La pollution de l'environnement représente une cause essentielle de la crise écologique globale : atmosphère, sols, eaux continentales et océans sont de plus en plus contaminés par des rejets d'effluents gazeux ou liquides. Les masses des principaux polluants rejetés dans la biosphère atteignent des valeurs comparables à celles des flux biogéochimiques naturels. En outre, l'industrie chimique met en circulation des dizaines de milliers de substances chimiques qui sont autant de sources de pollutions diffuses. Fort utilisé de nos jours, le terme de pollution recouvre bien des acceptions et qualifie une multitude d'actions qui dégradent l'environnement. Ce vocable désigne sans aucune ambiguïté les effets de l'ensemble des composés toxiques libérés par l'homme dans la biosphère ; en revanche, son emploi paraît moins évident au profane lorsqu'il concerne des substances inoffensives pour les êtres vivants - parfois même favorables à ces derniers -, mais qui peuvent exercer une action perturbatrice dans des écosystèmes pollués du fait de leur concentration excessive. Tel est, par exemple, le cas du gaz carbonique (CO2) rejeté dans l'atmosphère par suite des combustions, ou encore celui des phosphates contenus dans les détersifs qui sont déversés avec les effluents urbains dans les eaux continentales. La définition la plus précise du terme de pollution a été donnée par le premier rapport du Conseil sur la qualité de l'environnement de la Maison-Blanche (1965) : « La pollution est une modification défavorable du milieu naturel qui apparaît en totalité ou en partie comme un sous-produit de l'action humaine, au travers des effets directs ou indirects altérant les critères de répartition des flux de l'énergie, des niveaux de radiation, de la constitution physicochimique du milieu naturel et de l'abondance des espèces vivantes. Ces modifications peuvent affecter l'homme directement ou au travers des ressources agricoles, en eau et en produits biologiques. Elles peuvent aussi l'affecter en altérant les objets physiques qu'il possède ou les possibilités récréatives du milieu. » Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats anthropique (action) bioconcentration effluent environnement Les livres pollution - plastiques abandonnés lors d'une décrue de l'Arc, page 4012, volume 7 Les principales causes de pollution Depuis l'apparition des premières cités, au début du néolithique, les sources de pollution n'ont fait que croître en nombre et en importance. Initialement, ces dernières étaient d'origine strictement microbienne et résultaient de l'absence d'élimination des eaux usées urbaines. Les métallurgies primitives engendrèrent aussi des pollutions, certes localisées. Cependant, ce n'est qu'à l'aube de la civilisation industrielle, au milieu du XVIIIe siècle, que les phénomènes de pollution prirent une importance significative, qui, depuis, est allée en s'accroissant de façon exponentielle jusqu'à nos jours. La production d'énergie. Elle vient largement en tête des innombrables sources de pollution propres à la civilisation industrielle moderne. L'usage des combustibles fossiles et, plus récemment, celui de l'énergie nucléaire constituent une importante cause de production d'agents polluants, et cela depuis le stade même de l'extraction jusqu'à celui de l'élimination des déchets. Particulièrement exemplaire est le cas du pétrole, source de graves pollutions des eaux océaniques et du littoral depuis le moment où il est extrait jusqu'à celui où il est raffiné, puis utilisé dans les divers carburants. La consommation énergétique mondiale - supérieure à 8 milliards de tonnes d'équivalent pétrole en 1995 - constitue une cause primordiale de contamination de l'air par un grand nombre de composés gazeux et de particules parfois très toxiques produits par les combustions. Le principal d'entre eux, le gaz carbonique, ou dioxyde de carbone, est ainsi rejeté à raison de plus de 20 milliards de tonnes par an dans l'atmosphère, les oxydes de soufre et d'azote l'étant eux-mêmes à raison de plusieurs centaines de millions de tonnes par an. