se traduisant par une certaine lenteur du processus de privatisation. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Danube Sofia Varna Les livres Bulgarie - les installations industrielles de Kremikovtsi, près de Sofia, page 776, volume 2 Bulgarie - Albena, sur la mer Noire, au nord de Varna, page 776, volume 2 Europe - le village de Bojskovo, en Bulgarie, page 1803, volume 4 L'organisation de l'espace. Le bassin de Sofia, la plaine de la Maritza et le littoral de la mer Noire sont les trois régions qui se sont le plus développées.

Près de la frontière serbe, Sofia est la seule grande ville du pays.

C'est aussi le principal foyer industriel, avec les villes-satellites de Pernik et Radomir, et un grand centre universitaire et administratif.

Dans la plaine de la Maritza, région agricole irriguée (fruits et légumes), se situent les gisements de lignite (Dimitrovgrad et Maritza-Istok).

Cette région, qui est bien industrialisée, abrite Plovdiv,. »

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