La protection de la nature et de ses ressources constitue aujourd'hui une nécessité pour l'ensemble de l'humanité. Les stratégies mises en oeuvre visent, par les créations de parcs nationaux et de réserves, à conserver une surface significative de chaque écosystème peu ou pas modifié par l'homme, ainsi que des populations viables des principales espèces animales et végétales menacées. Elles impliquent aussi de rendre les activités économiques compatibles avec une utilisation durable de la nature et de ses ressources. L'objet de la protection de la nature est d'assurer la conservation des écosystèmes peu ou pas modifiés par l'homme, ainsi que celle de leur diversité biologique, c'est-à-dire de la totalité des espèces vivantes qu'ils renferment. L'idée moderne de protection et de conservation de la nature a fait son apparition au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Il s'agissait à l'époque de conserver des espèces ou des forêts primitives menacées de disparition. Ainsi, aux États-Unis, un des pionniers mondiaux de la conservation de la nature, John Muir, fit mettre en réserve en 1864, en Californie, la vallée de Yosemite, ébauche de ce qui devint plus tard le parc national du même nom. Cependant, l'an un de la conservation de la nature est plutôt 1872, date de la création dans le Wyoming du parc national de Yellowstone. Destiné à protéger les derniers bisons des États-Unis, menacés d'extermination, ce parc national avait déjà aussi pour objet de préserver les extraordinaires richesses naturelles, tant écologiques que géologiques, propres à ce territoire - entre autres, ses champs de geysers. En Europe, le plus ancien parc national est celui de Störa Sjoefallet, créé en 1909 en Suède ; il fut suivi, en 1914, par la création du parc national suisse. En France, c'est en 1963 que fut créé le premier parc national, celui de la Vanoise. En réalité, les premières mesures de protection de la nature en Europe concernèrent des espèces menacées et furent bien antérieures. Au XIV e siècle, le roi de Pologne Ladislas II Jagellon avait déjà mis en réserve les zones forestières où subsistait l'aurochs, l'ancêtre du boeuf domestique en voie d'extinction. Et c'est au XIXe siècle que remontent les premières sociétés de protection de la nature. En France, l'actuelle Société nationale de protection de la nature, créée en 1853 sous le titre initial de Société d'acclimatation, peut se targuer d'être la doyenne des organisations non gouvernementales modernes oeuvrant dans le secteur de la conservation du patrimoine naturel ; en Grande-Bretagne, la Royal Society for Birds Preservation, créée en 1886, constitue sans doute la plus ancienne des associations de protection de la nature. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats aurochs bison écosystèmes - Introduction Jagellons Yellowstone Yosemite Pourquoi conserver la nature ? Pourquoi doit-on se préoccuper de la protection des espèces végétales et animales ? La réponse à cette question est complexe, car d'ordre à la fois scientifique, écologique, économique, culturel et éthique. Il existe en fait de nombreuses raisons qui justifient de nos jours la mise en oeuvre urgente de mesures efficaces de conservation de la nature et de ses ressources, en particulier de la conservation de la diversité des espèces. Les raisons scientifiques. Elles sont multiples. Un grand nombre d'espèces vivantes ont déjà été anéanties avant qu'aucun biologiste n'ait eu le temps de les étudier ou parfois même seulement de les décrire. Ce problème est plus que jamais d'actualité si l'on songe à la vitesse accrue à laquelle l'homme fait disparaître les espèces vivantes. Alors que l'on a décrit environ 1,4 million d'espèces, les taxinomistes estiment que les forêts vierges tropicales en renfermeraient à elles seules trois fois plus. Cela signifie que la majorité des espèces vivantes peuplant la biosphère sont encore à décrire. En outre, comme on estime que ces mêmes forêts perdront 90 % de leur surface au cours du prochain demi-siècle, si aucun frein n'est mis à leur destruction actuelle, il est possible d'estimer à plusieurs millions le nombre d'espèces vivantes que l'homme fera disparaître d'ici là. Au strict point de vue scientifique, les conséquences de l'extinction accélérée d'un aussi grand nombre d'espèces seront catastrophiques pour la recherche scientifique fondamentale, certaines espèces rares, douées de particularités biologiques remarquables, pouvant permettre des avancées spectaculaires dans la compréhension des mécanismes de l'évolution et de bien d'autres processus biologiques fondamentaux. