Le bouddhisme est la christianisme, compte le 2 500 ans, d'une réaction Bouddha, fit porter toute maux de l'existence ?
Publié le 22/10/2013
Extrait du document
«
conduite pacifique et honorable, ne pas tuer, ne pas voler, ne pas nuire à autrui et, au
contraire, aider les autres à suivre le Noble Octuple Sentier.
Elle implique aussi des
« moyens d'existence justes », c'est-à-dire honnêtes, sans que pour cela il soit nécessaire
de faire, même légalement, du tort à autrui, ou de détruire la vie.
La sagesse implique la « compréhension juste » des Quatre Nobles Vérités, dans leur
nature profonde, intime.
Elle implique également une « pensée juste », c'est-à-dire
dépourvue de haine ou de ressentiment, de pensées égoïstes, et pleine, au contraire, de
compassion envers tous les êtres, excluant toute violence.
Enfin, la discipline mentale demande des « efforts justes », c'est-à-dire la volonté
ferme de combattre en soi les tendances aux pensées mauvaises, à l'égoïsme, et de
développer des sentiments de douceur, d'amour, de compassion et de générosité.
Elle
implique enfin celle de faire des exercices de méditation et de « concentration juste » afin
de pouvoir dominer entièrement son corps comme son esprit.
Il faut également avoir une
« attention soutenue » à tout ce qui se passe en nous et sans cesse être en éveil afin de
nous parfaire.
Ainsi, l'être arrivé à une juste éthique, à une discipline mentale rigoureuse et à la
sagesse, pourra espérer atteindre à la fin de sa vie au nirv āna, le point de non-retour qui
est béatitude absolue, état de non-désir, la chaîne des renaissances ou cycle des
incarnations et réincarnations successives ( samsāra ) étant alors définitivement brisée.
Dans cette éthique, il n'est question ni de divinité, ni de métaphysique.
Le Bouddha ne
s'occupait pas de ce qui se passait après la mort et peut lui importait qu'on crût ou ne crût
pas aux dieux, quels qu'ils fussent.
Il ne donne qu'une série de préceptes pour apprendre
aux hommes à mieux vivre.
Le dharmapāda, la loi bouddhique traitant du dharma (devoir),
est constitué par une série de conseils de pure et simple sagesse qui furent consignés en
langue p ālie par ses disciples dans les « Trois Corbeilles » ( Tripitaka ).
Le Bouddha vécut jusqu'à l'âge de 80 ans, dit-on, et mourut de maladie.
Ses reliques
furent partagées entre les chefs des divers États et républiques qu'il avait connus et
convertis, ce qui faillit provoquer une guerre.
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Les corrélats
Bouddha
dharma
incarnation
nirvana
réincarnation
relique
Les livres
Thaïlande - bonzes se recueillant avant la cérémonie du thé, page 5163,
volume 9
Évolution et expansion du bouddhisme
Il en fut de la doctrine du Bouddha comme de celle des Évangiles : les hommes l'ont
manipulée, arrangée, entourée de mystère, de miracles, de magie, de pratiques
superstitieuses, et ont voulu voir dans ses simples maximes des choses cachées.
Ils ont
fait de l'homme un dieu, de ses moines des saints et de ses pensées philosophiques des
axiomes religieux.
Ils lui ont attribué des sortes de saints intercesseurs, les bodhisattva
(voir ce mot ), et des vies antérieures, dont les récits, les Jātaka (ou « Naissances »),
composent un recueil qui connut une extraordinaire popularité.
Plusieurs écoles se constituèrent, qui fondaient leur enseignement sur des textes
d'exégèse, pour la plupart rédigés en sanskrit.
Ainsi naquit ce que l'on est convenu
d'appeler le « Grand Véhicule de progression sur la voie du Bouddha » (le mah āyāna) , par
opposition au « Petit Véhicule » (le hīnay āna ), réservé aux sectes suivant plus fidèlement
les enseignements du Maître.
Le bouddhisme connut, dès le III e siècle avant J.-C., un grand
essor missionnaire, d'abord vers Ceylan, puis vers les pays de l'Asie du Sud-Est, et vers le
Cachemire (K āshm īr), d'où la doctrine conquit progressivement, au début de notre ère,
l'Asie centrale et la Chine, passant ensuite en Corée et, au milieu du VI e siècle, au Japon.
Mais, alors que le bouddhisme des « écoles du Nord » (autre nom des doctrines du
mahāyāna) se voyait supplanté en Chine même par le confucianisme et interdit en 845, il
s'implantait fermement au Tibet, où il se mélangea à des croyances indigènes.
Du Tibet, il
conquit la Mongolie.
Suivant les marchands indiens, les diverses théories du bouddhisme
gagnèrent de nouveau les pays de la péninsule Indochinoise et pénétrèrent, dès le.
»
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