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Colomb Christophe, en italien Cristoforo Colombo.

Publié le 25/10/2013

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Colomb Christophe, en italien Cristoforo Colombo. en espagnol Cristóbal Colón. 14511506, navigateur auquel on attribue la découverte de l'Amérique. Né probablement à Gênes, ou peut-être à Lisbonne, il devint très tôt marin. En 1479, on le trouve à Lisbonne, qui était depuis longtemps le point de départ de nombreux voyages d'exploration. Il étudia avec ardeur cartes et livres de voyages, et s'intéressa aux récits des marins. C'est ainsi qu'il forma le dessein de faire ses propres découvertes. Il cherchait surtout une route plus courte vers les Indes. Ses plans soulevèrent quelque intérêt, mais il ne put obtenir l'appui du roi du Portugal et, en 1484, il partit pour l'Espagne, où il trouva aussi partisans et critiques. Après la défaite des Maures de Grenade, il put enfin gagner à sa cause le roi Ferdinand et la reine Isabelle. Ceux-ci acceptèrent de le nommer amiral et vice-roi des terres qu'il découvrirait. La découverte de l'Amérique. Trois petits bâtiments furent armés à son intention, un vaisseau ponté de 100 tonnes, la Santa María, et deux caravelles de 50 et 40 tonnes, la Pinta et la Niña. Après avoir éprouvé beaucoup de difficultés pour recruter des équipages, il partit, le 3 août 1492, de Palos, en Andalousie. Il prit le commandement de la flotte, les deux frères Pinzón assurant chacun celui d'une caravelle. La flotte se rendit aux îles Canaries et de là cingla vers l'ouest, franchit la mer des Sargasses et, bien que l'équipage menaçât de se mutiner, traversa l'Atlantique. Le 12 octobre, il put débarquer dans une des îles Bahamas, appelée Guanahani par les indigènes et qu'il baptisa San Salvador. C'est probablement celle qui porte aujourd'hui le nom de Watling. Poursuivant son voyage, il découvrit aussi Cuba et Haïti, qu'il nomma Hispaniola et où la Santa María se brisa. Il fit alors construire un fort, y laissa une partie de son équipage et entreprit le voyage de retour, le 16 janvier 1493. Après avoir été arrêté par les Portugais près des Açores et reçu à Lisbonne avec tous les honneurs, il regagna Palos le 15 mars. Son exploit souleva beaucoup d'enthousiasme et il fut escorté en triomphe auprès des souverains espagnols. Complétez votre recherche en consultant : Les livres Colomb Christophe - le voyage de 1492, page 1175, volume 3 Les derniers voyages. L'année de son retour, Colomb partit pour un deuxième voyage (1493-1496), disposant cette fois de dix-sept navires. Il découvrit, entre autres, Porto Rico, la Jamaïque et plusieurs îles du groupe des Petites Antilles. La colonisation de ces nouvelles terres commença, mais les colons étaient pour la plupart des aventuriers assoiffés d'or, incapables de mener à bien l'entreprise. Au cours d'un troisième voyage (1498-1500), Colomb découvrit entre autres l'île de la Trinité et l'embouchure de l'Orénoque sur la côte nord du Venezuela. Son quatrième et dernier voyage (1502-1504) l'amena sur la côte d'Amérique centrale, là où se trouve l'actuel Honduras. Dès son deuxième voyage, Colomb avait essuyé des revers. Ceux qui le jalousaient s'acharnaient à ruiner ses efforts, et le fait qu'il manquait par ailleurs d'autorité dans l'administration des nouvelles terres affaiblit sa position. La situation empira au point qu'à la fin de son troisième voyage il fut remplacé par un Espagnol et ramené en Espagne en état d'arrestation. Réhabilité, il put même entreprendre un autre voyage, mais son prestige était tombé, ses découvertes n'ayant pas donné les résultats rapides que l'on attendait. Il mourut, en 1506, à Valladolid (Espagne). En 1537, son corps fut transporté à Haïti et, en 1796, à La Havane à Cuba. Après la guerre hispano-américaine de 1898, son tombeau fut transporté en la cathédrale de Séville, mais on pense que ses restes reposent à SaintDomingue. « L'oeuf de Colomb «. Cette expression désigne une chose simple, mais non évidente. Elle fait allusion à une anecdote selon laquelle Christophe Colomb aurait fait tenir un oeuf en équilibre sur une extrémité, en le cassant pour l'aplatir. Il voulait montrer par là qu'il n'est pas toujours facile de penser aux idées les plus simples, répondant ainsi à ceux qui prétendaient que n'importe qui aurait pu découvrir le nouveau continent. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Ailly (Pierre d') Amérique du Nord - Histoire - Introduction Amérique du Sud - Histoire - De la découverte à l'organisation des empires coloniaux Antigua et Barbuda Antilles Bahamas caravelle Costa Rica Cuba découverte du monde - L'âge des Grandes Découvertes Dominique épice Espagne - Histoire - Suprématie et déclin Ferdinand Grenade Guadeloupe (971) Haïti Hispaniola Honduras Isabelle - CASTILLE et ESPAGNE - Isabelle Ire la Catholique Jamaïque Marie-Galante Ojeda (Alonso de) Palos de la Frontera Pinzón Porto Rico Saint-Domingue Saint-Kitts-et-Nevis Sainte-Lucie tabac Trinité-et-Tobago Venezuela - Histoire - Introduction Vespucci Amerigo Vierges (îles) Vinland voile - L'évolution de la navigation à la voile traditionnelle Les livres Colomb Christophe, page 1175, volume 3 navires - le Santa María de Christophe Colomb, page 3396, volume 6

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« extrémité, en le cassant pour l'aplatir.

Il voulait montrer par là qu'il n'est pas toujours facile de penser aux idées les plus simples, répondant ainsi à ceux qui prétendaient que n'importe qui aurait pu découvrir le nouveau continent. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Ailly (Pierre d') Amérique du Nord - Histoire - Introduction Amérique du Sud - Histoire - De la découverte à l'organisation des empires coloniaux Antigua et Barbuda Antilles Bahamas caravelle Costa Rica Cuba découverte du monde - L'âge des Grandes Découvertes Dominique épice Espagne - Histoire - Suprématie et déclin Ferdinand Grenade Guadeloupe (971) Haïti Hispaniola Honduras Isabelle - CASTILLE et ESPAGNE - Isabelle Ire la Catholique Jamaïque Marie-Galante Ojeda (Alonso de) Palos de la Frontera Pinzón Porto Rico Saint-Domingue Saint-Kitts-et-Nevis Sainte-Lucie tabac Trinité-et-Tobago Venezuela - Histoire - Introduction Vespucci Amerigo Vierges (îles) Vinland voile - L'évolution de la navigation à la voile traditionnelle Les livres Colomb Christophe, page 1175, volume 3 navires - le Santa María de Christophe Colomb, page 3396, volume 6. »

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