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats anthropique (action) extinction forêt - Les richesses de la forêt tropiques - Les différents milieux - Le milieu tropical forestier Les livres protection de la nature - localisation des centres d'endémisme exceptionnels en Amérique du Sud tropicale, page 4146, volume 8 Les raisons écologiques. Le rôle écologique des espèces vivantes ne peut pas non plus être ignoré et constitue un argument majeur pour leur préservation. De nombreuses espèces jouent un rôle clef dans la structuration des communautés vivantes et dans la pérennité des habitats naturels où elles vivent. En outre, certaines espèces menacées sont indispensables à la survie d'autres espèces avec lesquelles elles sont associées par des liens d'interdépendance obligatoire. Qu'adviendrait-il, par exemple, de divers arbres des forêts pluvieuses tropicales qui sont uniquement pollinisés par certaines espèces de chauvessouris si ces dernières venaient à disparaître? D'autre part, de nombreuses espèces vivantes interviennent dans le maintien de processus écologiques fondamentaux. Dans certains cas, l'extinction d'une seule espèce, en altérant les mécanismes homéostatiques d'un écosystème, peut perturber les cycles biogéochimiques et induire, de ce fait, une altération irréversible de l'écosystème tout entier. Par exemple, la disparition d'une espèce d'arbre constituant les peuplements forestiers d'un bassin hydrographique (ensemble des terrains alimentant un cours d'eau) peut entraîner un dérèglement du cycle de l'eau. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats arbres - Écologie - Introduction biocénose écologie écologique (succession) écosystèmes - L'évolution des écosystèmes pollinisation Les raisons économiques. Le rôle économique majeur que jouent actuellement de nombreuses espèces animales et végétales sauvages dans le monde, de même que leurs potentialités encore plus considérables en matière agronomique ou industrielle représentent un argument décisif en faveur de leur protection. La sauvegarde de la diversité spécifique est un gage d'avenir et un investissement nécessaire pour maintenir et améliorer la production agricole et forestière, celle des pêcheries, et pour garder des options ouvertes en ce domaine pour l'avenir - c'est-à-dire pour parer aux changements défavorables et imprévus qui peuvent survenir dans l'environnement. Compte tenu de leur intense sélection, les variétés modernes de plantes cultivées et les races d'animaux domestiques les plus « performantes » ont perdu leurs caractères de rusticité et donc de résistance aux parasites et aux maladies. Il est indispensable de conserver les variétés traditionnelles des plantes cultivées et les espèces sauvages voisines afin de pouvoir, en cas de besoin, introduire les caractères de résistance dans les variétés agricoles - ou les races domestiques hautement sélectionnées. Cette sauvegarde du fonds génétique mondial nécessite la conservation non seulement de spécimens, mais de populations assez nombreuses d'espèces voisines. De nombreux exemples mettent en évidence le rôle considérable que revêt la conservation d'espèces sauvages pour l'amélioration des plantes cultivées et des animaux domestiques. Il y a quelques années, les cultures de manioc, essentielles à l'alimentation de nombreuses populations des pays tropicaux, étaient ravagées en Afrique par une maladie cryptogamique. Le croisement de cette espèce cultivée avec une espèce sauvage voisine, Manihot glazovii, qui avait été préservée de la disparition, permit de sauvegarder cette culture et même d'augmenter sensiblement ses rendements. De même, le mouton mérinos, très adapté à la vie sur des pâturages arides, a été obtenu par croisement du mouton avec le mouflon... Cependant, la préservation des espèces domestiquées et de leurs parentes sauvages ne constitue qu'un des aspects économiques de la conservation. Eu égard aux potentialités d'utilisation agricole ou industrielle que recèle l'exploitation de la flore et de la faune sauvages, la protection des espèces menacées apparaît aujourd'hui comme un impératif absolu. La recherche de produits chimiques et médicinaux parmi les millions d'espèces vivantes