SOCIOLOGIE: Marx et les classes sociales
Publié le 12/04/2023
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Dissertation SES
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"Avant la Révolution, la nation était partagée en trois classes, savoir: les
nobles, les bourgeois et les industriels.
Les nobles gouvernaient, les bourgeois et les
industriels les payaient.
Aujourd’hui la nation n’est plus partagée qu’en deux classes:
les bourgeois et les industriels." Cette citation célèbre de Karl Marx (1818–1883)
philosophe, historien et sociologue, montre le poids des inégalités dans la société.
D’ailleurs le premier découpage de la société est celui de Karl Marx, celui ci propose
de découper le société en classe sociale.
Selon lui une classe social, est un groupe
social rassemblant des individus avec des caractéristiques économiques, social et
culturel qui leurs doivent une identité propre.
Il va donc distinguer les classes en soi
groupe de personne occupant la même place dans le pss de production mais sans lien
les unes avec les autres et les classes pour soi, groupe de personne ayant conscience
de former un groupe avec des intérêts communs.
En effet ces groupes sociaux sont
important dans la structure social, mais ceux ci sont aussi à l’origine d’inégalités.
De
la fin de la Seconde Guerre mondiale au début des années 1990, la société française
connaît un processus de réduction des inégalités, ce qui permet à tous de bénéficier
d’un niveau de vie plus élevé.
De nombreux théoriciens ont vu dans ce processus de
moyennisation la disparition des classes sociales et ont remis en cause la théorie de
Karl Marx.
Mais dans les années 80 ce mouvement de réduction des inégalités a
cessé,
et les écarts se creusent encore aujourd’hui.
Comment les cs rendent t’elle
compte de la société française encore aujourd’hui? Dans un premier temps nous
verrons qu’il y a un déclin des classes sociales dans les années 70 en France et enfin
nous verrons que dans les années 80 il y’a un retour des inégalités et des classes
sociales.
En 1988, Henri Mendras, sociologue Français remet en cause la polarisation
entre les bourgeois et les prolétaires.
Il affirme que le monde du travail est complexe
et qu’il y a plusieurs groupe sociaux et pas seulement des classes sociales.
En effet la
moyennisation à deux causes principales, tout d’abord il y’a une tertiarisation et une
désindustrialisation, c’est à dire que la France n’est plus un pays ouvrier et les
quelques ouvriers restant se sont embourgeoisés.
La moyennisation est défini comme
étant le développement d’une vaste classe sociale et une réduction des catégories
extrême comme l’élite, les bourgeois et la classe populaire.
La classe moyenne est
donc majoritaire, environ 80% de la population française.
Henri Mendras se réfère à
des constellations, il parle donc de cosmographie sociale.
Les constellations font
référence aux groupes sociaux visible dans la société, et celle ci sont définis par leurs
niveaux scolaire et par leurs revenus.
En effet, dés les 30 glorieuse, il va y avoir une
transformation de la structure de la société c’est à dire une augmentation du pouvoir
d’achat,
mais
aussi
un
développement
des
emplois
ce
qui
permet
une
homogénéisation des modes de vies.
L’emploi dans lequel nous sommes peut avoir un
impacte sur notre vie familiale, bien souvent les femmes ayant des responsabilités
familiale sont beaucoup moins en emplois que celle qui n’en n’ont pas.
Nous pouvons
le voir dans le document 4: «quand elles travaillent les femmes déclarent deux fois
plus souvent que les hommes qu’être parents à des conséquences sur les situation
professionnel».
En effet, la plus part des femmes se sentent plus concernés par la vie
familiale et consacre plus de temps à leurs enfants qu’a leurs travail.
Par exemple en
2011 en France, 14% des femmes sont au foyer et se consacre à leurs enfants.
Une
vaste classe moyenne va naître, les pauvres et les bourgeois deviennent de moins en
moins nombreux.
Les syndicats sont des acteurs majeures dans les négociations
collectives.
C’est grâce au eux que les salaires et ont augmenté et que le temps de
travail à été diminué mais aussi que les 5 semaines de congés payés ont été instaurer.
Les syndicats sont un regroupement professionnel qui défendent les intérêts d’un
groupe de travailleurs ou d’une profession.
Son but est de défendre les intérêts de son
groupe afin d’améliorer ses revenus et ses conditions de travail.Cependant dans les
années 80, les syndicats sont délaissé et perdent leurs importances, on peut le voir
dans le document 3: En 1949, le taux de syndicalisation en France est de 31,0%, il
est au plus haut.
En 1996 on assiste à une rupture, et le taux de syndicalisation se
stabilise à niveau plutôt faible.
En 2015, le taux de syndicalisation en France est de
11%.
Grâce à la moyennisation les différences entre les classes sociales diminuent, il
y a donc une homogénéisation des modes de vies.
Durant les 30 glorieuses (1945
1975), les distances inter classes se réduisent, c’est à dire que les distances qu’un
groupe social peut avoir vis à vis des autres groupes sociaux se réduisent.
Bernard Lahire va développer l’idée d’homme «pluriel», les individus deviennent
de plus en plus complexe.
En effet il est difficiles de réduire l’identité d’une personne
en fonction de sa PCS ou de sa classe sociale, il faut prendre en compte les différent
facteurs (âge, diplôme, genre, religion, style de vie..) afin de définir son identité.
Les
individus sont donc complexes, et apparaissent donc des profils culturels étonnant,
c’est à dire que certaines personnes peuvent avoir des activités culturelles inattendus
par rapport à leur milieu sociale.
Les individus sont pluriels et unique.
Pendant les 30
glorieuses, les groupes sociaux se rapprochent.
Aujourd’hui, l’homme n’est pas juste
un PCS, nous sommes des hommes des femmes ayant des revenus plus ou moins
élevé, avec des profils dissonants.
Un grand nombre de facteurs sont à l’origine
d’inégalités, par exemple l’âge.
L’age est un fait social qui à des effets sur la position
sociales des individus.
L’age est un facteur inégalitaire important, celui ci peut
influencer le revenu, l’accès au pouvoir, le niveau de prestige.
C’est ainsi que Louis
Chauvel en référence à la lutte des classe va développer l’idée de «lutte des âges».
En
terme de ressources économique et sociales, les jeunes sont les plus défavorisés et
touché par la pauvreté.
Il y a un sentiment d’injustice envers les autres générations
qui va se développer.
Ce qui amènent Louis Chauvel à dire que les générations et les
groupes d’âges sont un élément important dans l’identité sociale.
Le genre est un
critère à l’origine du plus d’inégalités, donc très structurante.
Malgré les luttes
féministes, des inégalités dans le domaine professionnel, politique et domestique
persiste encore.
On peut le voir dans le document 2, les inégalités salariales se font
encore ressentir: Les cadres femmes ont un salaire mensuels moyens net en....
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