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Amoco Cádiz carbonique (gaz) combustible déchets énergie - Les sources d'énergie industrielles - L'énergie nucléaire énergie - Les sources d'énergie industrielles - Les combustibles fossiles fossiles (combustibles) Hague (cap de la) marée noire pétrole - L'industrie du pétrole pluies acides suie Torrey Canyon Les médias charbon - chaudière à lit fluidisé Les livres pollution - la marée noire de l'Amoco Cadiz, en mars 1978, page 4013, volume 7 La pollution par les industries. Les industries, en particulier métallurgiques et chimiques, représentent une cause essentielle de pollution, de la production en usine à l'utilisation des substances produites. À titre d'exemple, quelque 70 000 molécules organiques de synthèse sont commercialisées aujourd'hui, et leur nombre s'accroît d'un millier environ par an sans que l'on connaisse, pour la plupart d'entre elles, leur impact environnemental potentiel. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats chimie - L'industrie chimique décharge eau - La pollution des eaux - Les principaux types de polluants des eaux effluent industrie métallurgie plastiques (matières) - Économie et avenir des matières plastiques polychlorobiphényles Seveso usine Les médias pollution - les pollutions industrielles en Europe de l'Est Les livres pollution atmosphérique à Copsa Mica, en Roumanie, page 4012, volume 7 pollution - cours d'eau pollué par des rejets d'effluents de retraitement de bauxite, page 4013, volume 7 La pollution par l'agriculture. L'agriculture moderne est aussi devenue une cause importante de pollution des sols et des eaux par suite de l'usage systématique des engrais chimiques et des pesticides, certains étant extrêmement toxiques. Les pollutions agricoles présentent l'inconvénient d'être diffuses, les engrais et pesticides étant répandus sur de vastes surfaces. Ainsi, aux États-Unis, quelque 250 millions d'hectares de terres cultivées ou de prairies font l'objet de plusieurs traitements annuels avec divers pesticides ; pas moins de 1 200 composés chimiques y sont homologués pour de tels usages. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats agriculture - L'avenir de l'agriculture DDT (dichloro-diphényl-trichloréthane) engrais nitrate pesticide Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats biosphère - La biosphère en danger déchets eau - La pollution des eaux effluent Les médias eau - principales causes de pollution des eaux La circulation des polluants dans la biosphère La pollution de l'environnement est un phénomène complexe qui ne se limite jamais à l'aspect, en apparence ponctuel, du panache d'une cheminée d'usine qui s'élève dans l'air. Dans la plupart des cas, les polluants ainsi dispersés aboutissent fort loin de leur point de rejet par le jeu de la circulation atmosphérique et (ou) du cycle de l'eau. Dès le début des années cinquante, les essais d'engins nucléaires dans l'atmosphère avaient permis de constater que la pollution radioactive entraînée par les courants de circulation de la haute troposphère faisait le tour du globe en deux semaines en passant d'un hémisphère dans l'autre. Les risques de transfert d'un contaminant à grande distance sont d'autant plus grands qu'il est introduit plus haut dans l'atmosphère, le temps moyen de séjour croissant rapidement avec l'altitude. D'à peine une semaine vers 3 000 m, ce temps moyen s'élève à trois ans dans la stratosphère, vers 30 km d'altitude ! Tout polluant, même solide, finit par être introduit dans l'air à partir du moment où il se trouve à l'état de particules de faible diamètre. Ainsi, le plomb, non volatil, est injecté en grande quantité dans l'atmosphère sous forme de particules insédimentables (de diamètre inférieur à un micromètre) par suite de l'usage d'alkyle-plomb comme additif des essences. En outre, des polluants sont transférés des sols vers les eaux continentales et les océans, phénomène particulièrement important en ce qui concerne tant les pollutions industrielles que diffuses. Les polluants ne vont pas demeurer dans l'air, les sols ou les eaux, mais passer ultérieurement dans les êtres vivants qu'ils vont contaminer, provoquant parfois de fortes diminutions des populations des