sauvages a déjà permis des découvertes retentissantes et offre des potentialités économiques encore plus importantes, tant au plan des industries pharmaceutiques qu'à celui de l'élevage ou de l'agriculture. Si les écosystèmes représentatifs des divers biomes ne sont pas protégés efficacement, on peut être certain que des substances aussi efficaces que le sont aujourd'hui le pyrèthre ou la pénicilline disparaîtront de la Terre avant même d'avoir été découvertes. Par exemple, la vincoblastine - un des plus puissants médicaments anticancéreux connus - a été découverte chez une espèce de pervenche rare croissant dans les quelques lambeaux subsistant de l'immense forêt qui couvrait autrefois la partie orientale de Madagascar. Aux seuls États-Unis, la valeur des médicaments extraits de principes actifs de plantes - généralement tropicales - est de plusieurs milliards de dollars par an. Cela laisse songeur lorsqu'on pense que seulement 1 % de la flore du Brésil a fait l'objet d'investigations pour découvrir dans ses plantes d'éventuels principes médicamenteux. Il est de même surprenant de constater que, depuis le néolithique, quasiment aucune espèce importante de plante ou d'animal n'a été cultivée ou domestiquée. On imaginera donc sans peine les possibilités qui restent à explorer. Les antilopes africaines présentent par exemple une valeur zootechnique supérieure à celle des bovins, même indigènes, de ce continent, car elles sont capables de mieux utiliser pour leur nourriture les espèces végétales des savanes et elles sont beaucoup plus résistantes que les zébus aux nombreuses maladies parasitaires propres à ce continent. La conservation de ces espèces est d'autant plus nécessaire que certaines d'entre elles, tels l'Oryx dammah, l'addax ou encore l'élan de Derby occidental, figurent sur la liste rouge des espèces menacées de l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature et de ses ressources). Dans un autre domaine, il y a quelques années, un poisson rare d'Amérique tropicale, menacé de disparition, Choristoma estor, s'est avéré être l'espèce la plus adaptée pour l'empoissonnement des lacs de barrage de cette région du monde à des fins piscicoles. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats antilope biotechnologies - Les biotechnologies et l'agriculture botanique domestication manioc mérinos patrimoine génétique pharmacie plantes - Les plantes cultivées zoologie Les raisons culturelles et éthiques. Le rôle immense joué par l'observation de la nature, de la flore et de la faune sauvages dans l'émergence des civilisations humaines, son rôle dans l'histoire des cultures tant orientales qu'occidentales, l'irremplaçable valeur esthétique de bien des milieux peu modifiés par l'homme, ainsi que des espèces qui y vivent constituent un autre argument impérieux en faveur de leur conservation. Enfin, des considérations morales justifient la protection de la nature : l'espèce humaine peut-elle faire disparaître d'immenses écosystèmes et provoquer en quelques décennies l'anéantissement de millions d'espèces vivantes, qui sont le fruit de plusieurs milliards d'années d'évolution ? Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats anthropique (action) écosystèmes - L'évolution des écosystèmes Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats environnement extinction ressources naturelles Les livres protection de la nature - le parc national de Yosemite, en Californie, page 4142, volume 8 protection de la nature - Parc national de Corcovado, au Costa Rica ; tronc couvert de végétation épiphyte et de lianes, page 4143, volume 8 protection de la nature - plant de manioc sauvage (A) et de manioc domestique (B), page 4144, volume 8 protection de la nature - quelques oryx dans le parc national de Samburu, au Kenya, page 4144, volume 8 La mise en oeuvre de la conservation de la nature La protection des écosystèmes uniques et/ou menacés, ainsi que de ceux que l'homme n'a jusqu'à présent peu ou pas modifiés, et la préservation des espèces vivantes en danger exigent la mise en oeuvre rapide de mesures de conservation judicieuses et scientifiquement fondées. La sauvegarde des espèces menacées. Prévenir l'extinction des espèces menacées implique l'établissement d'une hiérarchie des urgences. La priorité sera accordée aux espèces menacées sur toute leur aire de répartition ainsi qu'à celles appartenant à des familles ou à des genres monospécifiques. De façon générale, plus la perte génétique potentielle est grande, plus tôt devront être prises les mesures préventives de sauvegarde. En outre, la prévention de l'extinction d'espèces menacées nécessite une stratégie de protection dans des espaces restreints (jardins botaniques et zoos) ou plus étendus (parcs nationaux et réserves analogues). En effet, les caractères adaptatifs des espèces vivantes ne peuvent être conservés avec certitude que si celles-ci sont placées dans les conditions propres à leurs biotopes d'origine. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats amphibiens - Classification et caractères généraux actuels - Les apodes ou gymnophiones arbres - Écologie - Les arboretums baleine cétacés - La chasse aux cétacés chasse - Réglementation de la chasse Déclaration des droits de l'animal environnement - Le droit de l'environnement extinction jardin zoologique Nouvelle-Zélande - Géographie - La faune et la flore oiseaux - Les espèces actuelles papillons - La disparition des papillons parc national plantes - Les plantes carnivores - Introduction réserves naturelles Les livres protection de la nature - l'aurochs, ancêtre sauvage du bétail domestique, page 4144, volume 8 protection de la nature - flamants roses (Phoenicopterus ruber) dans la réserve naturelle de Camargue, page 4145, volume 8 protection de la nature - protection des tortues éléphantines des îles Galápagos, page 4146, volume 8 La conservation des écosystèmes. La conservation des écosystèmes constitue un autre impératif pour la mise en oeuvre efficace de la protection de la nature. En effet, il est illusoire de tenter de protéger des espèces vivantes si l'on ne maintient pas dans le même temps l'intégrité des écosystèmes auxquels elles sont inféodées. Celle-ci est fondée tout d'abord sur la constitution d'un réseau mondial de parcs nationaux et autres aires protégées analogues. Une des premières mesures qui s'imposent à l'échelle globale aux organisations internationales ayant pour mission de développer la conservation de la nature est de mettre en réserve au moins un échantillon représentatif de chaque type d'écosystème existant dans les pays concernés. Or, aujourd'hui, sur cent quatre-vingts provinces biogéographiques présentes à la surface des continents, un tiers d'entre elles est encore dépourvu de réserves. Les écosystèmes uniques, ceux que l'homme a peu ou pas altérés, enfin ceux qui présentent une grande importance pour les espèces migratrices doivent faire l'objet de mesures prioritaires de protection. La localisation des aires protégées dans les divers types d'écosystèmes doit se faire en déterminant les sites les plus riches en espèces, a fortiori les centres d'endémisme dont la biodiversité est particulièrement élevée. Enfin, la superficie d'une aire protégée doit toujours être suffisante pour assurer la pérennité des populations des plus grandes espèces qui y vivent. Un exemple fort éclairant de ce problème est fourni par la protection de l'ours en France, la surface du domaine vital des individus de cette espèce excédant largement celle qui est constituée en réserve dans le parc national des Pyrénées. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Afrique - Géographie - Les caractères écologiques - La savane et la steppe tropicales conservation de la nature domaine vital endémisme impact (étude d') limnologie papillons - Les papillons et l'homme parc national Rio de Janeiro - Le sommet de Rio UICN (Union internationale pour la conservation de la nature et de ses ressources) Les livres protection de la nature - deux exemples d'aménagement d'une réserve de biosphère, page 4147, volume 8 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats parc national réserves naturelles Les principaux types de zones protégées Il existe plusieurs catégories d'aires protégées définies par la réglementation internationale élaborée par l'UICN pour les États-Unis. La catégorie I est constituée par les réserves naturelles intégrales. Il s'agit d'écosystèmes remarquables présentant une importance majeure pour la recherche scientifique. Ces réserves renferment des habitats fragiles et des espèces - voire des communautés entières - menacées d'extinction. Les perturbations artificielles, l'accès du public, a fortiori le tourisme y sont interdits afin que les processus écologiques fondamentaux puissent s'y perpétuer. En France, la