espèces animales ou végétales exposées soit par mortalité immédiate ou différée, soit par stérilisation des individus. La contamination des végétaux se fait par translocation foliaire ou par absorption radiculaire ; celle des animaux, par voie alimentaire (ingestion), transcutanée ou transbranchiale - dans les cas des polluants des eaux - et respiratoire pour les aéropolluants. Certaines substances subissent des phénomènes de bioconcentration, puis de bioamplification dans les chaînes alimentaires. On entend par bioconcentration l'accumulation d'un contaminant dans un organisme exposé dans un biotope donné à des concentrations supérieures à celles auxquelles il se rencontre dans le milieu externe. Le phénomène de bioamplification tient à ce que la concentration d'un polluant dans les êtres vivants d'un même réseau trophique augmente au fur et à mesure que l'on s'élève dans les chaînes alimentaires. Ce phénomène, aujourd'hui fort bien connu, se rencontre avec divers éléments et de nombreux composés organiques de synthèse qui ne sont pas biodégradables. Un exemple fort éclairant en a été fourni, au cours des années cinquante, par la pollution des eaux du Clear Lake en Californie par un insecticide, le DDD, épandu chaque année pour éliminer de petits moucherons dont les larves pullulaient dans ce lac. On assista à des phénomènes de bioconcentration et de bioamplification dans le réseau trophique des grèbes, oiseaux piscivores qui nichaient sur le lac. En conséquence, la concentration en DDD, qui était à peine de 0,015 ppm (partie par million) dans l'eau du lac, atteignait 2 500 ppm dans les graisses des grèbes contaminés - qui étaient tous devenus stériles -, soit un facteur de concentration de 167 000 ppm par rapport à l'eau. On a pu également observer de tels phénomènes avec certains métaux toxiques (cadmium et mercure par exemple) : la maladie de Minamata, due à une pollution des eaux de la mer du Japon par des rejets de mercure, résulte d'un phénomène considérable de bioamplification de cet élément dans les chaînes trophiques des animaux marins servant de nourriture aux populations riveraines. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats atmosphère bioaccumulation bioamplification bioconcentration biosphère - La biosphère en danger cadmium Californie chaîne alimentaire eau - La pollution des eaux grèbe mercure - 1.CHIMIE Minamata plomb Les livres pollution - puits de pétrole en feu, page 4014, volume 7 pollution - perturbation des cycles biogéochimiques par la pollution atmosphérique, page 4014, volume 7 pollution - contamination d'un lac de Californie, le Clear Lake, par un insecticide, le DDD, page 4014, volume 7 Les conséquences écologiques des principaux types de pollution Qu'ils concernent l'air, les sols ou les eaux, les phénomènes de pollution présentent une convergence d'effets et de conséquences écotoxicologiques. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats écotoxicologie Les livres pollution - limbe dépigmenté d'une primevère, page 4017, volume 7 Les effets sur les populations et les écosystèmes. En règle très générale, selon l'importance et la nature de la contamination, les effets se manifestent sur quelques populations, voire sur la totalité des espèces sensibles, éventuellement sur l'écosystème tout entier et, dans certains cas, sur l'ensemble de la biosphère. On dénomme indicateurs biologiques de pollution des espèces particulièrement sensibles à un contaminant, qui servent en quelque sorte d'« organismes sentinelles » et attestent, par leur disparition, une dégradation d'un milieu par un polluant donné avant même que ses effets n'aient atteint des dimensions préoccupantes. Par exemple, certaines espèces de lichens épiphytes sont éliminées lorsque les concentrations d'anhydride sulfureux (SO2) dans l'air atteignent un certain degré, qui reste inoffensif pour les autres espèces végétales ; de même, en milieu aquatique, la régression des larves d'éphémères indique une atteinte par une pollution organique ou par certains agents chimiques. La pollution des milieux terrestres et aquatiques conduit à des bouleversements qui transforment entièrement la structure des communautés vivantes. Elle provoque inéluctablement une diminution de la diversité des espèces, le polluant éliminant un grand nombre d'espèces, tandis que les espèces tolérant la pollution se mettent à pulluler. Cela s'observe même lorsque le polluant n'est pas toxique : le cas le plus remarquable en est constitué par la dystrophisation des lacs. Ce phénomène résulte d'une pollution par des éléments minéraux nutritifs indispensables à la vie : phosphates et nitrates, dont le rejet dans les eaux continentales engendre un bouleversement de la communauté du phytoplancton. De nombreuses espèces se raréfient considérablement ou disparaissent, alors que d'autres - rares ou absentes dans les eaux pures -, comme certaines cyanophycées, se mettent à pulluler dans ces lacs dystrophisés. La pollution des sols aussi a produit, dans de nombreux cas, de véritables désastres dans les biocénoses terrestres. L'usage de certains insecticides en agriculture, tel le DDT, a engendré au cours de la période 1950-1980 une telle contamination des chaînes trophiques terrestres, puis dulçaquicoles (dans les eaux douces), que de nombreuses espèces d'oiseaux rapaces ou piscivores ont été menacées d'extinction. La pollution atmosphérique induit, pour sa part, des perturbations des communautés vivantes qui peuvent prendre les dimensions de véritables catastrophes écologiques. La déforestation, par l'effet conjugué des pluies acides et des photo-oxydants gazeux (ozone, PAN, ou peroxy-acétyl nitrate), fournit un exemple impressionnant de tels effets des polluants. Dans certaines zones d'Europe et d'Amérique du Nord exposées à des pluies de pH inférieur à 4,5, d'immenses surfaces de forêts de conifères sont aujourd'hui atteintes par un dépérissement qui se traduit par une défoliation des arbres, puis par la mort de ces derniers. Dans le même temps, les lacs acidifiés par ces précipitations perdent toute vie animale. Un autre exemple de perturbations biocénotiques de dimensions catastrophiques est fourni par la pollution de l'océan par le pétrole. Les marées noires conduisent en effet à une forte mortalité du plancton, des nombreuses espèces d'invertébrés marins et des communautés d'algues qui vivent dans les zones benthiques littorales. Par ailleurs, la pollution chronique de l'océan par les hydrocarbures provoque chaque année la mort de plusieurs millions d'oiseaux de mer. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats biocénose biocide DDT (dichloro-diphényl-trichloréthane) déforestation dystrophisation forêt - La forêt dans le monde lichen limnologie marée noire Méditerranée - Écologie - Une mer menacée par la pollution nitrate oiseaux - Les oiseaux dans leur milieu o zone papillons - La disparition des papillons pêche - La pêche industrielle - Répartition des pêches - La pêche en eaux continentales phosphate pluies acides poissons - Les poissons et l'homme - Le rôle alimentaire des poissons rapace usnée Les livres pollution - le lac des Adirondacks, aux États-Unis, touché par l'acidification, page 4015, volume 7 pollution - forêt des Adirondacks, aux États-Unis, en 1986, page 4015, volume 7 pollution - l'accroissement de l'acidité des précipitations en Europe, page 4015, volume 7 pollution - les étapes successives de la dystrophisation d'un lac, page 4016, volume 7 pollution - lichens fruticuleux du genre Usnea, page 4017, volume 7 Les effets sur les cycles biogéochimiques. La pollution de l'air et des eaux se traduit aussi par la perturbation de certains cycles biogéochimiques à une échelle planétaire. La pollution atmosphérique induite par l'usage des combustibles fossiles provoque un bouleversement des cycles du carbone, du soufre et de l'azote au niveau de la biosphère tout entière. En outre, les cycles de l'azote et du phosphore sont perturbés par suite de l'usage des engrais chimiques en agriculture. L'injection de quantités considérables de gaz carbonique dans l'atmosphère a pour effet une élévation de la teneur de ce gaz dans l'air à raison de 1,5 ppm par an. Au rythme actuel d'accroissement, sa concentration dans l'air pourrait doubler d'ici à 2040, passant de 350 à 700 ppm. L'augmentation d'effet de serre qui en résulterait pourrait provoquer un réchauffement climatique. Voir serre (effet de). La pollution de la stratosphère par certains composés organohalogénés, tel le chlorofluorocarbure (CFC), interfère avec le cycle géochimique de l'ozone, dont la couche diminue, avec pour conséquence un accroissement potentiel du rayonnement ultraviolet à la surface terrestre. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats climat - Les changements climatiques serre (effet de) Les médias serre (effet de) Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats eau - La pollution des eaux eau - La pollution des eaux - Introduction écologie environnement nitrate oligotrophe (milieu) o zone Les médias eutrophisation Les polluants : de l'environnement à l'homme La pollution de l'environnement a des répercussions sur les populations humaines par inhalation, par ingestion des aliments, et, plus rarement, par contact cutané. Indépendamment du tabagisme, la pollution de l'air urbain se traduit par une croissance des cas de bronchite chronique et autres affections des voies respiratoires. La pollution des aliments par certains contaminants mutagènes et cancérogènes constitue aussi une cause de préoccupation pour les hygiénistes. La nourriture de l'homme est contaminée par divers composés minéraux et organiques doués de telles propriétés. L'eau dite potable l'est de moins en moins ; elle est contaminée par divers polluants organiques, en particulier des pesticides, et par les engrais qui polluent de plus en plus les sols, puis les nappes phréatiques. Les phénomènes de bioamplification rendent particulièrement préoccupante l'absorption de certains aliments. Ainsi, la consommation des poissons des lacs Érié et Ontario a dû être interdite aux États-Unis par suite de la bioamplification de polluants toxiques persistants dans leurs chaînes alimentaires. Il en est de même de la bioamplification du DDT et des polichlorobiphényles (PCB) dans la chaîne alimentaire de la femme, qui passe du sol au lait maternel par l'intermédiaire des herbages, puis des bovins, du lait ou de la viande de ceux-ci, et enfin des consommatrices humaines. Cette bioamplification a atteint de tels niveaux dans de nombreux pays que ces substances excèdent dans le lait maternel les concentrations maximales admissibles dans l'alimentation humaine. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats bioamplification bronchite contamination DDT (dichloro-diphényl-trichloréthane) eau - Les usages de l'eau Érié (lac) inhalation Ontario (lac) polychlorobiphényles Une loi sur l'air. La fréquence de plus en plus élevée des « pics de pollution » dans les grandes agglomérations a amené les pouvoirs publics français, en 1996, à présenter au Parlement une loi contre la pollution de l'air. S'ajoutant à la « mesure de préservation de la qualité de l'air », qui permet d'agir en direction des industriels, cette loi vise à généraliser les dispositifs de contrôle de l'air et à réduire l'utilisation de la voiture en ville. Grande accusée de la pollution urbaine, elle est en effet responsable, entre autres, de 80 % du plomb qui est respiré. La gratuité des transports publics et certains avantages fiscaux feraient partie des mesures de dissuasion, qui laissent cependant entier le problème crucial de la consommation de Diesel. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats agglomération gazole Rio de Janeiro - Le sommet de Rio ville - Géographie du phénomène urbain - L'explosion urbaine Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats environnement Les livres pollution - les conséquences de la pollution de la baie de Minamata, au Japon, page 4017, volume 7 Taiwan - circulation de scooters, à Gaoxiong, page 5018, volume 9 Complétez votre recherche en consultant : Les indications bibliographiques C. Guygonnand, la Pollution de l'air, CNDP, Paris, 1980. J.-C. Lacaze, la Pollution des mers, Flammarion, Paris, 1996. J.-B. Leroy, la Pollution des eaux, PUF, « Que sais-je ? », Paris, 1992 (1986). Lutte contre la pollution : regard sur l'avenir à la lumière du passé, OCDE, Paris, 1994. F. Ramade, Précis d'écotoxicologie, Masson, Paris, 1992.