partie centrale de la réserve naturelle de Camargue appartient à cette catégorie. La catégorie II est constituée par les parcs nationaux. Il s'agit de territoires relativement étendus formés par un ou plusieurs types d'écosystèmes contigus, peu transformés par les activités humaines. Les communautés vivantes, les habitats et les sites géomorphologiques y présentent un intérêt scientifique, éducatif et récréatif exceptionnel, et ces territoires renferment des paysages de grande valeur esthétique. Les pouvoirs publics doivent prendre, dans les parcs nationaux, toutes les mesures destinées à empêcher ou éliminer sur la totalité de leur surface toute exploitation ou occupation constituant une entrave à la conservation au plan écologique. En revanche, le tourisme est autorisé à des fins récréatives, éducatives et culturelles, sous réserve qu'il ne mette pas en péril la conservation des écosystèmes concernés. La catégorie III regroupe les monuments naturels nationaux, qui correspondent dans leur statut aux parcs nationaux, mais qui sont de moindre dimension. La catégorie IV est constituée par les paysages terrestres ou marins protégés. Les parcs naturels régionaux français et les « national parks » britanniques appartiennent à cette catégorie. L'aménagement de ces paysages s'effectue surtout dans un but touristique. Leur protection, outre un ensemble de sévères contraintes en matière d'aménagement architectural et urbanistique, implique une planification rigoureuse de l'espace pour assurer le maintien des formes traditionnelles d'exploitation agro-sylvopastorales, ainsi que la pérennité des modes de vie de leurs habitants. La catégorie V correspond aux réserves de biosphère de l'UNESCO. Cette catégorie, particulièrement importante pour la protection de la nature, a été créée à partir de 1974 afin de conserver au moins une aire représentative de chaque écosystème majeur existant dans le monde et de constituer un réseau de réserves de biosphère. Les finalités des réserves de biosphère sont multiples. Outre les objectifs classiques de conservation de la biodiversité, des processus écologiques fondamentaux et, de façon plus générale, d'écosystèmes servant de témoins de leur évolution dans le temps, les réserves de biosphère ont pour objet principal la recherche scientifique. Elles constituent en particulier des aires de choix pour le biomonitoring (surveillance permanente de l'environnement). Enfin, le territoire protégé par les réserves de biosphère est organisé selon un zonage concentrique : à la partie centrale, dont l'objectif est la conservation la plus stricte, s'ajoutent une partie intermédiaire - où est autorisée une utilisation limitée des ressources naturelles - et une partie périphérique, qui renferme des zones cultivées. Ainsi, une certaine forme d'exploitation humaine est possible, dans la mesure où elle ne met pas en danger la pérennité des milieux naturels protégés. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats biosphère - La protection de la biosphère Camargue parc national réserves naturelles UICN (Union internationale pour la conservation de la nature et de ses ressources) UNESCO (United Nations Educational Scientific and Cultural Organization) Vaccarès (étang de) Les livres protection de la nature - régions prioritaires pour la création de réserves naturelles, page 4145, volume 8 protection de la nature - bassin de geysers de Norris, dans le parc national de Yellowstone, aux États-Unis, page 4147, volume 8 réserves naturelles, page 4340, volume 8 Complétez votre recherche en consultant : Les livres protection de la nature - le parc national de Samburu, page 4142, volume 8 protection de la nature - l'alpe de la Schiura dans le Parc national suisse, en Engadine, page 4142, volume 8 protection de la nature - le sommet de la Grande Casse, au-dessus de Pralognan, dans le parc national, page 4143, volume 8 Les indications bibliographiques Code de l'environnement : protection de la nature, lutte contre les nuisances, Dalloz, Paris, 1984. Environnement et droits de l'homme, Unesco, 1987. F. Ramade, Éléments d'écologie appliquée, Ediscience, Paris, 1978 (1974). F. Ramade, la Conservation de la diversité spécifique, le Courrier de la nature, no 130, septembre 1991. UICN, Liste des Nations unies des parcs nationaux et autres réserves, Cambridge, 1990. Wordlwatch Institute, l'État de la planète, La Découverte, Paris, 1995.